Ces incendies qui tombent à pic… là où il aurait fallu défricher pour les centrales solaires…

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Comme il l’a été révélé très tôt, il y a bien un projet de centrales solaires là où ça a brûlé dans l’Aude, le journal local l’Indépendant en a parlé en 2024, évoquant même les Corbières comme « un nouvel Eldorado » des marchands de panneaux solaires.

Deux centrales photovoltaïques au sol d’environ 40 ha chacune, sont effectivement prévues, limitrophes, sur les communes de Tournissan et Ribaute, là donc où ça a brûlé. Les collectivités et la société Investisun portent ce projet, avec pour objectif d’augmenter la part de la production d’énergie renouvelable. Rappelons que ces énergies renouvelables sont largement subventionnées par de l’argent public et qu’elles produisent une énergie plus chère que celle d’EDF et de ses centrales nucléaires. Des voix s’élèvent pour s’inquiéter de leur impact écologique dans des zones préservées. Rappelons qu’au RPF, nous sommes contre ces subventions publiques à l’éolien et au solaire. Soit ces énergies sont rentables et elles entrent directement en concurrence avec EDF sur leurs fonds propres, comme n’importe quelle entreprise, soit elles mettent la clé sous la porte, comme toutes les entreprises pas viables.

Si on résume l’affaire, l’État a proposé aux viticulteurs d’arracher des vignes contre rétribution, lesquelles empêchent notoirement la propagation du feu, puis il a autorisé en préfecture le dépôt de projets solaires au sol, puis il y a un incendie.

Le fruit du hasard sans doute, même si ça tombe bien, pas besoin de payer le défrichage, c’est fait.

Le problème est que statistiquement, le feu prend souvent pour des raisons inconnues là où sont prévus des projets énergétiques ou immobiliers. Soit il s’agit d’un malencontreux hasard et n’en parlons plus, ça tombe juste bien. Sauf que les départs de feu ont été multiples dans l’Aude, comme souvent et que leur origine criminelle n’est pas à exclure d’emblée. Mais comme souvent également, on ne retrouvera pas les coupables et on les retrouvera encore moins s’il s’agit d’une équipe de professionnels connaissant leur affaire.

Si, par contre, ce fut une méthode, on est dans le registre du mafieux parce que des pompiers ont risqué leur vie et qu’il y a une dizaine de blessés et un mort, mais la vie des gens de ce pays ne semble pas trop compter, qu’il s’agisse d’incendies, d’injections de produits nouveaux, ou de délinquance d’origine extérieure. Les tributs en vies humaines à la sauvagerie ambiante ont tendance à dangereusement augmenter. On ne peut que souhaiter que la lumière soit faite sur l’origine des départs de feu et que l’enquêteur en chef, s’il trouve quelque chose de pas très clair, ne se « suicide » pas en tombant du 6ième étage… parce que ça aussi, ça fait partie des « heureux » hasards à la mode dernièrement.

Rassemblement du Peuple Français

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3 Commentaires

  1. Oui c’est comme à une époque sur la Côte d’Azur, Les zones protégées comme par hasard brulaient et quelques temps après on voyait surgir des lotissements de luxe pour millionnaires blindés. Qu’il y ait des gens qui meurent ou qu’il y ait des gens ruinés on s’en fout quand il y a des affaires de gros sous, les copains de Macron peuvent tout se permettre et tant pis si quelques uns de ceux qui ne sont « rien » crèvent ou sont ruinés

  2. C’est exactement comme pour la perte de papiers par TOUS les envahisseurs :
    ils perdent tous leurs papiers JAMAIS leur smarphone, c’est un phénomène qui devra être investigué dans le futur, quand la guerre qui arrive sera finie, et que le pays France se sera libéré de l’hydre démoniaque NAZISLAMISTE !!

  3. Un amis pompier me disait que les incendies étaient criminels, mais qu’il ne fallait pas le dire. Ça ne serait pas le djihad par le feu, des fois..