Cela s’est passé à Bologne, en Italie, dans le nuit de samedi à dimanche. « Allah Akbar« , le cri de guerre des djihadistes et de tout bon musulman a été tagué sur la statue de Saint Petronio, place Ravegnana. Tracé avec un spray de couleur blanche indélébile, c’est le signe d’une cohabitation multi-ethnique difficile (…)
La police mène une enquête facilitée par les vidéos-caméras de surveillance présente sur la zone. Et l’archidiocèse de Bologne s’est exprimé contre cette offense religieuse… au nom d’Allah : il condamne « fermement cet acte de celui qui a dégradé par un écrit provocateur le piédestal de la statue de San Petronio, symbole civil et religieux de la cité. User le nom de Dieu pour offenser les autres, est un blasphème. »
Et il continue par une admonestation philanthropique et confraternelle, au nom du Pas d’amalgame : « Le devoir de retrouver les responsables incombe aux autorités préposées. A tous les citoyens nous demandons en revanche de ne pas croire à des logiques d’opposition, et plutôt d’affirmer les raisons de la collaboration, entre tous, pour une cohabitation pacifique. » (…)
Sources française et italienne Il Messagero
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Souriez, citoyens européens, vous êtes sodomisés et, surtout, surtout : pas d’amalgame…
Pour s’extraire du langage de la mondialisation :
en français le mot « spray » se traduit par : bombe aérosol s’il s’agit comme dans cette histoire de taguer un mur ou un monument ou « vaporisateur » lorsqu’il s’agit de parfum.
Il y a quelques années un ouvrier avait tague » Allah akbar » sur une cathédrale : les autorites ecclésiastiques ont trouvé cela très bien. L’Eglise catholique est dhimmisée ! Alors cela ne m’étonne pas !…
Exactement et surtout combien de prêtres et d’évêques et de cardinaux sont franc-mac donc corrompus fraternisant avec l’ennemi tout comme nos traîtres de politocards !
Qu’attendent les chrétiens pour aller taguer « vive Jésus! » sur le mur de la mosquée de Bologne ? ( car je suppose que Bologne est aussi polluée par une mosquée !) Il y a qques années, au temps ou l’ayatollah Khomeiny sévissait encore en Iran, un fanatique avait tagué sur un mur de Téhéran « Ô allah, garde-nous l’ayatollah khomeiny jusqu’à l’arrivée du messie » et, au-dessous, un « petit plaisantin » avait répondu « et fais que le messie arrive vite ! » Ils y croient au Messie, mais c’est pas même que le nôtre ! Si leur messie est de la même veine que leur mahomet, ça nous promet des lendemains qui vont pas chanter…