Le violeur afghan  fuit la justice et publie un selfie du Hajj à La Mecque…

« Hajj » :  pèlerinage à la Mecque 

Le violeur afghan  fuit la justice et publie un selfie du Hajj à La Mecque…

Violer les femmes en les droguant, mentir, être lâche, tout cela est parfaitement halal. 

La police espagnole a demandé l’émission d’un mandat d’arrêt international à l’encontre de Rahim Peerzada, un ancien diplomate afghan accusé de harcèlement et de viols. 

S’il est approuvé par un tribunal espagnol, ce mandat pourrait ouvrir la voie à des poursuites contre Peerzada et à son éventuelle extradition des États-Unis.

Peerzada, qui a dirigé  l’ambassade d’Afghanistan en Espagne après la prise de Kaboul par les talibans en 2021, avait commencé à coopérer avec le ministère des affaires étrangères des talibans peu de temps après avoir pris ses fonctions.

Selon le journal allemand Die Welt, qui a rapporté l’affaire pour la première fois mercredi 11 juin, une unité spécialisée de la police espagnole chargée de lutter contre la violence à l’égard des femmes a présenté ses conclusions à un tribunal de Madrid. La police a informé au moins l’une des victimes présumées par courrier électronique que l’affaire est désormais entre les mains d’un juge, qui déterminera si un ordre d’extradition doit être délivré.

Peerzada est actuellement en détention aux États-Unis. Il a été arrêté fin mars 2025 à l’aéroport international de Washington Dulles sous le pseudonyme de « Mohammad Rahim Wahidi ». Sa détention serait liée à une enquête criminelle distincte impliquant son beau-frère, Farhad Shakeri, qui est accusé par le ministère américain de la justice d’avoir participé à un complot visant à assassiner le journaliste irano-américain Masih Alinejad.

Quand le violeur posait tranquillement à la Mecque, certain de son impunité diplomatique…

Accusations de viols et de harcèlement sexuel

Plusieurs femmes, dont une Afghane vivant en Allemagne sous le pseudonyme d’Anis, ont accusé Peerzada d’agression sexuelle. Anis a déclaré à Die Welt qu’en 2022, alors qu’elle se trouvait à Madrid, Peerzada l’avait droguée et violée. « Ma vie ne sera plus jamais la même », dit-elle, « mais maintenant, au moins, il y a une chance que justice soit faite ».

Jusqu’à récemment, les procédures judiciaires en Espagne étaient bloquées en raison de l’immunité diplomatique de Peerzada. Le bureau du procureur de Madrid avait précédemment décidé qu’il n’était pas possible d’engager des poursuites tant que M. Peerzada conservait son statut diplomatique. Toutefois, face au tollé général et à l’attention des médias, le ministère espagnol des affaires étrangères a publié une déclaration précisant que M. Peerzada n’était plus reconnu comme diplomate dans le pays.

« Cette personne ne représente aucune délégation officielle, n’est pas accréditée en Espagne et ne jouit pas de l’immunité diplomatique », a déclaré le ministère. Son nom a depuis été supprimé du registre diplomatique officiel de l’Espagne, ce qui permet à l’affaire de suivre son cours.

M. Peerzada a nié toutes les allégations, les attribuant à des rancunes personnelles et à des déformations médiatiques.

Historique et rôle diplomatique

M. Peerzada a pris la direction de l’ambassade d’Afghanistan à Madrid en 2021, après que son prédécesseur, Homayoun Rasa, eut démissionné pour protester contre le retour au pouvoir des talibans. En octobre 2023, l’ambassade a annoncé qu’elle avait commencé à se coordonner avec le ministère des affaires étrangères des Talibans sur les questions consulaires et a déclaré dans un communiqué de presse qu’elle « représentait son pays et son peuple ».

https://www.afintl.com/en/202506133455


La gorge d’une femme enceinte tranchée pour un crime d’honneur…

Coran, sourate 47, verset 4 : « Les mécréants, frappez-les au cou »

La mécréance est attribuée à toute personne qui nie une chose qu’Allah, le Très-Haut, nous a ordonné d’y croire  (sic)

Pakistan

La dernière en date d’une série de crimes dits « d’honneur », une jeune mère enceinte de son deuxième enfant a été tuée par égorgement par ses proches après s’être mariée contre leur gré dans l’est du Pakistan, ont indiqué vendredi des responsables.

Muqaddas Bibi, 22 ans, avait épousé Taufiq Ahmed il y a trois ans au mépris de sa famille, qui considérait qu’un mariage d’amour – plutôt qu’un mariage arrangé – était honteux.

Les liens de Mme Bibi avec sa famille ont été rompus après le mariage,  mais sa mère et son frère l’ont abordée dans une clinique où elle passait un examen jeudi et l’ont convaincue de rentrer à la maison, en disant qu’ils acceptaient sa décision.

Le chef du poste de police local, Gohar Abbas, a déclaré que lorsque Bibi est arrivée chez ses parents, son père, son frère et sa mère lui ont tranché la gorge avec un couteau et qu’elle est morte sur le coup.

La semaine dernière, Zeenat Bibi, âgée de seize ans, a été tuée à Lahore par sa mère pour avoir épousé un homme de son choix, une affaire qui a suscité la condamnation de tout le pays.

Cette affaire a été rapidement suivie d’un autre meurtre, celui d’un couple de Lahore qui s’était marié sans le consentement de sa famille.

Dimanche, une autre jeune fille a été tuée par son frère parce qu’elle insistait pour épouser l’homme de son choix dans la ville de Sialkot, également au Pendjab.

Bibi avait une fille de 10 mois et était enceinte de sept mois lorsqu’elle a été tuée

Abbas a déclaré que la famille de Bibi s’était enfuie de leur maison après le meurtre dans le village de Buttaranwali, situé à quelque 75 kilomètres au nord de Lahore, la capitale de la province du Pendjab.

La police est à leur recherche et a déjà arrêté un autre membre de la famille pour avoir incité au meurtre. Chaque année, dans le Pakistan musulman conservateur, des centaines de femmes sont assassinées par leurs proches sous prétexte de défendre ce qui est considéré comme l’honneur de la famille.

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