Jean-Noël Barrot, le fils de, Ministre des affaires étranges, vient de nous livrer un discours hallucinant qui démontre que nos gouvernants n’ont qu’un but, qu’une idée fixe, baser leur politique sur un totalitarisme absolu. C’est cette engeance qui a trouvé grâce aux yeux du PS et du RN, qui ont laissé passer la motion de censure contre Bayrou. Il n’y a rien à attendre d’eux et les 11 millions d’électeurs doivent se sentir bernés et orphelins. Auront-ils le dégoût modérés pour leur faire quand même confiance une nouvelle fois, ou chercheront ils une autre voie, plus saine et plus sûre ? Barrot n’est rien d’autre qu’une synthèse qui prend ses racines dans la Terreur de Robespierre et dans l’administration des libertés telles qu’organisées par les bolcheviques. Le tout arrangé à la sauce des gourous de Davos.
Face à la menace Trumpiste, l’homme s’est lâché. Entouré désormais par des malfaisants, à l’ouest le vilain Trump, à l’est les méchants Poutine et Xi et au sud une Afrique qui l’a bouté dehors, le bougre n’a plus que l’Europe pour expérimenter le sanctuaire d’une démocratie nouvelle génération, décomplexée…
En réalité un état totalitaire sans état d’âme, jugez plutôt : il veut un doublement du budget à l’UE, des emprunts communs, on se demande bien à qui il empruntera puisqu’il se fâche avec tout le monde, la possibilité d’annuler des élections, comme en Roumanie. Là c’est sa vision la plus démocratique du principe de la liberté du vote et des peuples à disposer d’eux-mêmes. Principe sur lequel il s’assoit allégrement : le droit c’est lui, la vérité c’est toujours lui. Puis il poursuit : pour financer cet eEldorado qu’est l’UE, il veut faire appel à des moyens privés, c’est-à-dire à nos patrimoines, nos épargnes. Ne cherchez pas ailleurs, les États sont en faillite et plus un seul bon samaritain ne se hasardera à financer un machin à fond perdu. L’argent sera ponctionné directement dans le bas de laine des Français, les plus économes des Européens.
Les propos de Barrot devraient les alerter, il propose ouvertement désormais, de nous piquer nos épargnes. Pendant ce temps, à l’autre bout de la Terre, nous avons Sarah Knafo et Marion Maréchal, qui vantent à juste titre la beauté et les mérites d’un pays souverain, les US, sans pour autant se donner la peine de combattre l’UE, autrement que par des discours.
Elles savent, ces deux brillantes personnes, que vouloir fermer nos frontières en restant dans l’UE est une hérésie ? Vouloir moins de normes n’est pas possible, quand Ursula prétend que l’accord de Paris sur le climat est la meilleure chose pour l’humanité. Il n’y aura pas de solutions viables tant que le Frexit sera évité comme la peste alors que c’est l’UE qui en est le principal vecteur. S’aligner systématiquement sur ce qui se répand dans les médias subventionnés ne sert pas leur cause, ni leur crédibilité.
Si elles veulent être crédibles désormais, les formations classiques patriotes doivent se poser en contre pouvoir à la clique mondialiste. Ces deux brillantes femmes devraient revoir leur position sur ce sujet crucial, ne pas attendre que la résolution arrive de l’extérieur pour trouver dans le Frexit la seule solution préalable à leur désir légitime d’indépendance à l’américaine. Il faut commencer à préparer les esprits à cette éventualité d’une sortie de l’Europe, totale ou partielle, mais en tout cas de cette Europe de Von-der-Leyen et de Davos, où d’ailleurs était le gouverneur de la banque de France : qu’y faisait-il ? Cette UE là n’est plus viable et les vœux de nos gouvernants actuels ne laissent rien présager de bon quant à l’avenir. Allons nous assister à la lente mort de ce que nous fûmes, avec comme oraison funèbre les discours sublimes mais stériles de nos potentielles oppositions souverainistes.
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Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
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Un être nocif, dangereux et collabo des mondialistes, à la botte de Macronescu.
Malheureusement pour cette nullité, les banques dépositaires de nos avoirs financent plus de la moitié de la dette, ainsi que les compagnies d’assurances. L’objectif de ce monsieur est de ruiner ces établissements puisque elle déposeront leurs bilans. Ainsi plus de prêts personnels, aux collectivités, etc. Lui n’est même pas un Mozart de la finance, mais un musicien des couloirs du métro.