Quand la civilisation occidentale s’évanouit, une autre partie du monde se détache et célèbre la sienne

QUAND LA CIVILISATION DE L’OCCIDENT COLLECTIF DÉGÉNÉRÉ EST EN TRAIN DE S’ÉVANOUIR, UNE AUTRE PARTIE DU MONDE SE DÉTACHE DE SON HÉGÉMONIE ET CÉLÈBRE SA CIVILISATION AVEC VIGUEUR

Aux pires moments de la guerre, lorsque l’attaque contre l’Union Soviétique par les nazis fut lancée, sous le nom de code « Barbarossa », en 1941, Staline fut incité à enrôler l’église orthodoxe russe comme alliée, afin d’éveiller le patriotisme soviétique. C’est dire.

Personnellement je suis athéiste. Mais devant l’importance des religions ailleurs qu’en Occident collectif dégénéré, je me pose des questions. Particulièrement, parce que les pays, ou la religion est un élément important, sinon essentiel de la vie, montre une grande cohérence sociale, culturelle et civilisationnelle. Je pense à la Chine communiste qui a fait revivre le Confucianisme, la Russie et l’Orthodoxie, sans oublier l’islam en conquête de l’Occident collectif dégénéré.

Sans jamais avoir été marxiste je me suis détachée naturellement de ma religion catholique, alors qu’élève en primaire, en Allemagne, j’étais meilleure de la classe en enseignement religieux ! Avec l’âge et l’expérience, les voyages et les rencontres, il me semble que Marx avait tort, lorsqu’il croyait savoir que c’est l’homme qui fait la religion et non la religion qui fait l’homme. Ou encore son fameux « la religion est l’opium du peuple ».

Je n’ai pas envie de philosopher davantage sur le sujet, en revanche, je vais montrer ce qui se passe actuellement en Russie. C’est tout à fait spectaculaire. Je viens de le découvrir par un X du grand philosophe Russe, Alexander Dugin. Ce qui m’a incité à aller voir sur RT NEWS, qui présente en effet, cette spectaculaire procession populaire avec les clercs de l’orthodoxie.

https://x.com/AGDugin/status/1964941780144812057

Des dizaines de milliers de moscovites défilaient en chantant leur religion.

Si l’on en croit Marx, que c’est l’homme qui fait la religion, alors, oui, nous avons LGBTQ ++ et autres joyeusetés du genre, qui sont là, non pour faire prospérer l’humanité, mais pour la détruire. Leur propagande, religion d’état en Occident collectif dégénéré, consiste à « éduquer » pour que l’enfant ne se pense plus garçon ou fille, mais chien, cochon ou autre animal, au choix, pouvant servir de jouer aux adultes, adeptes du bondage. Cette nouvelle religion faite par l’homme, si l’on suit Marx, est destinée à contribuer à l’extinction de la race humaine. Il est vrai que la planète explose avec 8,5 milliards d’hommes.

Et s’il prend aux homosexuels masculins ou féminins d’avoir des envies d’enfants, comme ils peuvent avoir une envie de pisser, eh bien, qu’à cela ne tienne, on fait appel à la fabrique d’enfants qui se trouve majoritairement dans des pays pauvres comme l’Ukraine par exemple. Et puis, en guise de procession religieuse, nous avons la gay pride avec toutes ses outrances.

Je me souviens dans les années 70 avoir été marquée par le film PINK FLAMINGOS de John Waters, sorti en 1972, qui montrait pour la première fois un travesti flamboyant de provocation, nommé DIVINE, qui se revendique être, l’être le plus immonde de la terre et qui va jusqu’à déclarer à un caractère qu’il aime cette phrase scatologique : « I love you more than my own shit. » « Je t’aime plus que ma propre merde. »

Le ton est donné pour ce que deviendra la religion LGBTQ ++, jusqu’aux « cérémonies » des JO de 2025. La dégénérescence ne serait pas complète pour la France, si je n’ajoutais pas au tableau un Président Macron, dont le monde entier se demande si sa femme est un homme. Franchement, avec le recul, je me sens co-responsable de cette décadence, en ayant moi-même participé à ce qu’est devenue notre société.

Jeune, engagée, d’un caractère provocateur et exhibitionniste, je me suis plongée à « corps perdu » dans la pornographie, l’outil de contestation idéal à mes yeux,  afin de faire valoir ma liberté totale en signifiant que mon corps m’appartient et non à un partenaire masculin, comme c’étaient les mœurs de l’époque. En couple, on estimait s’appartenir… La pornographie me donnait l’occasion de marquer mon désaccord sur la propriété privée du corps. Loin d’imaginer ce que ma contribution allait devenir par la suite. Ce n’est pas une réussite, je l’avoue humblement.

Aujourd’hui, ma tendance serait de me diriger vers l’agnosticisme. C’est déjà une évolution après toute une vie d’athéisme, de provocations et d’hédonisme. Je vois bien que tout ce qui nous est imposé comme le woke, la cancel culture et LGBTQ++ n’ont plus rien à voir avec l’humanité, mais avec sa destruction. Comme la science qui s’est transformée en meurtrière avec les Bill Gates et autres démons de la BIGPHARMA, qui insistent à réduire l’humanité par des pandémies intentionnellement créées pour piquer les humains et les réduire de fait. La société aussi, avec ses lois pour l’euthanasie, ou sa politique de la peur, afin de réduire les consommateurs qui ne sont plus des citoyens en esclaves consentants à tous les caprices des parasites aux manettes. Sans oublier cette rage de guerre qui habite ces tarés qui nous gouvernent. 

Tout le contraire semble se passer en Eurasie. Respect de la vie, de l’humanité, même si la démographie est aussi en baisse en Chine comme en Russie. Ces deux gouvernements mettent en place une politique de la famille, comme le font Viktor Orban et Robert Fico.

Ajouté le vaccin anticancéreux ENTEROMIX russe qui montre une efficacité de 100 % dans les premiers essais.

Dans une percée qui se lit comme un phare d’espoir, la Russie a annoncé que son nouveau vaccin contre le cancer, ENTEROMIX, a démontré une efficacité et une sécurité à 100 % dans les premiers essais humains. La nouvelle met en évidence les performances remarquables du vaccin: les patients ont présenté un rétrécissement de la tumeur et aucun effet indésirable grave. Développé en utilisant la même technologie d’ARNm que les vaccins contre la COVID-19, ENTEROMIX est conçu pour former le système immunitaire à reconnaître et éliminer les cellules cancéreuses, une alternative plus sûre et plus intelligente aux traitements traditionnels comme la chimiothérapie.

En conclusion, comme je ne cesse de l’affirmer, une civilisation s’éteint dans le chaos, la dépravation et la guerre, quand une autre, dite du sud global, est en train d’éclore avec l’ambition de vivre le plus humainement possible par un optimisme qui me fait envie.

Sylvia Bourdon, 8 septembre 2025

Note de Christine Tasin 

J’ai longuement hésité avant de publier ce texte remarquable de Sylvia, qui contient une foultitude de remarques et de faits justes mais avec lequel je suis en désaccord sur nombre de points, car il penche du côté de ceux qui, à mes yeux, sont plus que jamais des ennemis de l’homme. L’Homme, mon Dieu à moi. Je hais autant les culs serrés cathos tradi notamment que les mélenchonistes, les wokistes, Je les mettrais volontiers tous en camp de travail à vie pour les punir d’avoir tant abîmé notre humanité.

Je refuse que l’on jette le bébé avec l’eau du bain. Si je peux comprendre que d’aucuns aient besoin d’un Dieu pour vivre, peu me chaut, à condition qu’ils ne cherchent pas à moraliser, interdire, castrer… ceux qui ne pensent pas et ne vivent pas comme eux.

De la mesure avant toute chose…  On a tendance à oublier ce vieil adage de mes maîtres Grecs et Romains. Je ne supporte pas les gay Pride d’abord parce que, à l’heure où les homos ont les mêmes droits que les hétéros, je ne vois pas l’utilité de gay Pride où sont exposés les fantasmes des uns et des autres. Un fantasme est personnel et se vit en petit comité. Mais je ne vois pas pour autant pourquoi on interdirait à des couples homo équilibrés, avec les moyens de bien élever leurs enfants, d’en faire des êtres aimés et aimants, cultivés, bref un cadeau pour la France, d’en avoir, notamment avec la GPA alors que le premier alcoolo violeur pédophile peut faire des enfants sous prétexte qu’il est hétéro !  

Et se mettre à se dire agnostique ou à  croire en « Dieu », le Dieu occidental, ce vieil opium des peuples qui a fait et continue de faire tant de mal dans l’histoire du monde  par désamour du monde, ça me stupéfie. Oubliés le fanatisme, l’impossible liberté de conscience, les cailloux jetés sur la femme adultère jusqu’à sa mort, Fantine jetée à la rue pour avoir fait un enfant sans être mariée, les homos lapidés et brûlés vifs, le Chevalier de la Barre torturé et écartelé pour ne pas avoir enlevé son chapeau devant une procession, et la chasse au plaisir féminin, censé faire de la femme une putain. Cf Ferrat « une femme honnête n’a pas de plaisir »… 

Voilà pourquoi j’ai hésité à publier ce texte de celle qui est « ma meilleure amie », ma première complice intellectuelle après Pierre Cassen. Non pas par refus du dialogue mais par agacement et épuisement de rencontrer, même sur Résistance républicaine, des censeurs et des dictateurs  nostalgiques des âges obscurs nous menant à un monde comme celui par exemple de Civitas qui ne veut pas qu’on fasse de musique dans les églises, qui voue les homos aux gémonies et est prêt à empêcher par la violence celles qui veulent avorter de le faire. On n’atteint pas les abysses de l’islam, certes, mais… Je crains que les remarques de Sylvia, même celles de bon sens, ne nous mènent au pire des mondes, celui de l’Inquisition renaissante par haine des excès de notre monde.

Christine Tasin 

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