Syrie : les gardiens de la prison d’al-Hol admettent que 40 000 membres de Daesh sont sur le point d’être libérés…


Cette photo montre le camp d’al-Hol, géré par les Kurdes, qui accueille des proches de combattants de Daesh dans le gouvernorat de Hasakeh, dans le nord-est de la Syrie.

EXCLUSIF Mail « Bientôt nous serons libres et Daesh sera ravivé » : c’est la menace proférée par des épouses djihadistes pour l’Occident alors que les gardiens des camps de prisonniers syriens admettent que les 40 000 détenus sont sur le point d’être libérés et que Daesh  pourrait revenir « en  quelques jours ».

 

Des familles de Daesh vivant dans le plus grand camp de réfugiés de Syrie ont déclaré que le groupe terroriste était « prêt à se relever », alors que des gardes ont averti que le fléau de l’extrémisme islamique pourrait se propager à travers le Moyen-Orient et menacer l’Occident « en quelques jours ».

Depuis que l’organisation djihadiste a perdu son dernier bastion en Syrie en 2019, des dizaines de milliers de combattants de Daesh et leurs familles sont détenus dans des prisons et des camps de réfugiés au Rojava – la région autonome dirigée par les Kurdes dans le nord-est de la Syrie.


Des femmes dans le camp d’al-Hol, en Syrie.

Le plus grand d’entre eux – le camp Al-Hol – accueille près de 40 000 personnes, dont beaucoup sont des familles extrémistes qui vont de tente en tente, abusant des réfugiés et endoctrinant leurs enfants.

L’instabilité qui a suivi le renversement du régime de l’ancien président syrien Bachar al-Assad par le groupe islamiste Hayat Tahrir al-Sham (HTS) a créé un terrain fertile pour une résurgence effroyable de Daesh.

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5 Commentaires

  1. Ils vont venir chez nous en demandant l’asile politique ou en tant que malheureux réfugiés chaperonnés par les bonnes âmes compatissantes des ONG. Et alimenter le nombre des désiquilibris au couteau.

  2. La dechéance de la nationalité française pour les binationaux terroristes devrait être automatique.

    Bon certains français hélas ne peuvent pas être déchus de leur nationalité. Les attentats de Nice et de Magnanville avaient été revendiqués à travers sa voix : Adrien Guihal, l’un des principaux dignitaires français de l’État islamique, réclame son rapatriement en France.

  3. Problème : la France paie 1 million d’euros pour ce camp d’Al-Hol notamment, en « aide humanitaire », comme l’a annoncé le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian le 1er avril 2019. Il ne s’agit pas là d’une mauvaise blague : les impôts des Français servent à financer les membres de « Daech », ennemis de la France, ayant combattu pour notre mort. Pour faire passer la pilule, les médias politiquement corrects ont tenté d’évoquer les « conditions extrêmes » de ce camp, où les femmes et les enfants djihadistes « s’entassent » selon Ouest-France.