
Ibrahim Alshafe, 25 ans, débouté mais non expulsé
►Royaume-Uni : des migrants musulmans déboutés traînent une femme sur la plage de Brighton et la violent…
Dès le rejet de leur demande d’asile, ils auraient dû être placés en détention et expulsés. Au lieu de cela, ils erraient dans la nature.
La capture de femmes infidèles (non musulmanes) et leur utilisation comme esclaves sexuelles sont autorisées par le Coran. (Coran 4:3, 4:24, 33:50).
Trois demandeurs d’asile déboutés, arrivés au Royaume-Uni à bord de petites embarcations, ont comparu devant le tribunal, accusés du viol en réunion d’une femme sur une plage de Brighton.
Deux Égyptiens et un Kurde iranien sont accusés d’avoir traîné la femme de 33 ans sur la plage de galets avant de lui faire subir un calvaire horrible.
Les trois migrants ont comparu aujourd’hui devant le tribunal de la Couronne de Lewes, dans l’East Sussex, où la date du procès a été fixée à l’année prochaine.
Les Égyptiens Karin Al-Danasurt, 20 ans, et Ibrahim Alshafe, 25 ans, vivaient dans un hôtel pour migrants géré par le ministère de l’Intérieur dans le Sussex lorsque la femme a été agressée.

Karin Al-Danasurt, 20 ans, débouté mais non expulsé
Alshafe est accusé d’avoir agressé la femme le lendemain du rejet de sa demande d’asile. Abdulla Ahmadi, un Kurde iranien de 25 ans, résidait à Crewe.
Les trois hommes ont comparu aujourd’hui devant le tribunal vêtus de survêtements gris. John Livingstone, procureur, a déclaré à la cour : « Il s’agit d’une affaire très médiatisée et très grave. »
La femme a déclaré avoir été agressée aux premières heures du samedi 4 octobre après avoir passé la soirée dans une boîte de nuit à Brighton.
Lors d’une audience précédente, elle avait été décrite comme vulnérable et en état d’ébriété.
La femme a déclaré à la police qu’elle avait été emmenée dans un endroit isolé sur la plage où elle avait été violée oralement et vaginalement par trois hommes…
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►Espagne : un Algérien kidnappe, torture et viole une femme, qu’il a séquestrée pendant une semaine…

Un crime d’une sauvagerie inhumaine qui choque le pays.
L’Espagne comme tant d’autres pays paie aujourd’hui le prix de son laxisme et de la politique migratoire de la junte Algérienne.
« Espagne : un Algérien emprisonné pour avoir kidnappé, torturé et violé une femme pendant une semaine dans un repaire de drogue à Alicante », par Thomas Brooke, Remix News
Un ressortissant algérien a été placé en détention provisoire à Alicante après que la police a secouru une femme qui avait été kidnappée, torturée et violée pendant plusieurs jours dans un repaire de trafiquants de drogue du quartier Juan XXIII de la ville.
La victime, âgée de 50 ans, a été retrouvée vendredi matin, semi-consciente et souffrant de brûlures au torse et aux jambes, selon la police nationale.
Selon El Debate, l’enquête a débuté lorsqu’une jeune femme s’est rendue sur les lieux la veille au soir pour acheter de la drogue et y a rencontré la victime, qui l’a discrètement suppliée de l’aider. Le témoin a attendu le lendemain pour alerter les autorités, qui ont alors mis en place une opération ayant permis de libérer la femme et d’arrêter les personnes impliquées.
Selon la police, le calvaire a commencé le 1er novembre, lorsque la victime s’est rendue à l’appartement accompagnée d’une connaissance qui se prostitue. Lorsqu’elle a tenté de partir, le principal suspect l’a agressée, la rouant de coups, ligotée avec des colliers de serrage et lui coupant les cheveux.
Pendant la semaine suivante, elle a été séquestrée dans une pièce tapissée de carton, où elle a été violée à plusieurs reprises et torturée à l’aide d’un petit chalumeau.
Deux autres hommes, un Algérien et un Espagnol, étaient également présents dans l’appartement. Bien qu’ils n’aient pas participé aux agressions, les enquêteurs affirment qu’ils ont empêché la femme de s’échapper ou d’appeler à l’aide. Tous deux ont déclaré avoir agi sous la contrainte de l’agresseur principal et ont été arrêtés pour séquestration.
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Bonjour Jules. Voilà ces pourritures utilisent un procédé qui fait mouche, on est expulsé, on commet un delit et on reste dans le pays, sorties de prison ces déchets ne sont quasiment jamais expulsés. Une solution : maintien en detention jusqu’à l’expulsion. Bonne journée.
Pendez les. Ces excréments ne comprennent que la force. Marre d’entendre ça, on a l’impression que ça ne s’arrêtera jamais. Merde. Ce sont nos filles, nos femmes et nos mères qui subissent les viols parce que ces salopards ne respecte rien et n’ont pas les codes. Je te leur en foutrais moi des codes ….. Quand aux grosses pourritures qui veulent encore plus de ces merdes mahometane il faudra aussi s’en occuper.