►La Suède condamne une musulmane pour avoir réduit des enfants en esclavage…
Lina Ishaq a laissé ses deux fils devenir enfants soldats pour Daesh. Ses deux fils et son mari sont aujourd’hui décédés.
La « Suédoise de Daesh »réduisait des enfants en esclavage chez elle…
Lina Ishaq, une Irakienne surnommée « la Suédoise de Daesh » par les médias suédois, a été reconnue coupable d’avoir réduit en esclavage des femmes et des enfants sous le joug de Daesh en Syrie. Désormais citoyenne suédoise, elle a été condamnée à douze ans de prison pour génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre graves. Cette condamnation est historique car c’est la première fois qu’un citoyen suédois est reconnu coupable de tels crimes.
Condamnations précédentes
Lina Ishaq a été condamnée il y a deux ans à six ans de prison pour un crime grave contre le droit international et un crime de guerre grave. Elle a depuis été de nouveau reconnue coupable d’autres crimes commis durant son séjour au sein du califat de Daesh.
À l’époque, Ishaq avait laissé son fils combattre comme enfant soldat – ou plutôt comme terroriste – pour l’État islamique. Cette femme, membre de Daesh, purge actuellement sa peine à la prison de Hinseberg, près d’Örebro.
Les faits : esclavage à Raqqa
L’essentiel de cette nouvelle affaire judiciaire concerne Lina Ishaq, accusée de détenir des esclaves à son domicile de Raqqa, la capitale autoproclamée de l’État islamique, où elle s’est installée après avoir quitté Halmstad. Les documents judiciaires révèlent qu’entre 2014 et 2016, Ishaq a séquestré trois femmes et six enfants chez elle.
Il s’agissait de Yézidis, principalement des femmes et des filles, enlevées à leurs familles par la secte terroriste. Durant leur captivité aux mains d’Ishaq à Raqqa, les otages furent :
- Menacés
- Battus
- Humiliés, notamment en étant contraints de porter des vêtements musulmans
Le verdict judiciaire
Première instance et appel
Le 11 février, le tribunal de district de Stockholm a annoncé la condamnation de la femme membre de Daesh pour crimes contre l’humanité, génocide et crimes de guerre graves. Le tribunal a estimé qu’une peine de douze ans de prison était appropriée. C’était également la première fois qu’un Suédois était condamné pour crimes contre l’humanité.
L’expulsion n’a jamais été une option car Lina Ishaq est désormais citoyenne suédoise.
Confirmation en appel
Le procureur a interjeté appel du verdict devant la Cour d’appel de Svea et a requis la réclusion à perpétuité. Mardi, la Cour d’appel a confirmé le verdict du tribunal de district de Stockholm, condamnant la musulmane à douze ans de prison. Ce verdict est historique : c’est la première fois qu’un citoyen suédois est reconnu coupable de crimes contre l’humanité.
« La Cour d’appel, tout comme le tribunal de district, estime que le procureur a démontré que l’accusée a retenu captives plusieurs femmes et enfants yézidis et, entre autres, a forcé plusieurs d’entre eux à effectuer des tâches ménagères, à participer à l’instruction religieuse et à prier – le tout dans le cadre du système d’esclavage introduit par Daesh. »
— Robert Green, conseiller de la Cour d’appel
Parcours de Lina Ishaq
Origines
Lina Ishaq est originaire d’Irak. Sa famille est, ou était, une famille de réfugiés chrétiens arrivée en Suède au début des années 1980. Elle a obtenu la nationalité suédoise en 1984.
Conversion et départ
Cependant, Ishaq s’est convertie à l’islam après avoir rencontré un musulman d’une vingtaine d’années. Le couple a quitté la Suède en 2004 et a ensuite vécu dans différents pays :
- Royaume-Uni
- Turquie
- Émirats arabes unis
- Égypte
Leur objectif était de vivre au sein d’une communauté musulmane.
Ralliement à Daesh
Lorsque Daesh a proclamé son califat, la famille s’est installée en Syrie pour rejoindre le combat islamiste. Cependant, son mari y a été tué peu de temps après. Au même moment, les fils adolescents de Lina Ishaq ont été enrôlés comme enfants soldats au service d’Allah.
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L’imam Siraj Wahhaj
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Le dimanche 9 novembre, Mohsen Araki a déclaré : « La sécheresse, la crise de l’eau et la diminution des précipitations sont des signes d’avertissement d’Allah pour nous réveiller de notre négligence et de notre inattention envers Lui. »
Il a ajouté : « La révolution islamique est bâtie sur le sang des martyrs, et il n’est pas acceptable que nos rues deviennent un terrain de parade pour le péché ouvert, les femmes non voilées et l’immoralité publique. »
Le membre de l’Assemblée des experts a poursuivi : « Ces comportements ont des conséquences, et une société connue pour sa foi et le chiisme se doit d’être sensible à de telles déviations. »
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Ils sont trop bons les suédois, c’est la corde de chanvre qu’elle aurait dû avoir. Quand à tous ces pays de merde ou les imams fond leurs lois , c’est le diable qui règne.
La laisser croupir dans une cellule moisie et jeter la clef. Au pain moisi et à l’eau croupie.