Ben Abdoul Ali, 24 ans, 1,4 million € de revenus grâce à la drogue : qui sont les clients ?

En Charente, un trafiquant de drogue de 24 ans vient d’être condamné à 4 ans de prison.

Il répond au doux nom de… Ben Abdoul Ali.

Une chance pour la France sans doute, qui s’était lancé dans le trafic l’année dernière.

Son petit commerce lui avait permis d’engranger 1,4 million d’euros.

Dans ce département, cependant, selon le « journal du net » et l’INSEE, le revenu net par foyer est de 400 euros inférieur à la moyenne nationale et s’établit ainsi à 2100 euros par mois par foyer à raison d’une moyenne de 1,5 personne par foyer (c’est-à-dire qu’on amalgame pour la statistique les personnes isolées, les couples, les personnes avec ou sans enfants…).

Alors ma question est simple : d’où vient autant d’argent ?

Comment un « dealer » juste installé peut-il gagner autant, à savoir entre 3500 et 4000 euros par jour ?

Bien sûr, il y a un réseau derrière cela. Il lui faut s’approvisionner et écouler.

Mais qui peut acheter pour aussi cher, si ce n’est « les élites » de la société actuelle ?

Un agriculteur qui gagne 700 euros par mois, un employé qui gagne 1600 euros par mois, ne peut pas s’acheter de la drogue.

Il faut nécessairement un confortable reste à vivre en fin de mois pour pouvoir dilapider de telles sommes.

Autrement dit, être un cadre et plutôt un cadre supérieur qu’un cadre intermédiaire, un dirigeant, une profession libérale…

S’il n’y avait pas de consommateur, il n’y aurait pas de dealer !

Et comme de par hasard, ces catégories professionnelles sont les moins représentées dans l’électorat du RN ou de Reconquête.

Il ne faudrait quand même pas qu’on vienne à manquer de Ben Abdoul Ali…

Il ne faudrait quand même pas qu’on sorte du libre échange des personnes et des marchandises, au sein de l’UE et même, ce qui n’était pas prévu au départ dans le programme de l’Europe qui nous a été vendue, entre l’UE et le tiers-monde !

Si les frontières douanières étaient restaurées, cette marchandise ne rentrerait plus aussi facilement.

On sait déjà que les hautes sphères politiques et parlementaires regorgent de drogués de compétition.

Tel élu est retrouvé mort après une overdose et une soirée « chemsex »…

Laurent Caillaud aurait ramené lui-même des drogues dont de la MDMA et de la 3-MMC. Les trois hommes auraient eu des relations sexuelles et auraient tous consommé de la drogue, avant que Laurent Caillaud ne fasse un malaise. Une autre source citée par la Nouvelle République du Centre évoque également une overdose.

Ce monsieur vertueux de chez LR qui se prétendait défenseur de la famille traditionnelle pourrait bien être le prototype de ce genre de consommateurs.

Un autre « centriste », Joël Guerriau, aurait également administré des drogues à sa collègue Sandrine Josso afin d’abuser d’elle…

Même le fils Sarkozy demande que les drogues dures soient légalisées : consommateur, lui aussi ?

En somme, ce n’est sans doute pas le prolétaire ordinaire, l’employé, l’ouvrier, le petit cadre qui permet à un Ben Abdoul Ali d’engranger plus de 1 million d’euros par mois.

S’il est un secret bien gardé, c’est celui de savoir qui consommait.

Dans toutes ces affaires de stupéfiants, on nous parle parfois un peu des fournisseurs. Mais, dans la presse subventionnée, absolument jamais des consommateurs !

Et pourtant, on doit bien avoir un moyen d’en retrouver une trace, des consommateurs ?

Un trafiquant désireux de voir sa peine allégée doit bien se voir proposer par le parquet de livrer des noms, pour démanteler les réseaux, en échange d’un allègement des réquisitions ?

N’y a-t-il que dans les films policiers que ça se passe ainsi ?

A moins que la hiérarchie ne veuille pas savoir, n’ait pas intérêt à savoir qui consomme.

Une bonne façon pourtant de remonter du consommateur à d’autres trafiquants.

Alors pour un mec qui se fait coincer pour donner l’exemple, combien de trafiquants qui sont laissés tranquilles parce que peut-être, ils fournissent directement des gens très haut placés ?

Le choix de la presse et peut-être aussi celui de la justice et de la police d’axer la communication sur les trafiquants en évitant soigneusement la question de l’identité des clients interroge.

Les clients n’ont pourtant pas davantage le droit de consommer que les trafiquants de fournir !

Les clients sont tacitement assimilés, dans le traitement de l’information, à des victimes dont la décence exigerait de taire le nom.

Que nenni ! Eux-mêmes sont actuellement au regard de la loi, des délinquants.

Mais cette délinquance-là n’est pas censée intéresser l’opinion publique, n’est pas censée relever du droit de s’informer qui est pourtant une composante de la liberté de la presse.

Des dealers issus de l’immigration et dirigeants – politiques, financiers, médiatiques – immigrationnistes pourraient-ils constituer des sociétés secrètes, unis autour de la drogue ?

Le traitement journalistique de l’information incite à le penser. Le trafic de drogue est présenté comme une réalité abstraite, avec des trafiquants, des gros sous et finalement… jamais de consommateurs nommés ou suggérés.

Quels sont les circuits de la drogue ? Où les riches consommateurs se fournissent-ils  ?

Rien, on peut être à peu près sûr de ne jamais rien lire qui aborde de près ou de loin cette question.

Les secrets sont bien gardés.

(…) Sur place : un fusil à pompe, une arme automatique chargée, des munitions… Les enquêteurs découvrent aussi un stock substantiel : 7,5 kilos de cannabis, 586 grammes de cocaïne, 113 d’héroïne. Soit « 97.000 € de stupéfiants estimés », déclare la présidente, Véronique Emmanuel.

« 1,4 million d’euros de trafic de grande ampleur » qui a pris fin au terme d’une année d’activité parallèle qui n’a pas livré tous ses secrets ».

Source

Maxime 

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