Représailles anti-France :
L’Algérie tourne le dos aux bovins français, un coup vache de Tebboune
L’Algérie tourne le dos aux vaches françaises et se tourne vers un autre pays
Pourquoi ce changement ?
Le remplacement des bovins français par des vaches irlandaises n’est pas le fruit du hasard. Plusieurs facteurs ont motivé cette décision. Tout d’abord, les relations commerciales entre l’Algérie et la France se sont complexifiées ces dernières années, notamment en raison de tensions diplomatiques. Ces différends ont pu peser sur les accords commerciaux, incitant l’Algérie à diversifier ses partenaires.
Par ailleurs, l’Irlande est reconnue comme l’un des leaders mondiaux dans l’élevage bovin, notamment pour les races destinées à la production laitière, comme la Holstein-Frisonne. Les vaches irlandaises se distinguent par leur robustesse, leur capacité à s’adapter à différents climats et leur rendement laitier élevé, des qualités essentielles pour répondre aux besoins de l’Algérie.
De plus, les conditions commerciales proposées par l’Irlande semblent plus compétitives. Selon plusieurs sources, les prix des bovins irlandais, combinés à des garanties de qualité, ont joué un rôle décisif dans cette transition.
Un enjeu stratégique pour l’Algérie
L’Algérie cherche à renforcer sa souveraineté alimentaire en réduisant sa dépendance aux importations de produits laitiers. Actuellement, le pays consomme d’importantes quantités de lait en poudre, importé principalement pour compenser le manque de production locale. Les autorités algériennes ont ainsi mis en place des programmes ambitieux pour développer la filière bovine et accroître la production laitière nationale.
Cependant, ce changement ne se limite pas à une simple question de rendement. Les conditions climatiques en Algérie, marquées par des étés chauds et secs, nécessitent des vaches capables de s’adapter à des environnements difficiles. Les races irlandaises, élevées dans des systèmes semi-extensifs, semblent mieux correspondre aux besoins des éleveurs algériens, qui travaillent souvent dans des conditions similaires.
Une collaboration renforcée avec l’Irlande
Ce partenariat entre l’Algérie et l’Irlande ne se limite pas à l’achat de bovins. Il s’inscrit dans une coopération plus large visant à transférer des connaissances et des technologies. L’Irlande a proposé d’accompagner les éleveurs algériens dans l’amélioration de leurs techniques d’élevage, avec un accent sur la gestion des troupeaux, l’alimentation animale et l’amélioration génétique. Ces initiatives pourraient avoir un impact durable sur la filière bovine algérienne.
Des experts irlandais devraient également intervenir pour former les éleveurs locaux à maximiser le potentiel des vaches importées. Ce transfert de savoir-faire est essentiel pour garantir le succès de cette transition et éviter les erreurs du passé, où certaines races importées n’avaient pas pleinement répondu aux attentes.
Un pari sur l’avenir
Bien que prometteur, ce choix stratégique n’est pas sans défis. L’introduction massive de vaches irlandaises nécessitera des ajustements importants dans les infrastructures agricoles algériennes. Il faudra notamment garantir un approvisionnement suffisant en fourrage et en eau, deux éléments critiques dans un pays où les ressources sont parfois limitées. Par ailleurs, il reste à voir comment ces bovins s’adapteront pleinement aux conditions locales sur le long terme.
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Tant mieux pour nos vaches !!!
Je le répète : nous n’avons pas besoin de l’algérie pour vivre !!! D’autres pays peuvent nous fournir !!!
l’Irlande est bien dans l’U.E. ?
Ça ne l’empêche pas de nous faire un p’tit dans le dos (je n’ose pas dire un tour de cochon dans le cas présent…).
Comme quoi, hein, nos z’amis européens sont vraiment nos z’amis.
appliquer la loi du talion : oeil pour oeil, dent pour dent
donc en retour fermeture des frontières avec eux
Ils sont tellement nuls que ces pauvres bêtes vont crever. Ils auraient dû en rester aux chèvres, dont ils faisaient un double emploi.
Ben oui, là c’est trop haut…
Il faut voir si les vaches irlandaises supportent la chaleur! Les fermiers vont devoir apprendre le gaélique pour leur parler, ce n’est pas une mince affaire! En tout cas la représaille française est toute trouvée : arrêter d’importer les algériens mâles ou femelles.
Tant mieux moins on traite avec ce pays