Tout d’abord, comme je le disais dans mon article d’hier, le mandat d’arrêt du CPI contre Vladimir Poutine court toujours et, se rendre à Budapest devient un risque énorme. Il lui faudra toutes les assurances sécuritaires des USA, pour ne pas être attaqués par les forces de l’UE RSS, qui doivent comploter à mort, depuis que l’info de Budapest a été diffusée, comment arrêter Poutine ou descendre carrément son moyen de transport, si c’est l’avion. Sans me tromper, les Anglais vont être les premiers à élaborer une action contre le chef d’état russe. Surtout, à la suite de l’échec de leur protégé, qui rentre à la maison, sans l’assurance du déploiement de Tomahawks sur le territoire ukrainien. Merz le tocardrussophobe premier, si la AfD n’arrive pas à l’arrêter, va certainement intervenir avec des Taurus et ainsi mettre directement en danger toutes les bases US en Allemagne par lancement d’Oreshniks, qui sont en production intensive, depuis le lancement d’essai sur Dnipro.
Ensuite, et à la réflexion, lorsque je me posais la question : pourquoi Budapest, alors que le danger rôde partout de la part des dégénérés poutinophobiques primaires, d’un attentat, d’un arraisonnement d’avion et d’une arrestation j’en suis arrivée à la conclusion que Viktor Orban, tenu en haute estime par Donald Trump qu’il fut le seul en UE RSS à soutenir durant sa troisième campagne présidentielle, ce qui créé des liens, et qui a « table ouverte de la discussion » avec Poutine, fut la force de proposition dans cette affaire. Il est même bien probable, selon l’analyste britannique, Alexander Mercouris, aux réseaux d’informations remarquables et jusqu’à ce jour incontestables, puisqu’il ne s’est jamais trompé, que cela pourrait avoir été Orban, qui fut à l’origine de la dernièreconversation téléphonique entre les deux hommes. En conséquence, comme le projet fut proposé par Orban, accepté par les deux hommes, il va de soi, qu’ils ont pensé à la sécurité des déplacements de Vladimir Poutine à Budapest.Genre accompagnements de Jets de combat et autres moyens protecteurs.
Il se trouve aussi, que cette conversation téléphonique entre les deux hommes précédait l’arrivée du corrompu, drogué, dictateur de Kiev à Washington, où Trump lui a signifié gentiment, qu’il n’aurait pas de Tomahawks. A la grande « joie » des dégénérés en pointe de l’UE RSS.
Les Américains ne peuvent se permettre ces fantaisies de soutien militaire, puisque, comme déjà dit dans mon article d’hier, ils sont utilisés à d’autres fins. Sans oublier que les Russes sont équipés pour les descendre. Ce qui couvrirait à nouveau les Américains de honte, à la démonstration que leur armement est inférieur à celui des Russes. Cette larve kievienne voudrait que le monde entier se dépouille pour ses beaux yeux.
J’exprimais déjà mes doutes sur le sujet, dans mon article en lien ci-dessus. Pour l’instant, les faits me donnent raison. On imagine, le gnome bouillant de rage de ne pas avoir obtenu satisfaction. Cela dit, avec la personnalité imprévisible deTrump, on ne sait jamais ! Il change d’avis comme de chemise.
Tout ce que cette merde kievienne trouve à déclarer à la presse en sortant de sa réunion avec le Président des États-Unis, est que le Président Poutine le hait et que c’est réciproque. Sur les Tomahawks, le dictateur reste d’une discrétion totale. Pour cause. Mais, qu’il se rassure, le gnome corrompu, il n’y a pas que le Président Poutine qui le hait supposément, mais les peuples européens et le sien également le haïssent avec certitude. Cependant, son peuple est prié de se taire par la force de son leadership dictatorial, qui n’a aucune intention d’appeler à des élections qu’il perdrait.
Quant à Donald Trump, il a toujours autour de lui les russopbobes primaires qui lui parlent chaque jour à l’oreille comme, Kellogg, Rubio, Waltz et Gorka, sans oublier l’inénarrable Graham et Blumenthal qui l’alimentent en poison anti-russe, ainsi que FOXNEWS. Ils gobent tous le narratif du corrompu kievien, que les Russes sont en train de perdre la guerre, qu’ils sont faibles, hésitants et autres fadaises contredites sur le terrain. Incompréhensible que Trump continue d’écouter ces voix qui n’exigent qu’une seule chose, la guerre, sans aucune proposition alternative et diplomatique.
Pourtant, il y a dans ce grand pays qu’est l’Amérique, des analystes remarquables et objectifs, érudits, cultivés avec une grande expérience, comme l’a prouvé leurs parcours. Je cite les Profs. Gilbert Doctorow, John Mearsheimer, Jeffrey Sachs, les Colonels Davies et MacGregor, l’ancien inspecteur pour l’armement US en Irak, le grand Scott Ritter, l’ambassadeur Chas Freeman, l’ancien directeur au trésor de Ronald Reagan, Paul-Craig Roberts et tant d’autres que j’oublie. À la longue, persister à s’entourer de tocards qui vous font prendre les mauvaises décisions, vous en êtes complètement responsable. C’est devenue la guerre de Trump, quoi qu’il en dise il est responsable.
Ce n’est pourtant pas l’impression que continue à vouloir donner le Donald de lui-même, à travers son Truth Social qui a suivi sa réunion avec le gnome kievien, serviteur des nazisbanderistes ! A nouveau, Trump nous chante que « s’il avait été président, cette guerre n’aurait jamais eu lieu. » Tout en affirmant que sa réunion avec le corrompu, drogué, illégitime dirigeant dictatorial fut « très intéressante et cordiale », évoquant son souhait que cette guerre s’arrête et qu’un deal puisse être trouvé. Que des mots. Attendons des actions. Sinon, les Russes continueront, encore une fois leur opération spéciale jusqu’à la capitulation de l’Ukraine nazibandériste et les relations bilatérales seront définitivement et pour longtemps détruites.
Pour terminer cette chronique qui aura des suites évidemment, il me semble que Vladimir Poutine, mais c’est son caractère, a commis une erreur fondamentale à cause de sa bienveillance. Les lignes rouges déclarées par la Russie furent maintes fois dépassées, ce qui fait croire aux dégénérés que « la Russie est faible », comme colporté dans les médias de grand chemin de l’occident collectif dégénéré. Je souligne que, c’est parce que justement, la Russie veut éviter la guerre provoquée par ce même OCD, qu’elle prend autant de précautions.
Alors qu’un lancement d’essai avec, si je peux dire, un succès écrasant, eut lieu, le 21 novembre 2024, par le premierORESHNIK, sur une usine de fabrication d’armement, datant de l’époque soviétique à Dnipro, Poutine aurait pu montrer plus de volonté avec cet engin redoutable et inarrêtable, sur des cibles à l’intérieur de l’Ukraine, laquelle ne se prive jamais d’attaquer des cibles énergétiques russes.
A Moscou, des officiels commencent à s’impatienter sérieusement, car la magnanimité du chef de l’état russe commence à en énerver certains et non des moindres, dans les allées du pouvoir, comme déjà expliqué plus en détail dans mon article que je cite plus haut.
Budapest est donc le sommet de la dernière chance, avant que la Russie ne poursuive à marche rapide vers la capitulation de l’Ukraine ou, comme certains le souhaiteraient à Moscou, vers l’oblitération de l’Ukraine tout entière.
Sylvia Bourdon, 18 octobre 2025
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Poutine est un excellent stratège militaire qui a une grande patience parce qu’il veut tuer et détruire le moins possible. Il a bien lu et compris le manuel classique de Sun Tzu [544-496 av. J.-C.] L’art de la guerre.
La Russie possède, en cas de conflit nucléaire, un avantage énorme sur toutes les autres Nations: l’immensité de son territoire! Ce qui permet, en cas d’alerte, une dispersion extrême de sa population civile. Doublé avec le meilleur de tous les programmes de Défense Civile de la Planète, cette dispersion extrême permettrait à la Russie, même en cas de frappes nucléaires massives, de pouvoir facilement se relever et s’en remettre!…
Putin a ses raisons que notre raison ne connaît pas.
IL gère son opération spéciale tranquillement en répondant pas à pas aux otaniques et arrive à les dompter sans commettre l’erreur fatale pour l’instant.
Il a lié les alliances nécessaires et pas avec n’importe qui pour contrer les blocus des occidentaux bien dans la mouise, qui osaient quand même continuer à s’approvisionner en énergie russe…
Si coincoin n’a pas déterré la ‘hache de guerre’ réclamée par le chouineur quémandeur c’est parce qu’il sait que Moscou ne bluff pas.
Pour arrêter ce merdier meurtrier il serait bon que l’Ukraine revienne à la Russie évitant ainsi toute récidive de ce côté là car on sait ce que fond nos ‘démocrates’ des chiffons de papier.
‘font’
https://francais.rt.com/russie/126487-fournitures-incessantes-armes-kiev-poursuivront-malgre-refus-trump-livrer-tomahawk-avertit-medvedev
Les faucons otaniques restent des vrais cons et tout ce cirque prouve qu’il n’y a aucune intention de faire cesser le massacre et que ce battage n’est que fumée pour ne pas reconnaître la défaite occidentale et perpétrer cette obsession yankee à l’encontre d’une Russie, qui n’accepte plus le NOM, contenu dans l’America first’ cache sexe de l’impérialisme américain qui ne trompe personne.
S’il devait arriver quelque chose à Vladimir Poutine lors de son voyage à Budapest, ceux qu’il arrivait à contenir en Russie déclencheront l’orage sur l’Europe. Le quator (VDL, Macron, Starmer, Merz) auront ce qu’ils souhaitaient, même au-delà de leurs espérances!
La Russie ne pourra pas oblitérer l’Ukraine car Macron, le Zorro français, veille au grain de Zelensky 😄 au lieu de veiller au nôtre😖!
A côté des ogives thermonucléaires de 30 à 50 Mégatonnes des Missiles SARMAT et SS-18 « Voïvoda » de la Russie…les « pétards » de 110 Kilotonnes des SLBM français prêtent vraiment à sourire!… LOL!!!
Une chose est certaine DJT ne mache pas ses mots quand il dit qu’il veut en terminer avec l’ukraine. Le minable zele en ski est parti de Washingto la bi route entre les jambes en ralant parce que DJT lui a refuse de nouveaux jouets, les missiles tomahawk (info Americaine)
Poutine ne doit pas se rendre à Budapest. Trop risqué pour sa personne. L’empire du mensonge occidental n’est pas fiable et capable du pire.
Bien vu germ@orange.fr !