De Fantasia 1940 à Fantasia 2000, deuxième partie

(Illustration : après la fleur de maracuja, le fruit ! Six sont nécessaires pour obtenir un litre de jus délicieux, on peut aussi faire du rhum arrangé)

Après le Fantasia 1940, les studios Disney remettent le couvert en 1999 sous le nom de Fantasia 2000. Cette fois c’est James Levine à la tête de l’orchestre de Chicago qui va nous interpréter les œuvres choisies. J’ai prévu beaucoup de liens pour Fantasia 2000 et pour ne pas charger la bête, cet article sera partagé en deux. Comme pour Fantasia 1940, je vous mets le lien Wikipédia qui vous donnera tous les détails :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fantasia_2000

Naturellement, je vous proposerai les œuvres complètes ; on commence par la cinquième symphonie de Beethoven. De tout le répertoire symphonique que je connais, cet opus 67 est certainement le plus parfait. La symphonie est remarquable par son unité, le fameux thème initial, trois sol et un mi bémol, parcourt toute l’œuvre. Il a été utilisé pendant la seconde guerre mondiale dans « les Français parlent aux Français ». La « cinquième » de Beethoven reste unique. Comme pour la Pastorale, j’ai choisi la version Orozco Estrada en particulier pour les trompettes et cors naturels :

Après Beethoven, nous passons à Respighi avec les Pins de Rome qui font partie d’un triptyque, Les Fontaines de Rome écrit en 1916, Les Fêtes romaines en 1930. Le morceau qui nous concerne date de 1924. Voici une version enregistrée à Noël 2013 :

En voici une autre dont j’ignorais totalement l’existence, celle de Bernstein en 1970 :

Et comment résister à l’enthousiasme de Georges Prêtre dans Les Pins de la via Appia ?

Le film se poursuit avec Rhapsody in blue, de Georges Gershwin, écrit en 1924. Mais retrouvons Leonard Bernstein dirigeant de son piano le New York Philharmonic en 1976 :

À suivre…

RIONS UN PEU…

Avec Victor Borge (sous-titres français disponibles sur YouTube).

Filoxe

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