Attaque à la grenade : l’hypothèse d’une vengeance liée au trafic de cigarettes, le pronostic vital de deux à trois victimes engagé
Une quinzaine ont été blessées, dont six grièvement, dans une violente explosion à la grenade survenue ce mercredi 12 février, vers 20 heures, dans le local d’un bar associatif du quartier du Village-Olympique à Grenoble.
Bizarre, allez savoir pourquoi l’attaque à la grenade qui a eu lieu hier dans un bar de Grenoble (quartier du village Olympique) me fait penser aux méfaits d’Al Capone il y a presque un siècle, le 13 février 1925. Je trouve qu’il y a d étranges ressemblances… Et ce n’est pas rassurant, au moins pour les Grenoblois !
Al Capone : le massacre de la Saint-Valentin
Le massacre de la Saint-Valentin fut commandité par Al Capone dans le but d’éliminer le gang rival dirigé par l’irlandais George « Bugs » Moran (1893-1957). Le plan consistait à rassembler le gang de Moran dans un entrepôt sur le prétexte d’une livraison d’alcool. Le piège tendu, les hommes de main d’Al Capone se présentèrent le 14 février 1929 à 10h30 du matin au garage entrepôt situé 2122 North Clark Street habillés en policiers en prétextant un simple contrôle des lieux. Après avoir aligné dos aux murs les hommes de Moran, ils les abattirent, faisant ainsi sept morts.
Le massacre de la Saint-Valentin marqua les esprits en raison de la préméditation de l’exécution et du nombre de victimes. Il signa aussi la fin de l’âge d’or des gangs de la prohibition. Bugs Moran – absent – survécut mais il ne parvint pas à conserver le contrôle des quartiers nord de Chicago. Quant à Al Capone, s’il avait pris soin de séjourner au moment des faits dans sa résidence de Palm Island à Miami, le mode opératoire de ce sanglant règlement de compte contribua à le discréditer auprès du public et de ses alliés. Il marqua le début de son déclin comme parrain de la mafia à Chicago.
https://criminocorpus.org/fr/bibliotheque/doc/555/
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Article de Frontières
Une violente explosion vient de toucher un commerce situé rue Claude-Kogan, à Grenoble, ce mercredi soir. Selon un bilan provisoire, douze personnes ont été blessées, dont deux grièvement. Les circonstances exactes du drame restent encore à déterminer.
Une explosion d’origine suspecte
D’après les informations recueillies par Le Dauphiné Libéré, l’explosion pourrait être due à une grenade lancée intentionnellement à l’intérieur de l’établissement. Le bar associatif, implanté sur une plate-forme accessible uniquement à pied par des escaliers, a été gravement touché par la déflagration.
Un déploiement massif des secours
Rapidement alertés, plusieurs dizaines de sapeurs-pompiers et des équipes du Samu ont été mobilisés sur place. L’intervention s’organise principalement depuis le parking situé à l’angle de la rue des Maquis-de-l’Oisans et de la rue de Stalingrad.
Parallèlement, d’importants effectifs de police ont également été déployés pour sécuriser la zone et recueillir les premiers éléments d’enquête. Plusieurs véhicules de secours ont déjà acheminé des victimes vers le CHU Grenoble Alpes, qui a activé le plan blanc pour faire face à l’afflux de blessés. D’autres personnes sont toujours en cours de prise en charge sur place.
Les enquêteurs cherchent à comprendre les circonstances exactes de l’explosion et à identifier le ou les responsables de cet acte potentiellement criminel.
Frontières
Pendant ce temps, Piolle relativise l’insécurité, juste un fantasme ?
«Quand il ne reste que des attaques sur la sécurité et la propreté, ça veut dire qu’on a gagné quelques batailles par ailleurs, car on peut toujours se dire qu’une ville n’est pas assez propre et pas assez sûre», a estimé l’ex-candidat à la primaire écologiste en vue de la présidentielle. Des propos dont la publication tombe le matin même d’un nouveau fait de violence dans le quartier sensible du Village olympique, au sud de Grenoble. Mercredi soir, un homme muni d’un fusil de type kalachnikov a pénétré dans le bar associatif Aksehir, avant de lancer à l’intérieur une grenade dégoupillée. Le premier bilan de l’explosion faisait état de 12 blessés, dont six en urgence absolue, semant la stupeur et la colère chez les riverains.
«Déni»
Dans Libé, le maire, lui, estime qu’il «faut résister au tourbillon médiatique» et minimise. «Des fusillades, il y en a partout», élude l’élu qui, depuis son élection en 2014 à la mairie de Grenoble, a toujours refusé d’armer la police municipale et s’oppose fermement au déploiement de caméras de vidéosurveillance. Selon lui, la vidéoprotection «ne sert à rien» en matière de lutte contre le narcotrafic.
Sur le réseau social X, l’eurodéputé François-Xavier Bellamy, relevant ces propos publiés dans le quotidien de gauche, a déploré un «déni tragique» de réalité. «Il faut donc s’habituer à se faire tirer dessus en pleine rue ? C’est le nouveau monde normal pour la gauche ?», a interpellé le membre PPE du Parlement européen, rappelant la mort de Lilian Dejean, un agent d’entretien grenoblois tué par balles en novembre dernier après avoir tenté d’empêcher l’auteur d’un accident de la route de s’enfuir. Ce dernier avait alors sorti une arme à feu et a tiré à plusieurs reprises sur l’employé municipal.
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Pas cher le double meurtre…
Retailleau s’est planté car ce n’est pas la 1ère fois pour le jeté de grenade en France ; 1982, rue des rosiers à Paris.
De plus, s’ils se butent entre eux concernant Grenoble, je pense que c’est bien moins grave.
Piolle n’est peut être pas étranger à l’attaque puisqu’il est sans doute pour la dépénalisation du cannabis et de la cocaïne. Les intérêts ça compte pour un politique.
en algerie c etait pareil , nombreux morts dans les bars
l histoire est un eternel recommencement
prenez vos dispositions
Le patron du bar ,dit qu’il était visé.
Effectivement 11 condamnations , le fils présent n’est pas en reste condamné pour double meurtre.
En 2012 .
D’un certain Sophiane et Kevin a Echirolle banlieue de Grenoble.
Un chanteur connu Colagero en a fait une chanson de ce fait divers . » Un jour au mauvais endroit «
Fallait oser, comparé une organisation qui malgré les règlements de comptes une classe a l italienne a un règlement de compte entre bédouins (dont je me fous totalement)😂😂😂
Peut-être des électeurs réfléchiront avant de voter pour des écolo-rien-à-foutre qui transforment des villes paisibles de renom (Bordeaux, Strasbourg, Besançon, etc…) en enfers tiers-mondisés.
Peut-être.
piole la luciolle, reine des taffioles se tapant des pignoles comme une chignole, mérite un bon coup d’savattes dans les roubignoles, après avoir pris de bonnes torgnoles à Bâtignolles. En bref, il est impératif qu’il « s’étiole », au doux son d’une viole (de Gambe) , aux 4 coins de Grenoble, cette si belle ville que ce triste sire, qui plus est contre les bagnoles, viole en permanence, à la façon des frères Volponi dans les fabuleux Tontons flingueurs…
Tant qu’il y aura des pioches, pardon des piole ça sera Chicago. Les attaques à la grenade c’est nouveau pour l’instant, bientôt cela deviendra banal,comme les kalachs ou les attaques aux couteaux. C’est la guerre des gangs pour la drogue et les dealers il n’en manque pas,comme des consommateurs. Mééééé chez piole ils sont tranquille.
on reconnait bien là la nuisance pour les viles qu’elle dirige de l’extrême gauche rouge déguisée en vert, qui usurpe l’identité « d’écolo » : habillage pour masquer l’extrême gauche façon NPA
c’est la ville d’un édile gauchiste collabo islamisé à l’image de toutes les autres dirigées par ce genre de citoyen : un enfer où s’épanouit le pire des racailles en tout genre et le trafic de drogues – à noter que l’édile de grenoble demande la légalisation du cannabis (grand dada des gauchistes dont on comprend d’où vient leur déséquilibre mental) qui vient de tuer une jeune fille de 18 ans dans un car scolaire conduit par un fumeur de joints ! quel pays !
C’est la guerre civile,c’est aux militaires d’intervenir.Les politiques « s’en foutent » !
pas difficile a comprendre la reaction de piolle , il est pote avec les dealers ! c est tout !
faudrait que lui se prenne une grenade dans la tronche , peut etre qu il redescendrait de son petit nuage !
Si un jour le maire Piolle tombe sous les balles des mafieux qui ont pris possession de Grenoble, quels pourraient être les titres de la presse? Bal tragique à Grenoble, un mort? Piolle, un maire qui se soucie plus de la vertitude de sa ville que du sang qui y coule, qui y a coulé, qui y coulera encore et encore.
Le Bar était occupé par des Turcs. Pourquoi s’en prendre aussi à des consommateurs si beaucoup n’y sont pour rien ? A méditer.
Quoi qu’il en soit, le mode opératoire change car une grenade est un engin de guerre. Là encore, à méditer.
La France est pourrie, il n’y a plus qu’une seule façon pour la sauver. Quand elle sera nettoyée il n’y aura plus d’attentats et nous pourrons circuler sans crainte dans le Pays. Comment sera-t-elle nettoyée ?… A méditer mes Frères !
La Bible fait plus peur à satan que le sanglier utilisé par l’armée d’Israël pour détecter les explosifs.
C’est pas qu’à Grenoble, Chicago, c’est dans toute la France et l’Europe. Elon Musk doit se frotter les mains, ils roulent tous en Tesla à 100/150 000€, casquette à l’endroit et à l’envers, tout ça grâce aux millions de drogués majoritairement blancs. « c’est festif »
Bar associatif tenu par un algérien.
Le Dauphiné libéré parlait de règlement de compte.
Des perquisitions le mois dernier , parlait de travail clandestin et de trafics de tabac.
Affaires entre allogènes
Pas une raison pour laisser faire. Il peut y avoir des victimes collatérales de cette mafia. Virer toute cette engeance, purifier la ville. Mais personne ne s’y avisera.
Rien de nouveau à Grenoble.
Fernand Raynaud en parlait déjà dans un sketch des années 50/60 !!!!!
Règlement de compte entre allogènes pour du travail clandestin et trafiquants de cigarettes
Les ingénieurs à Grenoble et les marchandes de gaufres fuient cette ville.