Pourquoi Gaëlle Lestrat, avocate de migrants à Rennes, a-t-elle déposé plainte contre Frontières ?

Gaëlle Lestrat est une avocate qu’on pensait confirmée. Elle affirme parler couramment anglais, allemand et espagnol. Elle a aujourd’hui 50 ans, et cela fait 25 ans qu’elle a prêté serment. Elle a un cabinet à Rennes, et, depuis peu (un rapport avec le fait qu’elle défend beaucoup de migrants ?) , elle a ouvert un autre cabinet à Nantes.

Si on en croit la présentation qui est faite de son équipe, elle a à présent deux collaborateurs à plein temps, Maître Chloé Nigues, et Maître Léo-Paul Bertaut, qui ne cachent pas leur militantisme en faveur de l’immigration, qui travaillent à plein temps pour elle.

Et, toujours si on en croit son propre site, elle semble être une avocate consciencieuse, qui paraît obtenir des résultats satisfaisants pour les clients étrangers, souvent en situation irrégulière, qu’elle défend.
Jonathan
Client vérifié 15 Mars 2022
Bonsoir à tous les lecteurs, je me nomme: tchinda motsou Jonathan, je vous fais par de mon entière satisfaction du au travail abattu de mon avocate « Maître Gaëlle le strat » sur mon recours auprès de la cour nationale du droit d’asile… ce mardi 15 mars 2022, J’ai obtenu le statut de réfugié. Mon numéro de dossier est le ( 21065913 ) maître le strat est très déterminer, une professionnelle dans son domaine, très coriasse. positive et rassurante. Je suis très content pour tout ce qu’elle a fait pour moi. Je vous la recommande vivement!!!

Mais de manière fort injuste, elle n’apparaît pas dans le Top 10 des meilleurs avocats à étrangers de la ville de Rennes, contrairement à l’autre plaignante, Emmanuelle Béguin, qui paraît avoir la côte ! Voir ici

C’est donc cette personne qui, hier, faisait partie des sept plaignants qui ont traîné devant le tribunal de Saint-Brieuc Erik Tegnér et Frontières, suite à la publication du supplément « Invasion migratoire – ONG, Avocats, Juges, Journalistes, Passeurs – Les coupables ».

Pourquoi cette plainte qu’elle a déposée, ainsi que sa collègue de Rennes, Maître Emmanuelle Béguin, accompagnées par l’Ordre des Avocats de Rennes, les Syndicat des Avocats de France, la Conférence des Bâtonniers, le Conseil National des Barreaux ?
Bien sûr, les rieurs se sont déchaînés quand ils sont appris que tous ces réseaux militants et ces avocats à migrants étaient sans doute excellents pour favoriser l’invasion migratoire en France, mais qu’en droit, ils avaient encore du travail à faire, puisqu’ils ont réussi à être déboutés de leur plainte pour deux erreurs de débutants, sur lesquels la presse locale collabo est bien discrète.
cf Le télégramme

Dans Ouest-France et Le Télégramme, il a été dit que Frontières se serait rendu coupable d’avoir donné leur nom et leur adresse. Or, il suffit de feuilleter le numéro incriminé pour ne trouver le nom de Gaëlle Lestrat et Emmanuelle Béguin qu’à une seule reprise, en page 10, sans que leur adresse, par ailleurs publique, ne soit donnée. On y apprend que la première a plaidé, en deux mois, octobre et novembre 2024, pour 19 clandestins, et la seconde pour 15. Certes, cela rapporte gros, comme on le verra, mais ce sont deux petites joueuses à côté de deux avocats lyonnais, Maîtres Morgan Bescou et Laurent Charpentier, qui, eux, atteignent le chiffre record de 135 clients chacun !
On apprend que le tribunal administratif où elles plaident, à Rennes, est un des plus laxistes de France, puisqu’il se situe en 8e position, avec un taux de victoires pour les clandestins de 41,18 %, à comparer avec les 12 % du tribunal administratif d’Amiens. Des chiffres qui confirment que dans ce domaine, les deux avocates plaignantes sont d’une grande efficacité.

Reste à savoir combien rapporte pour un avocat le fait de défendre un clandestin, sachant bien évidemment que, comme pour le service public audiovisuel, c’est le contribuable qui paie. Là encore, Frontières avait mené une remarquable enquête, qui donne des chiffres qui donnent le vertige. En effet, grâce au Conseil constitutionnel du temps de Fabius, il a été accordé aux clandestins le bénéfice de l’aide juridictionnelle. Un marché fort juteux, où se sont engouffrés nombre de jeunes avocats, affairistes ou militants, parfois les deux.

Dans cette remarquable enquête du supplément de Frontières, on pouvait constater qu’un clandestin pouvait coûter à la collectivité, donc rapporter à l’avocat, une fois tous les recours épuisés, une somme de plus de 5000 euros !
Ainsi, les deux champions lyonnais, associés, Bescou-Charpentier, ont pu gagner en deux mois environ 650.000 euros. Quant à nos deux Rennaises, elles plafonnent en deux mois à moins de 100.000 euros, mais plus de 50.000 euros, ce qui aide à être motivé pour défendre le migrant et multiplier tous les recours, quitte à engorger les tribunaux.
Donc, pourquoi ont-elles déposé plainte contre Frontières et son directeur Erik Tegnér ? Elles sont forcément des femmes de gauche, donc attachées à la liberté de la presse et au pluralisme d’opinion… sauf si les révélations faites peuvent menacer leur business !
Donc, de là à penser que ces deux plaintes venues de Rennes n’avaient pour but que de ruiner un média qui ose dire des vérités qui dérangent, il n’y a qu’un pas que je franchirai allègrement.

Joël Locin

Ripostelaique.com

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2 Commentaires

  1. En prison les avocats collabos et complètement vérolés, car il œuvre pour le grand remplacement qui est une suprême trahison. Cela s’appelle de l’intelligence avec un ennemi qui ne veut que nous tuer et volé notre pays dans le but de l’islamiser. Tous des gibiers de potences ces avocats et ces juges collabos.

  2. Merci pour cet article lumineux. Je n’avais jamais pensé que le métier d’avocats pour migrants était un juteux business. Y’a bon Africa!