Allez-y, servez-vous, c’est « open bar » en Macronie. Mais que fait la police ? Mais que fait la justice ?
Jamais le sentiment d’impunité n’aura été aussi élevé.
Jamais le sentiment de pouvoir user de sa légitime défense n’aura été aussi bas.
Encore un chiffre qui donne envie de vivre la révolution patriote, qu’on se sente de de droite ou de gauche.
Des cambriolages, intolérable atteinte à l’intimité de son chez-soi, pour quelques dizaines d’euros de butin. Que vous soyez riche ou pauvre, vous êtes susceptibles d’y passer, et sans doute plus encore si vous n’avez pas les moyens de bien protéger votre domicile.
L’ensauvagement se généralise dans l’indifférence des puissants qui ne pensent qu’à se gaver dans leurs palais dorés surprotégés…
Heureusement, il est prévu de pouvoir porter plainte en ligne désormais. On n’arrête pas le progrès !
Délinquance en Charente: 28% de hausse
La hausse est spectaculaire. 1 155 cambriolages chez des particuliers, dans des locaux d’habitation au cours de l’année 2004. C’est une progression de 28,2 % par rapport à 2023. C’est encore 22,3 % des 7 985 atteintes aux biens que les services de police et de gendarmerie ont recensées au cours de l’année. Jérôme Harnois, le préfet de la Charente, a vite fait le compte. « C’est presque trois par jour ». Cela n‘apparaissait pas comme le premier sujet à traiter les années précédentes. Cela devient préoccupant dans un tableau de la délinquance « maîtrisé avec des indicateurs souvent en deçà des moyennes nationales », et Stéphanie Aouine le procureur de la République parle de « renforcement des moyens techniques et d’investigation. Il y a encore des choses à faire ».
La sécurité du quotidien
C’est devenu une priorité et Jérôme Harnois l’a bien identifié : « On parle de la sécurité du quotidien », des actes qui irritent les victimes, « même lorsqu’il ne s’agit que d’une intrusion », surtout « lorsque l’opération se solde par des milliers d’euros de dégâts à la baie vitrée et seulement quelques dizaines d’euros de butin ».
Le phénomène est général. « C’est la moins bonne année des cinq dernières », concède le colonel Cédric de Penfentenyo, commandant le groupement de gendarmerie, qui a mis en place un plan d’action prévention, opérationnel, judiciaire ». Le commissaire Jean-Luc Taltavul, directeur de la police nationale en Charente a lui aussi noté une augmentation des effractions sur son secteur. Les forces de l’ordre se sont offert quelques belles prises, à Cognac pour les policiers, à Champniers pour les gendarmes sur des séries de cambriolages. « On va développer une stratégie pour développer le dépôt de plainte en ligne”, indique le commissaire. “Mais, il va aussi falloir insister sur les constatations et les recherches de traces. » Resystématiser la police technique et le voisinage, auraient permis « des retours intéressants », se félicite le commissaire.
Le préfet a aussi appelé à la vigilance parce que « se réjouir de partir trois semaines en vacances sur les réseaux sociaux, c’est indiquer aux malfaiteurs que la maison sera inoccupée ». De même, le dispositif Opération tranquillité vacances devrait être renforcé, les vérifications accrues.
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Je pense savoir pourquoi toutes ces merdes nous tombent dessus, nous citoyens honnêtes…et ce, depuis bien 25 ans.
Et des viols
Selon http://www.charentelibre.fr, le 31 janvier dernier, une adolescente de 17 ans a été enlevée et violée à Nersac alors qu’elle se rendait à son arrêt de bus. L’agresseur, encagoulé et armé d’un couteau, l’a forcée à monter dans une voiture grise et l’a emmenée dans un bois où il l’a violée. Après l’agression, la victime a réussi à s’échapper et a été secourue par son père. L’affaire est sous embargo médiatique, et ni la mairie ni les autorités n’ont communiqué à ce sujet. Les gendarmes d’Angoulême mènent l’enquête, cherchant des témoins et visionnant des images de vidéosurveillance pour identifier le véhicule. La communauté de Nersac est inquiète, et des rumeurs circulent à propos d’une autre agression préalable. Les parents de la victime tentent également de retrouver des témoins.
Les cambrioleurs et les agresseurs savent pertinemment qu’ils ne risquent rien, les pandores arrivent toujours après la bataille – le village où je réside, cinquante minutes après -, les juges sont toutes bienveillance et indulgence pour ces délinquants (arrivés récemment dans nos belles campagnes). On ne peut même plus nous défendre pour sauver nos vies et nos biens sous peine de nous retrouver sous les verrous avec une peine de prison conséquente. Par contre les agresseurs… Ce régime politique est pourri jusqu’à l’os. Un de mes voisins m’a dit en plaisantant : Si t’as besoin, j’ai un grand terrain dans les bois et une pelleteuse…
+28% depuis un an qui s’ajoute au 28% de l’année précédente qui eux s’ajoute au 28% de l’année avant et on peut continuer loin comme çà et c’est pareil pour les coups de couteaux etc…bref on a élu des incapable qui ne pensent qu’à s’engraisser sur le dos du peuple qui lui crève la bouche ouverte,pendant que des parasites soutenus par des desputes et des sinistres corrompus et trop payés, volent,violent et tuent. Nos élus ne servent à rien, et ils nous coûtent la peau du cul.
Quand j’étais jeune ado nous descendions en 4L visiter une partie de la famille paternelle à Saint Laurent de Céris en Charente.
Retrouvailles d’été dans un calme village de 1000 hab…700 Aujourd’hui.
La tante Anna, les cousines. La douceur de vivre sans fermer les portes à clé.
La petite usine de feutre pour fabriquer les charentaises douillettes.
La fratrie (fête foraine).
Le simple bonheur de vivre, quoi !
Même là c’est râpé. Put’1 de b…de m…
La « frairie », pas la fratrie…