Sansal oublié, la France fait construire par l’Algérie des navires de 400.000 à 600.000 €

BOUALEM déjà oublié….L’argent n’a pas d’odeur disait Vespasien !
Le business se fiche de la morale et du civisme sans scrupule…
Peut-être Tebboune cherche-t-il  à subvertir un séparatiste de Breiz Atao en réponse à l’asile politique donné aux dirigeants kabyles du MAK réfugiés à Paris ? Qui sait ?
Au moins la délicatesse eût voulu que l’on suspende provisoirement ce marché avec l’Algérie compte tenu des circonstances et du conflit engendré par la prise en otage de Boualem Sansal !
Juvénal de Lyon

Un vent nouveau souffle sur la coopération maritime entre la France et l’Algérie. 

Dans une initiative inédite, la coopérative maritime de Paimpol, située en Bretagne, a décidé de franchir la Méditerranée pour faire construire ses navires en Algérie, une décision motivée par la nécessité de renouveler une flotte vieillissante et de répondre aux contraintes économiques de la pêche française. 

Ce projet franco-algérien, piloté par le président de la coopérative Yannick Hémeury, marque une nouvelle ère de collaboration dans l’industrie navale entre la France et l’Algérie, à travers un chantier qui devrait voir naître des navires modernes pour un coût estimé entre 400.000 et 600.000 euros l’unité.

C’est dans ce contexte que le projet « Ar Mor » a vu le jour. Financé par Iberdrola via sa filiale Aile Marine, ce projet a été sélectionné dans le cadre d’un appel à projet visant à stimuler l’innovation maritime en Bretagne. Le constructeur espagnol a identifié en « Ar Mor » une solution viable pour moderniser la pêche en France, tout en valorisant les compétences industrielles de l’Algérie. C’est donc en Algérie que les navires seront construits, dans un chantier naval sélectionné pour son savoir-faire et sa capacité à répondre aux normes européennes, notamment celles de la motorisation IMO3.

Le projet « Ar Mor » repose sur la conception de bateaux de pêche de 12 mètres de long, adaptés à une utilisation polyvalente : arts dormants et arts traînants. Le design, avec une étrave inversée, répond à une logique d’efficacité et de sécurité en mer. La France, qui peine à faire face au coût toujours plus élevé de la construction de navires — souvent estimé entre 1 et 2 millions d’euros pour des modèles standards —, voit dans ce partenariat avec l’Algérie une véritable alternative. En construisant en Algérie, la France espère réduire significativement la facture tout en obtenant des navires de qualité.

Yannick Hémeury, dans plusieurs déclarations à la presse française spécialisée, notamment au journal Le Marin, a insisté sur l’urgence de renouveler une flotte française arrivée à un point critique. Certains navires inspectés ont plus de 50 ans, un fait qu’il juge inacceptable. Pour y remédier, la France s’appuie désormais sur l’Algérie pour construire des navires économiquement viables. Cette coopération démontre qu’il est possible d’associer rationalisation des coûts et montée en gamme industrielle dans un contexte où la durabilité devient une priorité.

Le premier navire issu de cette collaboration entre la France et l’Algérie devrait être réceptionné en 2025 à Paimpol. Ce jalon marquera un moment clé dans l’histoire de la coopération industrielle entre les deux pays. Pour la France, il s’agit d’un pari sur l’avenir de la pêche artisanale. Pour l’Algérie, c’est une reconnaissance de son potentiel industriel et de sa capacité à répondre à des appels d’offre internationaux, dans un secteur aussi stratégique que la construction navale.

La France, en optant pour la construction de navires en Algérie, mise sur un partenariat gagnant-gagnant. La France bénéficie de navires construits à des prix compétitifs, entre 400.000 et 600.000 euros, tandis que l’Algérie développe une industrie navale porteuse, avec des retombées économiques significatives en termes d’emplois, de transfert de technologie et de rayonnement régional.

Source : https://dnalgerie.com/la-france-se-tourne-vers-algerie-pour-la-construction-de-navires-de-400-000-a-600-000-euros/   

 Pcc : Juvénal de Lyon

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8 Commentaires

  1. On n’a pas d’entreprises en France, capables de fabriquer des navires de guerre ?

    Si ça, ce n’est pas une nième TRAHISON, dîtes-moi ce que c’est !!!?

    l’ordure à l’Elysée nous aura vraiment tout fait, il ne nous aura vraiment RIEN épargné !! j’t’en foutrais, moi, de donner du boulot à des connards pareils !!

    Comme l’a écrit notre Ami ARGO, ça va fonctionner au couscous ; d’ailleurs leur clan s’appelle le KKK, le KousKousKlan !!

  2. On leur achète ‘notre’ gaz plus cher que le russe depuis … Au non de quoi?
    Repentance…
    Et pour continuer les teutons qui nous polluent à la lignite, escrologie oblige,vous nous font payer ‘Notre’ électricité au prix du gaz.

    Dire que les GJ se sont fait casser la trogne pour quelques centimes sur l’essence…

  3. Si il y a bien un parfait symbole de l’état de décadence terminale et absolue dans laquelle a définitivement sombré notre pays…c’est bien çà! Nous en sommes désormais réduits à faire fabriquer nos bateaux par nos PIRES ENNEMIS!!… Je ne peux pas imaginer une dégradation plus ignoble et horrible que celle-là. Décidément, ce misérable « pays » et ce misérable « peuple » méritent la disparition totale!

    • 👍👍👍👍👏👏👏👏,d’accord ,mais seulement les 85% de francaouis méritent de disparaître.

  4. J’ai bien peur qu’on ne doive fuir si on ne veut pas avoir à supporter tout ça et se faire taper du bon argent pour le financer en plus. Je ne vois plus du tout comment la situation pourrait être sauvée.

  5. Après les USA et l’Inde, préparez-vous aussi à l’acier algérien qui va arriver dans quelque jours dans vos ports.
    Vous êtes vraiment naïf pour croire que quoi que ce soit va être suspendu pour Théo Clerc citoyen franco-français emprisonné en Azerbaïdjan pour un graffiti et encore moins pour Sansal un citoyen algéro-francais, citoyen français depuis moins d’un an.