Les égorgeurs félicités par Macron encerclent à nouveau Maaloula, comme en 2013

Maaloula, (Syrie), un haut lieu de la chrétienté d’Orient, village martyr  en 2013 va de toutes évidence subir à nouveau un nouvel Oradour. Alors c’était les monstres de l’Etat islamique, aujourd’hui ce sont les musulmans  revenus au pouvoir sous les acclamations de Biden, Macron, Der Leyen… tellement heureux de voir partir les Russes, civilisés, respectant femmes et hommes, quelle que soit leur religion, 

Merci à Juvénal qui m’a fait suivre le tweet ci-dessous :

 

En 2013 

Ce qu’ « ils » ont fait de Maaloula, village chrétien en Syrie…

Nos articles de l’époque ont perdu leurs illustrations. suite à un changement d’hébergeur.

https://www.france24.com/fr/20130905-syrie-al%20nosra-village-chretien-maaloula-attaque-rebelles-islamistes

En 2018

A Maaloula, les « amis » musulmans des chrétiens sont sortis acclamer Daesch qui les égorgeait

[…]

Le père Toufik, francophone, curé de cette paroisse grecque catholique melkite à Maaloula, prieur du monastère Saint Serge et Bacchus dominant la ville, se rappelle d’un temps où « 206 000 visiteurs dont 34 000 Français se pressaient ici. On y vivait ensemble, en paix, avec les musulmans, Daesch chasse les chrétiens mais persécute et exécute les musulmans et les yézidis qui ne se soumettent pas », rappelle-t-il.

Destructions, otages et martyrs. Conséquence de cette occupation : les églises de Maaloula sont détruites et ravagées. Le couvent de Sainte Thècle de rite grec orthodoxe, tenu par des religieuses, a été vandalisé jusqu’à la profanation de la tombe de la Sainte, les pilleurs espérant y trouver des bijoux, l’église Saint Georges défigurée (mais aujourd’hui « restaurée » par l’association SOS Chrétiens d’Orient). Les statues décapitées, les icônes défigurées, les évangiles brûlées ne se comptent plus ; de même la croix et la coupole du monastère de Saint Serge et Saint Bacchus ont été vandalisées.

Et comme si tout cela n’était pas déjà suffisamment tragique, les Sœurs du couvent de Saint Thècle seront enlevées… avant d’être libérées contre une rançon le 14 avril 2014.

Mais surtout, à retenir pour la mémoire et pour l’histoire, la mort de 3 chrétiens devenus les martyrs de Maaloula.

Le Père Toufik relate ainsi le drame : « Leur maison a été la première à tomber entre les mains des djihadistes quand ils sont rentrés en ville. Leurs habitants étaient trois à se cacher à l’intérieur : Sarkis, qui était en deuxième année d’université, Antoine, qui était le facteur de Maaloula et Michail, père de trois fils. Les trois hommes avaient le choix entre la conversion à l’islam ou la mort. N’hésitant pas sur leur choix, ils ont été abattus de sang-froid… »

Pendant 8 mois, Maaloula entre en hibernation et se meurt. Jusqu’au 14 avril 2014, où le soleil reparaît derrière les nuages gris assombrissant cette portion de terre chrétienne : le village est libéré par les forces de Damas aidées par le Hezbollah libanais.

Peu à peu, les Maaloulites reviennent, reconstruisent, avancent malgré la tristesse et souvent le désespoir lorsqu’ils retrouvent leurs habitations pil­lées, brûlées et détruites.

Aujourd’hui, seules quatre familles de musulmans résident à Maaloula et l’appel à la prière du muezzin n’a pas résonné au lever du jour…

[…]

Armand Lanlignel

https://resistancerepublicaine.com/2018/02/21/a-maaloula-les-amis-musulmans-des-chretiens-sont-sortis-acclamer-daesch-qui-les-egorgeait/

 

En décembre dernier…

À Maaloula, en Syrie, « les musulmans sont en colère et les chrétiens ont peur »

Dans ce village millénaire où l’on parle l’araméen, la langue du Christ, les chefs des communautés chrétienne et musulmane appellent au calme. Mais les plus belliqueux dressent des listes.

Les policiers locaux se sont débinés en catimini, dès l’annonce de la fuite de Bachar el-Assad. Ils ont fermé à clé le commissariat, laissant derrière eux, bien rangés, armes et uniformes. Découvrant à leur réveil qu’il n’y avait plus personne pour les protéger, craignant que les djihadistes ne débarquent et ne les massacrent comme en 2013, les villageois ont fui en nombre. À 10 heures tapantes, seul dans l’église grecque catholique melchite Saint-Georges, Jalal Gazal, le prêtre, vêtu de la chasuble, a fait sonner les cloches. Personne n’est venu.

[…]

https://www.lepoint.fr/monde/reportage-a-maaloula-en-syrie-les-musulmans-sont-en-colere-et-les-chretiens-ont-peur-18-12-2024-2578260_24.php

 

Et aujourd’hui…

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3 Commentaires

    • Bonjour,

      En 1982, à Hama, la racaille sunnite s’est soulevée et a commencé à massacrer les minorités.

      Le père de Bachar a d’abord exfiltré les chrétiens de la ville et s’est occupé sérieusement, ensuite, de ladite racaille.

      19 en force !

      • Exactement! ces soi-disants « horribles massacres » d’Hafez el-Assad étaient en fait de salutaires opérations de nettoyage anti-islamiste! Je félicite V. Poutine pour avoir sauver d’extrême justesse Bachar el-Assad et sa famille. Ils doivent être horrifiés de voir ce qu’est devenu leur pauvre pays!…