L’atmosphère est détendue dans le bâtiment qui abrite la 61e conférence de Munich sur la sécurité ce vendredi 14 février. Tout le monde est radieux. On échange poignées de main, accolades et bises sur les deux joues. On s’apprête à écouter l’intervention du vice-président américain, JD Vance. Mais on ne s’attend pas à grand-chose de lui. C’est un novice. Et puis, le vice-président américain n’a jamais été qu’un valet de chambre à la Maison-Blanche.
JD Vance monte à la tribune. Il est élégant, la stature majestueuse, l’œil perçant. Il n’a pas parlé plus d’une minute que les sourires dans l’auditoire se figent. Vance vient de prononcer des mots terribles : « la menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales : des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique. »
En face de lui, les mines sont brusquement renfrognées. Certains cherchent à accrocher le regard d’un pair, d’un collègue, d’un ami pour partager leur désarroi et leur détresse.
Impitoyable, Vance continue. « L’Europe doit écouter ses peuples ou périr. » « Il n’y a pas de place pour des pare-feu dans une démocratie. Si vous avez peur de vos propres électeurs, l’Amérique ne peut plus rien pour vous » « Croire en la démocratie, c’est comprendre que chacun de vos citoyens est capable de penser par lui-même et dispose d’une voix ». « Écoutez ce que votre peuple vous dit, même si cela vous surprend, même si vous n’êtes pas d’accord »…
Dans l’assistance, les visages virent du vert au noir. Scholz demande à ses gardes de corps de l’accompagner aux toilettes. On ne veut plus entendre ce trublion.
Rien à voir avec la chiffe molle de Mike Pence, vice-président lors du premier mandat de Trump.
En 4 ans, Mike Pence n’avait fait parler de lui que deux fois : lors des évènements du 6 janvier 2021 quand il s’est démarqué de Trump, et en mars 2023 lorsqu’il a annoncé qu’il ne soutiendrait pas la campagne de celui qui en avait fait son vice-président.
Un félon dans toute sa splendeur.
Il aura fallu moins d’un mois après l’investiture de Trump pour que son vice-président mette l’Europe sens dessus dessous. Les dirigeants dessous. Les peuples dessus.
Aucun membre de l’élite européenne n’osera plus se présenter devant le terrible Vance ou l’inviter dans son pays. Vance sera désormais fui et craint comme la peste.
Il est d’office déclaré persona non grata dans ce havre de progrès, de démocratie et de paix qu’est l’Union européenne.
Une obligation de quitter le territoire européen (OQTE), signée par le Macron et le chauve Sholtz, lui a certainement déjà été délivrée.
On pense à la tête que doit faire le Pence en regardant son successeur Vance démolir l’élite européenne en la regardant droit dans les yeux.
Il le sait. Il n’aurait jamais osé pareil discours. Maintenant, il doit aussi s’attendre à des foudres de la part de Trump, les foudres que mérite tout félon.
Pence a été un traître et une crapule. Vance est un héros. C’est là toute la différence entre le premier et le second mandat de Trump.
Ce deuxième mandat de Trump démarre dans l’euphorie de tous les patriotes du monde. Les patriotes avaient été frustrés lors de son premier mandat altéré par la Covid, le Dr Fauci, son conseiller médical, et d’autres crapules.
Le nouveau régime américain, conduit par Donald Trump, sera plus fort, plus coriace, plus dévastateur pour les dirigeants corrompus européens qui méprisent leurs peuples.
Il n’y avait pas d’égal de JD Vance dans le premier mandat de Trump. Il n’y avait pas d’égal d’Elon Musk.
La présence de Vance et de Musk dans l’administration Trump sont une garantie de continuité du nouveau régime américain quoi qu’il arrive. C’est tellement rassurant.
C’est un régime qu’on ne peut qu’applaudir et espérer qu’il perdure jusqu’à ce que toutes les crapules d’Europe soient nettoyées.
JD Vance n’a que 40 ans. Il ira loin.
So help him God.
Messin’Issa
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Oui, JD. Vance a l’œil perçant et une belle prestance.
Il fait son discours sans petits papiers, il sait de quoi il parle.
TRUMP s’est fait avoir la première fois.
Les gauchistes ont réussi à lui barrer la route et à le faire tourner en bourrique, car il ne connaissait pas le milieu des polichinelles de gauche.
Aujourd’hui, il a pris la mesure de la situation.
Il a su écarter les RINO qui l’avaient trahi, et s’est choisi une équipe de choc.
Il ira loin, très loin.
Vive TRUMP !
Trump a bien appris des erreurs de son premier mandat et sait s’entourer aujourd’hui de personnalités de grande valeur qui décoiffent l’establishment avec brio. Son administration apparait jusqu’ici comme extrêmement solide et capable de rendre coup sur coup à ses détracteurs et autres personnages nuisibles. Un vent nouveau semble souffler sur le monde. Toutefois, restons prudents car beaucoup de grands mafieux restent encore en liberté avec une capacité de nuisance considérable.
Excellent, c’est ce que je pense aussi, il ira loin.