Le blocus du carburant au Mali augmente le risque d’atrocités alors que les civils sont confrontés à la famine et à l’isolement.
Le Mali est plongé dans le chaos alors que les militants affiliés à Al-Qaïda privent le pays de carburant…
Les islamistes ont mené ce pays au bord du gouffre
Un blocus du carburant imposé par des militants affiliés à Al-Qaïda paralyse la capitale du Mali et ébranle son gouvernement militaire répressif.
BAMAKO, Mali — Après des années passées à accumuler des armes et de l’influence dans les zones rurales de cette nation d’Afrique de l’Ouest, les militants affiliés à Al-Qaïda montrent que leur pouvoir s’étend désormais au cœur de l’État— en imposant un blocus du carburant qui a paralysé la capitale malienne et menace son gouvernement militaire.
De nombreux vols humanitaires et commerciaux sont annulés ou reportés. Les ambassades internationales et les organisations à but non lucratif stockent des provisions et se préparent aux pires scénarios. À Bamako, largement épargnée par les violences et l’instabilité qui secouent une grande partie du reste du pays, les habitants, exaspérés, passent des heures à chercher de l’essence. Voitures et motos se bousculent pour trouver une place dans de longues files d’attente serpentant depuis les rares stations ouvertes. Les coupures de courant se multiplient.
« L’urgence est là, et la situation est extrêmement critique », a déclaré Aboubacrine Ag Ali, 62 ans, un habitant de Bamako, lors d’une interview la semaine dernière. Il est resté la plupart du temps confiné chez lui pendant des semaines, incapable de payer ses courses de taxi qui, selon lui, ont doublé depuis début septembre, lorsqu’un porte-parole du groupe militant Jama’at Nusrat al-Islam wal-Muslimin (JNIM) a annoncé le blocage de la quasi-totalité des importations de carburant au Mali.
Les États-Unis ont récemment intensifié leurs échanges de renseignements avec la junte , espérant endiguer l’avancée des militants. Mais ils ne font que se renforcer.
« Ils sont partout », déclare ag Ali à propos des insurgés. « Partout. »
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Franchement ,comme disait un radical socialiste, » ça m’en touche une sans faire bouger l’autre » . Ben alors les milices wagner ne font pas le boulot ,pauvre choux, demerden sie sich et que les avions décollent pour ramener tous les maliens pour aider leur pays vous n’avez pas compris, foutez le camps de la France
Cette afrique du sud au nord nous emmerde !!!!!!
FRANCHEMENT, qu’ils crèvent. Mais qu’ils reprennent leurs sembables au préalable!
Ben, les méchants colonisateurs sont partis, ils devraient être heureux, non ? Comme dit le führer schwab.
Bonjour,
Qu’ils se démerdent et que nos maliens les rejoignent fissa fissa !
Ils ont la haine de la Fwronce comme on dit de nos jours, assumez vous et n’appelez plus les toubab au secours.
Bonjour,
Merci Jules, oui, c’est très inquiétant.
En particulier, il y a une communauté catholique en pleine croissance, au Mali, qui risque comme tu le dis « les pires atrocités ».
La France gouvernementale saura-t-elle oublier les humiliations passées des baltringues du « gouvernement » malien et intervenir militairement contre les monstres d’Al-Quaïda ?