La Dépêche du Midi se fait l’écho d’une manifestation qui se serait tenue aux abords du « stand » d’un charcutier sur un marché en Anjou…
Lecteur habituel du journal toulousain, je me demande toujours pourquoi il aborde d’autres actualités locales que celles du Midi-Pyrénées.
Ne s’y passe-t-il donc pas suffisamment d’événements, positifs comme négatifs, pour relayer des informations de régions lointaines et, de plus, d’une façon peu honnête…
Soixante clients d’un petit marché se seraient ainsi rassemblés pour scander « pas un sou pour les fachos » aux abords d’un stand de charcuterie « réputé proche de l’extrême-droite ».
D’abord, s’agit-il vraiment de clients habituels de ce marché et si c’est le cas, est-ce vraiment en tant que clients qu’ils protestent ?
Le terme « clients » me paraît mal choisi. Ce sont avant tout des militants comme on les connaît si bien, du camp qui n’accepte pas qu’on pense autrement que lui. J’ai nommé la pseudo-gauche qui est en réalité un totalitarisme qui prête aux autres ses défauts liberticides.
Il me semble qu’un journaliste un peu intelligent aurait utilisé le terme « militant » car il s’agit ici d’idéologie et non d’une action de clients en tant que tels, c’est-à-dire en tant que consommateurs qui protesteraient contre la qualité, la sécurité des produits, leurs prix, les nuisances éventuelles du commerce (saleté, odeurs…). Il n’est d’ailleurs pas coutumier de manifester dans un tel cas ; les gens normaux n’achètent pas ses produits, point barre.
D’ailleurs, je me gausse de la piètre qualité rédactionnelle de cet article qui attribue une proximité avec « l’extrême-droite » (c’est-à-dire ? des personnes, des idées, un parti ?) du stand en lui-même.
Ainsi la crépinette ou le jambonneau auraient en tant qu’éléments du stand une proximité avec l’extrême-droite ?
Ce n’est pas le stand, matériellement, qui peut être proche d’une idée mais un commerçant, le charcutier, ou ses employés. On ne saura pas, en lisant l’article, ce qui autorise à dire que le stand est proche de l’extrême-droite (ou est-elle d’ailleurs l’extrême-droite ? au deuxième rond-point à gauche ?).
On lit dans les colonnes de la Dépêche : « le commerce est réputé proche de l’Alvarium, collectif angevin d’extrême droite dissous par Gérald Darmanin« .
Comment cela, le commerce ? Le commerçant ? Un commerce proche d’un collectif, moi pas comprendre. Le collectif patriote serait venu s’y servir en viande ? Il aurait eu des prix d’amis ? Et si c’était seulement pour valoriser sa fidélité ?
Un commerce qui a une idéologie, un commerce qui a une religion. Tout cela me fait penser au nazisme ni plus ni moins, où l’on chassait les « commerces juifs ». Depuis quand un commerce peut-il être proche d’une idéologie ? Tout cela n’a ni queue ni tête.
Il s’agit d’une entrave à la liberté du commerce et de l’industrie. En effet, les clients, les vrais, sont repartis apeurés face à cet attroupement de soixante individus (quand même) réunis pour bêler comme un troupeau de moutons « contre l’estreme drouaaaate ».
C’est à croire que dans ce pays il n’y aurait pas de loi, de justice, de tribunal qui puisse être saisi pour faire cesser des agissements illicites. Or, précisément, ce commerce était parfaitement légal et cette manifestation aurait dû être dispersée le plus vite possible. Il est inacceptable que ces 60 personnes n’aient pas été chassées selon les méthodes pas toujours très douces de la Macronie.
Je ne serais pas surpris, au vu de l’activité concernée, que la charcuterie vende du porc et garantisse que sa viande n’est pas halal, en fait même peut-être un argument de vente, ce qui aurait agité le ciboulot de la gauchiasse locale.
Entraver le fonctionnement d’un commerce honnête, dans ce pays où les gens qui vivent honnêtement d’un travail ne sont pas si nombreux finalement, quand on voit toutes les sangsues et tous les profiteurs qui pèsent sur la productivité nationale, n’est pas une façon saine d’exprimer ses idées. L’intimidation est la marque de fabrique de ces donneurs de leçon ; quand on sait qu’on a tort, on recourt à la violence pour s’imposer et pour faire peur…
Enfin, un marché, c’est sacré. C’est la place du commerce local, des petits producteurs, des artisans qui travaillent dans le froid ou la chaleur extrêmes, qui se lèvent tôt à longueur d’année. C’est la rencontre des besogneux et des clients venus profiter de la tradition du commerce en plein air. Perturber le déroulement d’un marché est anti-Français.
Une soixantaine de personnes se sont rassemblées ce samedi 1er février dans un petit marché de Chalonnes-sur-Loire pour manifester contre la présence d’un stand de charcuterie réputé proche de l’extrême droite.
Comment un stand de charcuterie a pu troubler l’ordre de la petite commune de 6 500 âmes de Chalonnes-sur-Loire (Maine-et-Loire) ? Une soixantaine de clients se sont rassemblés ce samedi 1er février dans leur marché, non pas pour faire leur course mais pour manifester contre la présence des charcutiers Les Blancs de l’Ouest. Et le problème ne vient pas de la marchandise. Le commerce est réputé proche de l’Alvarium, collectif angevin d’extrême droite dissous par Gérald Darmanin.
« Parfois ça m’empêche de dormir »
« Pas un sou pour les fachos ! » Malgré l’interdiction de manifester, des habitués du marché ont tenu à protester contre ce stand comme le relate Ouest-France. « Je suis né ici, je pensais habiter dans une commune où on faisait preuve de tolérance. Là, on ouvre grand les portes à cette façon de penser, parfois ça m’empêche de dormir », confie un homme de 67 ans. L’évènement a tout de même mobilisé 25 gendarmes pour garantir la sécurité du stand de charcuterie et des riverains présents sur place.
Angevin et Châlonnais de tout âge se sont regroupés pour exprimer leur opposition à l’idéologie d’extrême droite, décourageant certains habitués plus âgés qui ont pris peur, au grand dam des autres commerçants. La maire de la petite ville tente de s’expliquer : « Le règlement de notre marché, c’est qu’on ne peut pas refuser aux commerçants de s’installer lorsqu’on a un site disponible. » Certains enfin, déplorent une action avec l’effet inverse de celui attendu, puisque toute l’attention de la foule a malgré tout été dirigée vers eux. Une pétition contre l’installation de ce commerce, « Chalonnes fait de la résistance » a été signée par 887 personnes.
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les collabos d’extrême gauche islamogauchistes s’en prennent à nos cochonailles !! pas assez « halal » ?
La campagne profonde est-elle en manque de marqueurs pour exprimer son attachement au camp du bien ? Quant aux antifas, dont la nocivité est sans limites, ils sont partout. Et l’on voit bien de quel côté se range la presse poubelle !
Belle publicité pour l’Alvarium, scandaleusement dissous par la police de la pensée!
S’ils ont encore des sympathisants, c’est tant mieux !
Des « clients » mon Q, ce sont encore et toujours des racailles antifas ou des milices de LFI (La France Improductive).
Ça m’étonnerait que les vrais clients veulent voir disparaitre leur boucher-charcutier.
C’est curieux, il n’est nullement fait mention de « clients » dans les autres presse.
https://www.ouest-france.fr/economie/commerce/ils-sopposent-a-un-stand-de-charcuterie-sur-ce-marche-pres-dangers-la-manifestation-interdite-313e262c-dfbd-11ef-b40c-22cc31255954
https://www.fdesouche.com/2025/02/01/une-manifestation-contre-un-stand-de-charcuterie-perturbe-un-petit-marche-danjou/
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/une-manifestation-contre-un-stand-de-charcuterie-perturbe-un-petit-march%C3%A9-d-anjou/ar-AA1yeglb
quels clients ? fatima , mohammed ?
Les retraités gauchistes devraient avoir d’autres loisirs que de foutre la merde en cherchant noises a d’honnêtes commerçants, qu’ils aillent plutôt manifester devant une maroquinerie, ceux qui vendent des sacs en vieilles peaux de Tanger « made in Maroco »!
Un charcutier qui n’est pas halal est d’extreme drouate pour tous les tocards de gooche qui sont devenus aussi décérébrés que les terroristes musulmans qu’ils veulent séduire !
Encore des émules du chancelier Adolfo Ramirez Mélenchon, de LFI ou La France Imbécile.