France, Angleterre et Canada : Gaza n’empêchera pas votre naufrage…

Elizabeth I Servir le Diable, brandir son fanion et croire aux contes de fées, n’empêcheront jamais votre chute et la création de nombreuses Gaza au sein de vos capitales

Macron a toujours été le premier à annoncer les couleurs et à jeter les dés sur le tapis vert dans l’espoir d’obstruer les rayons incandescents des premiers signes d’une révolte et/ou d’une guerre civile.

Ces trois pays ont accueilli des décennies durant, le plus grand nombre d’islamistes de tout bord.

La monarchie et l’empire britannique dont le Canada fait partie s’effilochent, s’islamisent, perdent les couleurs chatoyantes de leurs emblèmes… Ils seront les premiers à devoir se confronter à l’islamisation et à la perte irrévocable de ce qui reste de leur prétendue démocratie.

Cette situation mijotait à petit feu bien avant Gaza et l’invention d’un peuple palestinien fictif.

Ce que National Geographic nous en dit : la camaraderie entre les Anglais et les musulmans est fameuse et date depuis l’alliance secrète d’Elizabeth I^re avec l’islam – Alors que l’Europe catholique se détournait de l’Angleterre protestante, la reine Elizabeth I^re a fait le choix inattendu de se tourner vers le monde islamique.

En 1570, Élisabeth I^re était dans une impasse suite à l’excommunication du pape, et boudée par le reste de l’Europe. Pour éviter la ruine, l’Angleterre avait besoin d’alliés. La reine a alors fait le choix inattendu de se tourner vers le monde islamique.

La période Tudor a été le sujet d’un grand nombre de films et de séries, pourtant cette histoire a rarement été contée. Jerry Brotton explore l’histoire oubliée des alliances anglo-musulmanes dans son livre Le sultan et la reine. De chez lui à Oxford, en Angleterre, Brotton explique pourquoi Elizabeth pensait que l’islam et le protestantisme avaient plus en commun que le protestantisme et le catholicisme.

La première chose qu’elle écrivit au sultan en 1579 était : Vous et moi avons beaucoup de similitudes en termes de théologie. Nous ne croyons pas en l’idolâtrie ou en l’intercession, c’est-à-dire en l’intermédiaire d’un saint ou d’un prêtre pour vous rapprocher de Dieu. Le protestantisme part du principe que le seul fait de lire la Bible vous permet d’entrer en contact direct avec Dieu. L’islam sunnite dit la même chose : vous avez le Coran, la parole du prophète, vous n’avez pas besoin de saints ni d’icônes.

Elizabeth avait là des fins politiques. Et elle le dit ainsi : Vous combattez l’Espagne catholique ; je combats l’Espagne catholique. Ce que personne ne mentionne, évidemment, c’est la figure du Christ. Dans l’islam, Jésus est un prophète, mais pas le fils de Dieu. Donc, dans toute la correspondance, ils contournaient ce problème. Ils parlaient toujours du fait qu’ils croyaient tous les deux en Jésus mais ne définissaient pas comment ils croyaient en lui ».

Que l’Angleterre, l’Empire britannique deviennent musulmans ne surprend donc personne. Qu’en est-il de la France ? Elle est laïque, n’a ni Dieu, ni saint, et se rue vers le progressisme qui fait d’elle une proie indubitablement abordable… Elle eut la malheureuse idée d’accorder sa nationalité aux musulmans de ses colonies.

L’islam a toujours nettoyé les terrains conquis ou envahis, afin d’y installer ses propres lieux du culte et déclarer ses droits au sol.

Macron, le président de la France, s’est aussi évadé, attiré pour les rayons lumineux de la richesse et des pétrodollars. Il ne sera jamais le vaillant soldat nationaliste, qui combattra pour instaurer « justice, droit et vérité » dans sa France agonisante.

Le Canada, tout comme la France et l’Angleterre, observent d’un œil apathique la fuite de leurs Juifs et l’islamisation rapide, forcée ou admise par contrainte, de leurs pays.

De façon presque logique, Israël deviendra donc la pierre d’achoppement entre ces démocraties moribondes et le petit État juif qui combat vaillamment l’invasion tacite, ou violente, barbare des arabo-musulmans régionaux au Moyen-Orient. Il veut survivre en qualité de démocratie ce qui sabote les assises de son judaïsme et entrave sa résilience.

Il ne s’agit donc pas d’un conflit territorial mais bien ethnique, religieux et idéologique.

Le nombre d’arabo-musulmans dans le monde est terriblement intimidant… Les chefs d’État faibles et consorts ont la mauvaise manie de s’agripper aux jupes flottantes des musulmans pour demeurer en surface.

Pour combien de temps ? Cela dépendra principalement du citoyen commun, du refus de sa subordination, de sa soumission à une religion et à des mœurs qu’il a combattus des siècles durant afin de les supprimer de son agenda.

De toute façon, cet état de léthargie momentanée, d’abattement, ne pourra jamais s’étendre sur des siècles… Le progrès a son mot à dire. En outre, il faut croire que des Charles Martel en herbe, surgiront un jour ou l’autre de l’écran obscur pour restaurer ses couleurs naturelles à la France et à l’Europe. Ou alors, c’est le Shador et le burnous qui seront à la mode et que nous verrons partout dans grandes vitrines des magasins parisiens.

Quant à Israël, qu’importent les menaces de Macron et des autres courtisans de l’Islam, il a survécu à toutes les civilisations depuis plus de cinq mille ans,… il est de l’étoffe qui appartient à l’éternité.

Si au lieu de menacer Israël, Macron et consorts s’occupaient de leurs basses-cours et de la consolidation de leurs trônes chancelants… à moins évidemment, qu’ils n’aient compris que rien ne sert de courir… qu’ils auraient mieux fait de partir à point.

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