►Manifestations dans plusieurs villes d’Iran contre les politiques prédatrices du régime des mollahs…
Début de soulèvement populaire en Iran ?
« Mort à Khamenei ! »
L’Iran est le théâtre d’une nouvelle vague de manifestations importantes qui s’étendent des provinces riches en ressources mais pauvres, comme le Khouzistan et le Baloutchistan, jusqu’à la capitale, Téhéran. Divers groupes sociaux sont mobilisés : retraités, ouvriers, jeunes diplômés, habitants de régions marginalisées. Ils protestent contre la corruption systémique, la crise économique, le chômage, le manque d’eau, la répression politique et les inégalités.
Une Résistante a enlevé son voile et crie sa colère :
« Vous avez transformé l’Iran en prison ! »
Écoutez sa voix.
Écoutez son désespoir.
Ce sont les mots de 80 millions d’Iraniens coincés dans un Iran occupé, la plus grande prison à ciel ouvert du Moyen–Orient.
C’est la terrible réalité d’une dictature islamique régie par la charia :
« You’ve turned Iran into a prison! »
Listen to her voice.
Listen to the desperation.
These are the words of 80 million Iranians stuck in occupied Iran, the largest open-air prison in the Middle East.
This is the horrific reality of an Islamic dictatorship with Sharia Law. pic.twitter.com/1G2FbFjE5S— Goldie Ghamari | گلسا قمری (@gghamari) September 17, 2025
Les slogans entendus dans les manifestations sont très critiques envers le régime et la théocratie, incluant des cris hostiles au pouvoir en place comme « Mort à Khamenei ». Les protestataires réclament des droits fondamentaux tels que le pain, le logement, l’emploi, et un environnement sain. Les mouvements touchent aussi bien les travailleurs non payés, les retraités, que les jeunes diplômés victimes de fraudes dans les concours d’embauche.
Dans des régions comme le Sistan-Baloutchistan, des blocages de routes et des incendies de pneus témoignent de la colère face à la fermeture des frontières et à la négligence des autorités à l’égard des minorités ethniques. À Téhéran, des fonctionnaires et enseignants protestent contre la précarité et la corruption dans les recrutements.
Malgré une répression sévère avec arrestations et intimidations, la colère populaire ne faiblit pas et rappelle les mobilisations qui avaient suivi la mort de Mahsa Amini en 2022.
Ces informations sont confirmées par plusieurs sources récentes et fiables, notamment des rapports d’ONG, médias spécialisés et organisations de défense des droits humains :
Voir aussi : L’Iran commémore l’anniversaire du soulèvement de 2022 (17 septembre 2025)
►Inde : les islamistes forcent l’annulation d’un événement littéraire auquel était invité un athée…
Akhtar, invité en tant qu’invité d’honneur, devait participer à une table ronde sur le thème « L’ourdou dans le cinéma hindi »
L’événement était prévu entre le 31 août et le 3 septembre.
L’invitation d’Akhtar, un habitué des événements culturels de Calcutta , avait suscité l’indignation de groupes comme le Jamiat Ulema de Calcutta et la Fondation Wahyain. Le secrétaire général du Jamiat Ulema de Calcutta, Zillur Rahman Arif, avait même publiquement qualifié Akhtar de « Shaitan » (diable).
Dans une lettre adressée à l’Académie ourdou, le groupe a affirmé qu’Akhtar avait « dit beaucoup de bêtises contre l’islam, contre les musulmans et contre Allah », ce qui a provoqué « un malaise parmi les gens ».
Ils ont exigé que l’Académie le remplace par une « personne compétente et respectée », respectueuse de la foi et d’Allah. L’avertissement contenu dans leur lettre, faisant référence à une manifestation passée qui « l’a forcée à quitter le Bengale », était un rappel glaçant des protestations auxquelles l’écrivaine bengali Taslima Nasreen avait été confrontée. (…)
►États-Unis : la ville de Dearborn donne à une rue le nom d’un éditeur de journaux qui fait l’éloge du terrorisme…
Dearborn, dans le Michigan, compte désormais une rue nommée en l’honneur d’Osama Siblani, un éditeur de journal arabo-américain qui prône la destruction d’Israël, fait l’éloge de groupes terroristes comme le Hamas et affirmé que le gouvernement américain était « acheté par le lobby sioniste ».
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La ville de Dearborn a rendu hommage lundi à Siblani, né au Liban et éminent militant anti-israélien fondateur du média Arab American News , en installant une plaque à son nom à l’intersection de Warren Avenue et de Chase Road, un quartier qui abrite des boulangeries de style moyen-oriental, un bar à chicha et le Centre islamique de Détroit. Une vidéo de la cérémonie, publiée sur le compte Instagram de la ville, montre Siblani et ses sympathisants dévoilant une plaque honorifique à son nom.
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Voir aussi :
Dearborn (États-Unis) : le maire Abdullah Hammoud expulse un habitant en réunion publique — l’homme s’opposait au projet de rue au nom d’Osama Siblani, militant pro-jihadiste
►Un imam américain fait l’éloge du meurtre de Charlie Kirk : « Cela me fait sourire »…
Sermon du vendredi de l’imam Ismail Saleem à Norfolk, Virginie : Le monde est meilleur sans Charlie Kirk ; voir les larmes et la colère qu’il a versées me fait sourire ; ceux qui sympathisent avec ses amis et sa famille ne sont pas de bonnes personnes.
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Bientôt en France la même chose….. Nos responsables mais pas coupables feraient bien d’apprendre à courir vite. Rien ne résiste à la colère d’un peuple. A force d’être bafoués, les peuples se rebiffent. ll y a des précédents. Normal.