Berlin : un « réfugié » musulman poignarde un touriste au Mémorial de l’Holocauste

Arrestation de l’auteur syrien de l’attentat à Berlin

►Berlin, Mémorial de l’Holocauste : l’auteur de l’attentat au couteau est un « réfugié » Syrien…

Les enquêteurs pensent que le crime était « politiquement motivé ».

Bien sûr, étant donné que l’agression a eu lieu au Mémorial de l’Holocauste, mais il y a aussi ceci :

Coran 47 : 4 – Les mécréants, frappez-les au  cou 

De plus, il avait un Coran sur lui :

Selon les enquêteurs, le « réfugié » syrien musulman arrêté après avoir poignardé sur le site du Mémorial de l’Holocauste à Berlin voulait tuer des Juifs :

« Au moment de son arrestation, il portait un sac à dos contenant un tapis de prière, un Coran, une feuille avec des versets du Coran »

Après les habituelles tentatives de dissimulation – qui plus est à la veille des élections – on connaît désormais l’origine de l’auteur qui a sauvagement poignardé un touriste espagnol dans le cou.

Comme l’a confirmé le procureur, l’auteur de l’attentat est le Syrien Wassim al M. un jeune Syrien de 19 ans demandeur d’asile. Le clandestin vivait dans un centre d’hébergement pour réfugiés à Leipzig. Les locaux ont été perquisitionnés par la police samedi.

Mains tachées de sang après l’arrestation
La victime a subi des blessures mettant sa vie en danger. Seule l’intervention rapide des sauveteurs et une opération d’urgence, après laquelle il a dû être placé dans un coma artificiel pendant un certain temps, ont pu lui sauver la vie. Sa vie n’est plus en danger.

Le Syrien s’enfuit dans un premier temps, mais est arrêté par la police berlinoise environ trois heures plus tard. Lors de son arrestation, ses mains étaient encore couvertes de sang et il avait sur lui l’arme présumée du crime.

Le mémorial de l’Holocauste a été fermé aux visiteurs, une grande tache de sang est encore visible sur une stèle en béton.

Le fait que l’on s’interroge sur le motif de l’acte fait partie de la rhétorique habituelle qui accompagne de tels attentats, mais si les enquêteurs partent maintenant du principe que (selon les informations de Bild) « l’acte est motivé par des raisons politiques », il serait tout de même approprié de remplacer le mot « politique » par « islamiste ». Car ce que nous vivons est bien le djihad.

►Attentat islamiste de Mulhouse au cri de « Allah Akbar » : l’assaillant est Brahim Abdessemed, migrant algérien fiché terroriste et sous OQTF.

Et le terroriste est toujours en vie, pourquoi exactement ?

Placé en CRA jusqu’en juin dernier, l’Algérie l’aurait refusé dix fois (MàJ : il avait appelé au djihad en 2023)

Aucune de ces « listes de surveillance pour la prévention du terrorisme » ne permet réellement d’empêcher le terrorisme.

Le pauvre homme, essayant d’aider les policiers… qui auraient dû être autorisés à tirer sur le sale terroriste muslim… a donné sa vie pour les autres.

Dossier complet sur Fdesouche

Opinion / Riposte : Djihad à Mulhouse : FLN assassin

►Le directeur de la seule école musulmane de Suède surpris en train de prêcher le djihad…

FriaTider

L’inspection suédoise des écoles a décidé que le président du conseil d’administration de l’école islamique de Växjö n’était plus apte à diriger une école et qu’il devait démissionner avant le 25 avril. Cette décision intervient après qu’il a prêché sur le djihad lors d’une prière du vendredi, qui a également été filmée.

C’est au printemps 2024 que l’Inspection suédoise des écoles a été informée de possibles abus dans cette école, qui est l’unique école musulmane de Suède.

L’autorité a alors lancé un examen pour évaluer l’aptitude du personnel. À la suite de cette inspection, il a été décidé que le président du conseil d’administration de l’école, qui exerce également les fonctions de chef exécutif, ne pouvait pas continuer à exercer ses fonctions.

Photo de la page Facebook de l’école

Dans un communiqué de presse, l’école écrit qu’elle « prend très au sérieux la décision de l’inspection suédoise des écoles et qu’elle rendra compte des mesures prises à l’autorité dans les délais impartis ».

Le contexte de la décision est un sermon prononcé lors de la prière du vendredi, dans lequel le directeur de l’école aurait déclaré, entre autres, que :

« la situation vulnérable des musulmans dans le monde d’aujourd’hui est due au fait que les musulmans ont abandonné le djihad et qu’il n’est pas enseigné dans les écoles et les foyers ».

Il a également appelé à « enseigner à nos enfants à faire le djihad » et a raconté comment les compagnons du prophète Mahomet donnaient la priorité au djihad plutôt qu’aux dattes.

Le président du conseil d’administration nie les accusations et affirme que les déclarations ont été sorties de leur contexte et que des erreurs de traduction (sic) ont été commises. Cependant, l’inspection suédoise des écoles, assistée par le Centre contre l’extrémisme violent (CVE), note que le sermon portait exclusivement sur le djihad en tant que lutte armée. L’autorité rejette donc les objections.

L’école islamique de Växjö a maintenant jusqu’au 25 avril pour renvoyer le représentant. Dans le cas contraire, des mesures plus graves pourraient être prises.

►Dans le métro de Téhéran, des « salles de repentir » pour celles qui ne portent pas le voile…

Iranwire

Un théâtre surréaliste se déroule dans un coin faiblement éclairé du métro de Téhéran.

Le bout de leurs doigts ornés de vernis à ongles interdits, des jeunes femmes tendent des mains tremblantes vers un sanctuaire artificiel.

Des larmes coulent sur leurs visages tandis que des mèches de cheveux rebelles – symboles de défi – s’échappent de foulards arrangés à la hâte.

Leurs voix, chargées d’émotion, professent une dévotion soudaine aux imams chiites et au général Qasem Soleimani.

Les murs sont couverts de photos encadrées de bassidjis tués lors des manifestations et de membres décédés de l’Axe de la Résistance.

On entend une voix de femme, d’une gentillesse exagérée, leur offrir un foulard « béni », leur demander de le porter et de promettre de maintenir leur hijab à partir de maintenant.

Une vidéo  montre l’étrange et soudaine transformation de jeunes filles qui ne portaient pas le voile auparavant.

On les voit se laisser submerger par l’émotion en découvrant un simulacre de sanctuaire du troisième imam chiite, ainsi que des images de Qasem Soleimani et de personnalités admirées par la République islamique.

Dans une émission diffusée sur la chaîne du Coran, Bahareh Jangravi, chef du groupe des Filles de la révolution – qui promeut la culture approuvée par le gouvernement et l’application de la religion – a revendiqué la responsabilité du concept et de la mise en œuvre de la « salle de repentance ».

Bahareh Jangravi (photo) a été identifiée comme étant l’assassin d’Armita. Cette criminelle  est membre du Corps des gardiens de la révolution islamique, professeur d’université et fondateur de l’association « Filles de la révolution ».

Les Filles de la révolution sont un groupe de membres du Basij et de personnes chargées de faire respecter le hijab, qui se consacrent à la répression des femmes qui refusent de porter le foulard et à la propagation d’idéologies approuvées par l’État.

Elles ont organisé le mariage d’un Libanais qui a perdu la moitié de son visage à cause des explosions de bipeurs du Hezbollah.

Elles ont organisé des conventions pour promouvoir le tchador, rencontré Khamenei et prétendu persuader les opposants au hijab par le « travail culturel » et la persuasion.

Ali Khamenei,  ayatollah iranien, guide suprême de la Révolution islamique depuis 1989.

En avril 2023, au plus fort de la désobéissance civile des femmes contre le hijab obligatoire, Bahareh Jangravi   a déclaré à l’agence de presse Fars qu’elles s’étaient délibérément approprié le nom des filles de la rue Enghelab [Révolution], un mouvement dans lequel les femmes protestaient en hissant leur foulard sur des bâtons.

« Lorsque nous avons constaté les comportements anti-valeurs du mouvement de la rue Enghelab, nous avons décidé d’y opposer notre propre mouvement influent de femmes portant le hijab », a-t-elle déclaré.

« Nous avons cherché un nom qui éclipserait le leur – un nom enraciné dans la culture révolutionnaire, la voie de l’imam et les méthodes des martyrs ».

Que se passe-t-il réellement dans le métro tadjik ?

Maryam, une sociologue basée à Téhéran qui emprunte quotidiennement le métro, explique :

« Ce sont les mêmes personnes qui imposent le hijab dans le métro. Auparavant, ils déclenchaient des disputes et des conflits ; aujourd’hui, ils essaient de manipuler les émotions des gens pour provoquer des sentiments religieux et nationalistes. Ils ont remplacé la confrontation par des mots mielleux pour imposer leur volonté ».

Jangravi décrit leurs tactiques : « Lorsque les filles s’approchent du sanctuaire, nous leur mettons des lunettes 3D et les transportons à Bayn al-Haramayn [un site religieux en Irak].

Des lunettes 3D…

« Elles voient l’espace du sanctuaire de l’imam Hussein lorsqu’elles tournent la tête. Lorsqu’ils pleurent, nous les emmenons à l’intérieur du sanctuaire hexagonal. Nous avons placé à l’intérieur une pierre provenant du sanctuaire de l’imam Hussein, qui nous a été donnée par les serviteurs du sanctuaire.

Nous leur demandons s’ils connaissent ces martyrs. La plupart d’entre eux respectent Haj Qasem ».

Le groupe de Jangravi affirme avoir converti 300 filles au port du hijab en seulement six jours d’opération dans les cabines de métro.

Ils partagent leurs vidéos sous le titre « Clean Cultural Work for Hijab » (Travail culturel propre pour le hijab).

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