Casey Means, médecin controversé, promue aux côtés de Robert Kennedy

Sacré Donald, il a le chic pour repérer des femmes belles, intelligentes et raffinées, et les embaucher dans son équipe. Mélenchon, qui collectionne les simplettes, les mal lunées et les matrones adipeuses doit en baver des ronds de chapeau.

Les crapules progressistes présentent Casey comme une influenceuse. Et pourquoi pas une chanteuse yéyé tant qu’ils y sont ?

Comme si elle faisait sur Internet la promo pour des produits de beauté, de la lingerie sexy et des régimes amaigrissants à base de jus de topinambours.

Or, elle a un diplôme de biologiste, en plus d’un doctorat de Stanford, une des plus prestigieuses écoles de médecine des USA. C’est anecdotique, mais ça montre une fois de plus la malhonnêteté des gauchistes sournois qui polluent les médias en dévaluant leurs ennemis politiques… pour s’extasier devant le verbiage des carabins de cour qui ne soignent que leur compte en banque à la télé.

Par la suite, Casey s’est lancée dans les affaires en commercialisant un moniteur de contrôle du glucose pour les diabétiques, dont elle est co-inventeur. Puis en pratiquant la médecine holistique où l’on ne soigne pas seulement les symptômes mais l’être humain dans son entier. Entrant en conflit avec les vieux birbes de gauche, forcément de gauche, stipendiés par Big Pharma. Lesquels n’admettent pas qu’une femme de 37 ans réussisse mieux qu’eux, sans céder à la corruption des labos.

Elle a aggravé son cas auprès des caciques mondialistes en mettant son expertise au service de Robert F. Kennedy Jr, en particulier dans la dénonciation de l’imposture des pseudo-vaccins covid. Inefficaces, dangereux ou mortels selon la résistance des cobayes.

Elle a essayé d’être végane, mais ne résiste pas à un bon BBQ

Elle s’est fait d’autres ennemis en plaidant pour une meilleure hygiène de vie dans un pays où la malbouffe, l’alcoolisme, les addictions diverses, le stress, l’obésité, les maladies cardiovasculaires et la dépendance aux molécules chimiques sont les plus grands pourvoyeurs des cimetières.

Après avoir été nommé « ministre de la Santé », Kennedy Jr a présenté le docteur Casey Means à Trump. Quelques heures plus tard, le Président la nommait « surgeon general of the United States ». Après avoir viré Janette Nesheiwat sur le conseil de Laura Loomer dont on vous a parlé ici récemment.

Nesheiwat, américano-jordanienne, ne partageait pas les vues du boss sur l’immigration. Elle voulait aspirer le plus grand nombre possible de gens comme elle dans les rouages de l’État. Alors que Donald a fermé les programmes de diversité et d’inclusion, et ne rigole pas avec ça ! Chacun doit réussir selon ses mérites. Pas en bénéficiant d’un coup de pouce ethnique.

En plus, Janette prétendait que les prétendus « vaxxins covidesques » étaient « un don de Dieu. » Rien que ça. Une faute de goût impardonnable. S’ajoutant à son mariage avec un personnage douteux, l’ancien conseiller à la sécurité nationale Michael Waltz, évincé après avoir divulgué « par inadvertance » des secrets militaires.

Casey Means préconise les médecines naturelles

Et je ne saurais lui donner tort. En Polynésie, j’ai un copain médecin formé en métropole, qui prescrit aux Popaa les remèdes conventionnels de l’allopathie (non, il ne soigne pas par téléphone).

Mais s’il est vraiment en confiance, il déclare qu’il ne croit pas trop à leurs vertus. Ce qui lui vaudrait d’être radié comme ses confrères qui avaient refusé d’empoisonner les gens avec les mixtures expérimentales à ARNm. Encore heureux quand des nervis macronards ne les tabassaient pas.

Un jour, j’ai dit au taoté que sa consœur de la petite île où je résidais avant avait été incapable de venir à bout d’une sévère entorse au mollet. Les anti-inflammatoires ne faisaient que suspendre la douleur… J’étais allé voir en claudiquant la sorcière du volcan. En deux jours, avec une décoction amère et un onguent malodorant dont je préfère ignorer la composition, j’étais guéri.

Mon ami toubib m’a répondu : « Ça ne m’étonne pas. Pour soigner ma famille, j’oublie tout ce que j’ai appris en France, et je demande conseil au tahu’a (sorcier) Il est plus doué que moi. »

C’est quoi le nouveau job de Casey Means ?

Avant 1970, le chirurgien général était traditionnellement choisi parmi les officiers de carrière en uniforme. Aujourd’hui, le poste revient à un médecin civil qui s’aligne étroitement sur le parti politique du Président. En souvenir des origines de l’institution, on lui accorde le rang de vice-amiral. Même s’il n’a jamais navigué que sur un pédalo.

Le chirurgien général des États-Unis est le chef opérationnel du corps de santé publique (Health Service Commissioned) et le principal porte-parole en matière de santé publique dans le gouvernement fédéral. Son bureau est à côté de celui du secrétaire à la Santé.

À ce titre, elle pourrait lancer une campagne de moralisation de l’industrie pharmaceutique semblable à celle visant la sécurité des automobiles dans les années 1960 unsafe at any speed obligeant des grandes firmes à modifier leurs processus de fabrication pour ne pas être boycottées et disparaître.

Le surgeon general est nommé par le Président des USA parmi les personnes ayant exercé dans les services de santé. En l’occurrence Casy a été interne des hôpitaux pendant 4 ans après son doctorat. Avant d’occuper des postes de recherche au National Institute of Health, à l’université de New York et à l’Oregon Health & Science University. Pas mal pour une vendeuse de petites culottes sur les réseaux sociaux !

Le choix du Président doit être confirmé par le Sénat. Le mandat du chirurgien général est de quatre ans, lié à celui du Président. Mais elle est sur un siège éjectable. Comme tous les fonctionnaires fédéraux. On devrait faire pareil en France.

Avec 6 500 personnes sous ses ordres, elle rendra compte de ses actions au secrétaire à la Santé et fera des propositions pour de futurs décrets présidentiels. Outre les questions de santé stricto sensu, elle sera amenée à se prononcer sur l’éducation du public américain et la promotion de choix de vie sains. On imagine sans peine que les woke, le sexe à la petite école, les pédophiles mondains, les LGBT et les queer, mais aussi les alcoolos et les drogués seront moins favorisés qu’au temps de Robinette.

Le bureau de Casey pourra émettre aussi des avertissements sanitaires. L’exemple le plus connu est l’avertissement présent sur tous les paquets de cigarettes depuis 1966. Ou l’avertissement de santé apparu sur les étiquettes des boissons alcoolisées depuis 1988. Osera-t-elle « l’excès d’islam est dangereux pour la santé mentale ? »

Il est probable qu’à la différence de nos ministres français, elle ne disposera pas d’assez de temps pour écrire de nouveaux livres pendant son mandat. En attendant, son best seller « Good energy, le lien entre métabolisme et santé optimale » se vend toujours. Il a approfondi le concept des maladies de civilisation.

Près de 90 % des maux dont vous souffrez sont d’origine psychosomatique. Sans être la cause unique de tous les désordres, lorsque la psyché se révolte ou se résigne, elle reporte ses rancœurs et ses angoisses sur les organes. Les altérations et la perte d’énergie qui en résultent amplifient la dégradation naturelle de la machinerie humaine, et préparent le terrain aux microbes et aux virus.

Christian Navis

Climats sous influence

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