Pour déloger les squatteurs, une mamie jette un nid de guêpes par la fenêtre : « C’est ma maison ! »
À Sant Martí de Tous (Espagne), une retraitée de 78 ans tente de récupérer sa maison squattée depuis son retour de vacances, en juillet dernier. Pour chasser les occupants, elle est allée jusqu’à lancer un nid de guêpes par la fenêtre. Une initiative qui divise dans le village et qui ne fera pas avancer la procédure qui s’annonce longue.
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Le paisible village de Sant Martí de Tous (Espagne), non loin de Barcelone, est secoué par un conflit : une habitante de 78 ans cherche, par tous les moyens, à récupérer sa maison squattée dans laquelle elle vit depuis plus de 50 ans, relate le média Cope.
Cinq squatteurs installés dans sa maison
Tout a commencé à son retour de vacances de la Costa Brava en juillet. La septuagénaire a découvert que cinq inconnus s’étaient installés chez elle. « C’était comme un coup de poignard. C’est ma maison, où j’ai vécu avec mon mari, où j’ai élevé mes enfants », raconte-t-elle. Face à l’absence de solution immédiate, elle a commis l’imprudence de tenter de se faire justice elle-même. Selon des témoins, elle a arraché un nid de guêpes d’un arbre voisin et l’a lancé par une fenêtre. Les occupants ont fui en hurlant et essuyé quelques piqûres. La vieille dame assure ne rien regretter. « Qu’ils portent plainte s’ils veulent. C’est ma maison, et je ne les laisserai pas y rester », lâche-t-elle, ajoutant qu’elle utiliserait « des guêpes, des abeilles ou tout autre insecte » si nécessaire. Pour l’heure, aucune plainte n’a été déposée par les squatteurs.
L’incident divise les habitants du village. « C’est une vieille dame, seule, qui défend ce qui lui appartient », plaide l’un de ses soutiens. Quand d’autres estiment le recours aux insectes disproportionné et dangereux.
La septuagénaire, qui loge pour l’heure chez une amie, va devoir se montrer patiente. Et pour cause : la maison est au nom de son fils et celle-ci n’est pas la résidence principale de ce dernier. En Espagne, l’occupation illégale d’une habitation qui n’est pas le logement habituel du propriétaire est considérée comme un délit mineur et n’est donc pas considérée comme une expulsion urgente, ce qui rend la procédure plus longue.
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Excellente initiative, pour parfaire la technique il faut utiliser un nid de frelons asiatiques.
vive cette mamie, de tout cœur avec elle, courageuse vieille dame, elle mérite une médaille et ses voisins un pied aux culs pour n’avoir rien fait pour l’aider.
Bonjour,
Réjouissant : merci Gamma !!!
C’est pour cela que j’aime et collectionne les insectes :=) !!
Et bien bravo à cette mamie c’est sa maison point barre 👍👏👏
Elle aurait pu aussi acheter une sarbacane et mettre du vitriol (ou du curare) sur les flèches ! Ou un peu de moutarde … Et pan dans une fesse !!
C’est une femme, elle est âgée mais au moins elle, elle en a. Ça nous change de tous les crétins de tout acabit qui braillent pour ne rien dire.
On voit bien que la société ne tourne pas rond. On va en arriver à se faire justice soi-même.
C’est mémé Tartine! Arracher un nid de guêpes pour le balancer à la gueule des enfoirés, fallait le faire! Bravo madame!
Je pense qu’il faut récupérer sa maison par tous les moyens et ne pas se laisser intimider par les menaces de procès. « Ils » jouent sur la peur du gendarme..
excellente idée ! lol
Mon commentaire ? Quand je vois comment les gens de son village réagissent, à part quelques uns, je constate que la connerie est partout. J’espère qu’à leur tour ils connaîtront les joies du squatting.
Oui, c’est honteux. Alors qu’ils devraient tous applaudir cette pauvre dame.
Je leur souhaite d’être squattés à leur tour.
Une mamie courageuse et qui a pris une bonne décision! Si chacun faisait la même chose, les parasites réfléchiraient à deux fois avant de s’installer chez les autres comme des coucous!