L’UE révise ses relations commerciales avec l’Algérie
Entre 2005 et 2019, les exportations algériennes hors hydrocarbures vers l’Union européenne ont été estimées à environ 15 milliards d’euros. Sur la même période, les importations en provenance de l’Union européenne se sont élevées à environ 320 milliards d’euros. Ce déséquilibre est mis en avant dans les discussions menées à Alger.
En juillet 2025, la Commission européenne a déclenché une procédure d’arbitrage concernant des restrictions commerciales appliquées par l’Algérie. Le gouvernement a contesté cette démarche en soulignant que seul le Conseil d’association Algérie–Union européenne dispose de la compétence pour trancher de tels différends. Selon Diego Mellado, ambassadeur de l’Union européenne en Algérie, les discussions actuelles visent à inclure de nouveaux volets dans le partenariat. Diego Mellado a déclaré que ce partenariat devait désormais porter sur « l’investissement, la valeur locale, le transfert technologique et les énergies propres ». Il a cité en particulier l’hydrogène vert, mentionnant le projet Takati comme exemple de coopération dans ce domaine. Le projet de pacte évoqué par Euronews prévoit également de soutenir les petites et moyennes entreprises dans les pays partenaires, de simplifier les procédures commerciales et de mettre en place un dialogue structuré pour traiter les barrières non tarifaires. D’autres éléments concernent l’adoption de labels environnementaux, l’actualisation des règles d’origine et l’harmonisation des normes énergétiques et environnementales.
En 2023, l’Union européenne représentait environ 46 à 50 % des échanges commerciaux de l’Algérie. Elle reste ainsi le premier partenaire économique du pays. L’intégration de l’Algérie dans le futur pacte euro-méditerranéen est donc inscrite dans un contexte où les relations économiques avec l’Union européenne occupent déjà une place centrale.Le document évoqué par Euronews précise que les pays directement concernés sont l’Algérie, l’Égypte, la Jordanie, le Liban, la Libye, le Maroc, la Palestine, la Tunisie et la Syrie. Des consultations devraient également associer la Turquie et les pays du Golfe. Source
Juvénal de Lyon / LIBÉREZ BOUALEM SANSAL
Ps : Avez vous entendu nos médias évoquer ces sujets capitaux, alors qu’Alger méprise ouvertement la Macronie et ipso facto la France humiliée aux yeux du monde entier ? Il est plus facile pour Macron de jouer les « va-t-en-guerre », tel un matamore face à Poutine. On a vu pour le MERCOSUR le toutou s’aplatir et rentrer à la niche au dépens de nos agriculteurs furieux et cocufiés en préférant défendre la bagnole allemande d’ Ursule la teutonne ! LE TRAÎTRE !!!
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Et le monarque ne moufte pas…..L’Algérie doit avoir de sacrés dossiers le concernant d’où son silence abyssal.
Macron n’est pas concerné, il se tait car en 2027 il se voit remplacer Von der Lahyène pour la suite de sa CARRIERE ! Seul poste digne de son génie ! Peu lui chaut LA FRANCE…
Macron devra démissionner. Il est acculé, euh j’ai failli dire autre chose, s’il dissout le parlement, ce sera pire pour lui.
Même acculé, il continue à foutre un beau merdier, c’est d’ailleurs dans cette ‘position’ qu’il est le plus arrogant, le plus provocant, le plus dévastateur….