Il existe comme une grande entente entre des détenteurs des pouvoirs politiques, économiques et médiatiques pour nous déféquer dans le cerveau, nous nourrir de morosité, d’idées noires, et surtout faire diversion par rapport aux sujets réellement importants.
Où se trouve le bonheur ? Sans doute loin de tout ce poison, de cette fausse vie en société qu’ils créent artificiellement.
Les gens des campagnes, qui votent davantage patriote que les autres dans l’ensemble, le perçoivent avec facilité car la proximité avec la Nature leur permet de garder un sens du vrai et de prendre plus facilement du recul face à cette comédie humaine qui nourrit le chagrin et la colère.
Voilà des années que les principaux sujets d’actualité en France sont Gaza et l’Ukraine.
La France ne serait aucunement menacée si elle s’abstenait de prendre parti dans ces conflits. L’aplaventrisme de Macron, qui propose de reconnaître un « Etat palestinien » malgré le génocide du 7 octobre, malgré ce qu’on peut voir à l’intérieur de notre pays exposé à l’islamisme violent, vise sans doute à éviter le plus possible une nouvelle vague de terrorisme. Sa soumission extrême lui a permis de nous éviter dans une certaine mesure le terrorisme pendant ses deux mandats, mais à quel prix !
Quant à l’Ukraine, on verse des larmes de sang à force de soutenir ce pays dont on ne devrait avoir cure. Rien que les conditions dans lesquelles Zelensky a pu accéder au pouvoir montrent le niveau de ce pays. Il ne fait pas de doute que Poutine n’a pas et n’a jamais eu d’ambition coloniale vis-à-vis de la France qui n’appartient pas à l’empire culturel russe. Les Français auraient donc pu rester neutres dans ce conflit pour préserver leurs relations avec cette grande puissance.
Si on ne leur avait pas martelé le bourrichon avec ces conflits internationaux, et si on leur parlait davantage de la situation de leur pays, qu’ils connaissent finalement très peu, ils auraient d’autres préoccupations intéressant plus directement leurs intérêts, leurs vies…
Autour de nous, êtres de lumière, nous ne percevons bien souvent que des zombies désespérés et il est heureux que la Sécu mette la pression sur les médecins pour ne pas accorder trop d’arrêts maladie car sinon la moitié de la France serait arrêtée pour dépression !
Voilà encore un symptôme du déclin de la France : les arrêts maladie pour les maux de tête, les maux de l’âme…
Il n’y avait pas de Sécurité sociale lors des précédents conflits, disons clairement les précédentes guerres officielles de la France (j’écris « officielles » car depuis on nous livre des guerres officieuses, dans lesquelles on ne combat pas).
Dans ce pays de lavettes émotionnelles, de « petites choses » se faisant arrêter à la moindre contrariété, on n’aurait jamais pu mener le moindre combat, remporter la moindre bataille !
La faiblesse est devenue une vertu, elle est louée comme une qualité, une forme de sensibilité et l’état d’esprit guerrier est au contraire stigmatisé comme étant « extrémiste ».
On nous parle encore d’influenceurs dont on n’a rien à cirer, qui se plaisent à mettre en scène leur vie au lieu de la vivre.
La mort en direct de Raphaël Graven, alias JP ou Jean Pormanove, diffusée sur la plateforme Kick et suivie par des milliers d’internautes a suscité un immense scandale.
On n’aurait jamais pu imaginer un tel niveau de décadence un jour. L’information a occupé les médias toute la semaine.
Nous aurons encore des révélations sur l’infidélité de l’amante de EmmaParis, une « influenceuse » :
Pendant ce temps, notre pays continue à se surendetter, tandis que certains tirent parti de ce désastre et vivent comme des pachas.
Il serait plus intéressant qu’on nous communique les ressources, en détail, des milliardaires et multimillionnaires français, qu’on puisse accéder à leurs déclarations de revenus, qu’on puisse savoir dans le détail quels liens ils ont avec le pouvoir.
Vous n’y pensez pas, secret de la vie privée ! confidentialité ! liberté économique ! Vous ne saurez rien.
On ne saura rien non plus des contrôles sociaux et fiscaux menés ou non dans les cités sensibles, chez les dealers, proxénètes etc. Secret là encore !
On aimerait savoir combien nous coûtent les étrangers qui viennent se faire soigner gratuitement en France, de quelles opérations ou traitements pris en charge par notre pays ils bénéficient, combien ils sont, combien de temps ils restent…
Oups, secret médical ! vous ne saurez rien ! et ne seriez-vous pas un brin raciste à vous poser pareilles questions ?
On aimerait savoir combien coûte réellement un détenu en France… on n’en parle jamais…
On aimerait savoir dans quelles conditions un ancien ministre, un ancien haut fonctionnaire a été récupéré par le privé et y a fait fortune alors qu’il n’avait pas brillé par ses compétences durant le mandat où il a pu glaner des informations « secret défense » voire octroyer des décisions avantageuses à ceux qui l’emploient désormais ?
De tout cela, on ne nous parle pas. Par contre, beaucoup d’articles sur des faits divers du type le coq qui chante trop tôt le matin dans telle bourgade, ou dernièrement le procès intenté par un voisin à sa voisine parce que son chat se rend dans son jardin.
Le « bas peuple » trop habitué à négliger la défense de ses intérêts finit par s’écharper pour des conflits dignes d’une cour de récréation.
Les gens n’y peuvent rien, on leur défèque dans la tête à longueur de journée et cela finit par produire des résultats.
Il est loin le temps de la Déclaration de 1793 qui proclamait un « droit au bonheur » ou plus exactement faisait du bonheur commun le but de l’association politique : « Le but de la société est le bonheur commun ».
J’ai souvent envie de dire aux gens : pensez-vous vraiment que le gouvernement se soucie du bonheur commun ?
Et mieux encore, recherchez-vous votre bonheur dans cette vie ?
La plupart répondront que oui, que c’est une évidence. Mais leurs actes révèlent finalement qu’il n’en est rien.
Le bonheur doit se vivre au temps présent. Vouloir son bonheur demain n’a aucun sens. L’objectif ne sera jamais atteint si l’on consent trop de compromissions.
Lutter pour le bonheur suppose une grande intransigeance. C’est peut-être pourquoi nous, patriotes, passons pour des extrémistes. On chasse les atteintes potentielles à notre bonheur comme un artiste chasse la goutte d’eau ou la bulle d’air qui ternira son tableau, sa sculpture, son oeuvre.
Le bonheur répond à une certaine idée de la perfection dans l’imperfection. L’harmonie, en somme ! ou encore l’équilibre qui est l’équilibrage de forces contraires pour s’inscrire dans la bonne trajectoire, la forme exacte de l’instant présent qui mérite d’être vécu.
Les patriotes ont la même intransigeance que l’artiste qui sait que la moindre tache sur son oeuvre détruira l’harmonie recherchée. Leur extrémisme est celui d’une extrême justesse qui finit donc par être… de la modération !
Au contraire, le goût immodéré de la Macronie et ses alliés pour les compromis et la compromission en font des vecteurs permanents de déséquilibre. Ils nous promettent une vie construite de guingois et sont comme constamment au bord du gouffre.
Ce goût pour le précipice, le gouffre relève d’une tendance morbide profonde de leur part qui justifie tout à fait qu’on parle à leur sujet « d’extrême-centre » ou « d’extrême-gauche » car leur attraction pour le péril, la chute vertigineuse relève d’un danger extrême.
On a beaucoup parlé de la drogue qui circule à l’Assemblée nationale et ailleurs parmi certaines personnalités d’extrême-gauche ou d’extrême-centre : rien d’étonnant car ils retrouvent dans la drogue dure ce précipice qui les obsède.
Untel dans le « camp du bien » a été surpris en train d’acheter de la cocaïne… rien de contradictoire !
Leur amour du risque est outrancier et c’est ainsi que dès le lendemain des attentats de 2015 certains d’entre eux voulaient tenter une réconciliation avec les terroristes djihadistes au lieu de nous en débarrasser.
Je passe rapidement sur les sujets sportifs dont le football ou encore la chanson de variété. On trouve génial qu’une personne gagne des millions en tapant dans un ballon ou en chantant une chanson, au lieu de se soucier de la tragédie de nos vies passées à travailler encore et toujours plus pour arriver à épargner trop peu, n’avoir que trop peu de temps libre et ne finir ce cycle infernal qu’arrivé usé à la retraite…
A-t-on encore une idée de son salut dans cette France, c’est-à-dire avoir l’espoir de pouvoir vivre et achever sa vie de la façon la plus digne possible ; l’idée de l’image que les autres garderont de nous, ou le règne du chacun pour soi et de la négation des hautes valeur a-t-il définitivement pris le dessus ?
Existe-t-il une autre façon de profiter de cette vie que de se résoudre à l’ignorance, au mépris vis-à-vis de cette machination continuelle, ce processus continuel d’aliénation savamment entretenu qui nourrit les maladies mentales ?
Les trois singes de la Sagesse se ferment les yeux, les oreilles et la bouche pour atteindre l’ataraxie…
Le monde continue de tourner mais ils ont ainsi la disponibilité pour se consacrer à ce qui peut faire l’essence de la vie : cultiver, créer, rechercher la paix de l’âme !
Alors amis, quelle est la voie du bonheur en cette vie ?
Sans doute un juste milieu ! Continuer à chercher le vrai, dans les sources alternatives.
Rejeter la folie du monde présent telle qu’elle est mise en scène par les médias, qui n’est qu’un écran de fumée pour nous inciter à nous désintéresser de l’actualité. Mais ne pas renoncer à savoir ce que cache cet écran de fumée, par tous les moyens !
Aussi, essayer de garder une innocence, cultiver le goût de la beauté, la chercher partout, dans les relations humaines authentiques, dans la création artistique, dans la fréquentation des talents qui ont prospéré à toutes époques, dans la vie qui palpite encore autour de nous et l’espoir que portent les jeunes et les moins jeunes.
A toute époque, des hommes et des femmes ont eu la force de réaliser des chefs d’oeuvre alors que la société dans laquelle ils vivaient était hostile… nourrissons-nous de leur talent, de leur exigence, de leur force car ils ont su faire abstraction de toute la laideur que le monde d’alors projetait dans leur direction, sans les atteindre…
Savoir que les racines de l’humain sont profondes et pas dans ce seul monde. Que les racines de l’humanisme sont plurimillénaires et qu’on peut encore y puiser pour rester humain dans ce monde qui ne l’est plus.
A chacun sa méthode, mais qu’on se le dise bien : nous ne devons jamais renoncer à notre droit de revendiquer le bonheur, être heureux le plus possible pendant ce laps de temps que dure la vie, car si nous ne nous en soucions pas présentement, personne ne s’en souciera à notre place et surtout pas les marionnettistes qui nous croient la proie de leurs ficelles !
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Les marionnettistes ont raison d’en profiter !
Le Peuple Français n’a plus d’hommes, de vrais, ou que de très rares pour vouloir défendre le Pays. Et rare c’est vraiment trop peu pour sauver la France !
Ah si je pouvais tout seul …….
Hors sujet , mais tout sauf contexte général .
Pour ceux que ca intéresse je vous fait un retour sur le https://www.armurerie-auxerre.com/pack-fusil-umarex-t4e-tb-68-gen2-noir-16-j-cal-68.html , commander mardi soir , reçu ce jeudi à 11 heure par Chronopost . Dans le pack une seule cartouche de CO2 de 12 grammes et 100 billes caoutchouc d’entrainement 3 grammes donc légères , moins impactantes Moins douloureuses mdr .Je l’ai tester dans mon jardin c’est bruyant , efficace , impressionnant Bref une vrai arme de défense et contrairement à la non léthalité il est dit à léthalité réduite . A moins de 5 mètres avec des billes PLB 6 grammes ou des billes RIB à cœur d’acier 7.8 grammes ca peut faire plus que mal .Il me reste a acheter de quoi lui donner a manger en quantité bonne réserve de CO2 , de munitions efficientes , d’une lampe , d’un viseur point rouge ou vert et d’un viseur laser qui impressionnera encore plus les potentiels importuns .Conclusion je n’ai plus l’impression de n’avoir que ma b*te et mon couteau pour protéger ma personne et mon habitation ENJOY!!!!
Pormanove était le type de crétin que cette société de débiles engendre chaque jour. Se faire dérouiller devant des millions de spectateurs pour faire parler de soi c’est le summum de la crétinerie. Désolé, mais il a vécu comme un con et est mort de même. Les désespérés qui se jettent depuis le haut d’un immeuble, eux n’ont droit qu’à deux lignes dans les journaux. Et encore. Et pourtant ils mériteraient plus. Les drames anonymes sont souvent les plus terribles. Le désespoir sans visage et sans nom.