Connaissez-vous  la « lionne du djihad »  à la tête d’une organisation caritative britannique ?


Syeda Umme Farwa dirige l’organisation londonienne LYZ, saluée et récompensée par le « boucher de Téhéran ».

Les deux articles qui suivent en disent long sur l’état de pourrissement avancé du Royaume-Uni.

Tout est possible au pays de Keir Starmer et Sadiq  Khan : celui qui dénonce l’islamisation, l’injustice et les gangs de violeurs pakistanais croupit en prison, tandis que des militants islamistes ont pignon sur rue !

Syeda Umme Farwa, la « lionne du djihad » amie du « boucher de Téhéran », à la tête d’une organisation caritative britannique 

The Telegraph

Syeda Umme Farwa, qui dirige l’organisation caritative Labaik Ya Zahra (LYZ), enregistrée au Royaume-Uni, a  donné la parole à des extrémistes lors d’événements organisés par son organisation caritative et a rendu hommage à un général iranien en le qualifiant de « martyr ».

Une enquête menée conjointement par le Times et le groupe de pression United Against Nuclear Iran (UANI – contre le nucléaire iranien) a révélé que Mme Farwa est  qualifiée de « lionne  djihadiste » en Iran.

Le LYZ, basé à Londres, appelle les « femmes d’aujourd’hui à être éduquées et indépendantes » et s’engage à « aider l’humanité » en faisant progresser la foi musulmane et les droits des femmes par le biais d’ateliers, de conférences et de manifestations.

Lors d’une cérémonie organisée en 2018 dans la ville iranienne de Mashhad, Mme Farwa a été filmée recevant un prix en l’honneur de son travail caritatif au Royaume-Uni de la part d’Ebrahim Raisi, l’ancien président iranien partisan de la ligne dure, connu sous le nom de « boucher de Téhéran ».

Elle a été saluée comme une « femme révolutionnaire [islamique] fidèle » par  Ebrahim Raisi.

Mme Farwa avec Ebrahim Raisi (au centre), l’ancien président iranien partisan de la ligne dure

Lorsque M. Raisi – qui s’était positionné comme un successeur potentiel d’Ali Khamenei, le guide suprême – est décédé dans un accident d’hélicoptère en mai de l’année dernière, l’organisation caritative de Mme Farwa a publié une vidéo « exclusive » de ses funérailles sur sa chaîne YouTube.

L’association a également été citée comme « organisation de soutien » lors d’une veillée organisée en son honneur à l’ambassade d’Iran à Londres.

Et ce, malgré les règles de l’organisme de surveillance Charity Commission qui stipulent que les organisations caritatives ne doivent pas « opérer en association avec des individus ou des groupes qui sont engagés dans des activités terroristes, ou qui soutiennent des terroristes »…

Un administrateur de LYZ a déclaré au Times que l’acceptation du prix par Mme Farwa était acceptable parce que M. Raisi était alors un « érudit religieux » et n’était pas encore président.

Conférence caritative en Iran

 

L’enquête a également révélé que LYZ avait célébré sa conférence annuelle du 20e anniversaire en Iran, bien qu’elle opère en Grande-Bretagne.

S’adressant aux centaines de personnes présentes à la conférence, Mme Farwa a déclaré que l’événement était « conforme aux exigences du guide suprême de la révolution islamique, l’imam Khamenei ».

Qasem Soleimani, le général iranien tué par un drone américain en 2020, a également été qualifié de « martyr » lors de la conférence.

Ces conclusions ont suscité des appels à une enquête urgente sur les activités de l’organisation caritative  (…).

Un enseignant de Londres promet de faire de ses élèves des « guerriers saints »

Photo : l’accoutrement djihadiste des écolières dans  une école coranique à Londres ! 

Un enseignant pro-Hezbollah d’une école islamique située à quelques minutes d’une synagogue londonienne a juré de faire des élèves des guerriers saints.

Des photos montrent des écolières de l’école Jaaferiya à Tooting portant des bandanas verts et un garçon portant un T-shirt sur lequel on peut lire : « Je ne vois pas la mort autrement que comme un bonheur ».

Les murs de l’école sont recouverts d’images de l’ayatollah Ali Khamenei, le Guide suprême brutal de l’Iran, connu pour ses opérations terroristes au Moyen-Orient, ses violations des droits de l’homme et son désir de détruire Israël.

Dans un message posté sur Facebook le 7 octobre, Aun Ali Naqvi, administrateur et enseignant à l’école Jaaferiya, a partagé un emoji représentant un drapeau palestinien et a déclaré que cette journée était synonyme de « bonheur ».

Le lendemain, il a écrit un message qui fait froid dans le dos : « Nous ferons de nos enfants des soldats de la guerre,  nous ferons de nos enfants des soldats de l’Imam (Aaj) » un personnage du IXe siècle dont les musulmans chiites pensent qu’il réapparaîtra un jour pour mener une guerre apocalyptique contre les non-musulmans et débarrasser le monde du mal.

Photo : une exposition sanglante de travaux scolaires à la mosquée (Photo : Facebook)

Dans un autre message posté le jour où Israël a attaqué un bastion du Hezbollah à Beyrouth, M. Naqvi a semblé suggérer que les enfants devraient prendre les armes : « Lorsque le lion parmi nous est tué, les enfants reconnaissent l’ennemi et cherchent à se venger ».

M. Naqvi, qui a affirmé que les enfants britanniques subissaient un « lavage de cerveau » en raison des valeurs immorales de l’Occident, a également partagé une image commémorant le chef terroriste du Hezbollah, Ibrahim Akil, en le qualifiant de « martyr » et en légendant une photo de lui « commandant martyr du H/e/z/b/o/l/l/a/h ».

Elèves de l’école Jaaferiya

La mosquée, qui participe à l’organisation de la marche londonienne du Quds Day, le rassemblement annuel contre Israël soutenu par Téhéran, a partagé une affiche encourageant ses fidèles à participer à la manifestation et représentant l’étoile de David en flammes.

Une affiche partagée en 2018 sur la page de l’association caritative représentait l’étoile de David en flammes (Facebook).

De nombreux messages sur les pages de réseaux sociaux de la mosquée glorifient Khamenei et citent ses discours.

L’un d’eux appelle à « établir le pouvoir de l’islam dans le monde », tandis que plusieurs autres montrent des enfants et des bébés dans la mosquée portant des bandanas verts.

La mosquée gère l’école islamique du samedi, ou madrassa, pour les enfants âgés de 5 à 14 ans, qui prétend fournir « une éducation islamique holistique qui favorise un fort sentiment d’identité, de compassion, de respect et de service à la communauté ».

L’article original du JC donne de nombreux détails supplémentaires.

 

 

 9,564 total views,  9,562 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


5 Commentaires

  1. Il faut foutre cette sale bête malfaisante venu des enfers en taule, le plus vite possible sera le mieux. Mééééé, on me dit dans l’oreille gauche que ce n’est pas possible, car on est en angleterre qui est islamiser à 70 % et que par conséquent il règne la charia. Les juges et les sinistres félons ont bien travaillé.

  2. Si vous écrivez : « le monde ne trouvera la paix universelle que lorsqu’il se sera débarrassé du dernier mahométan. » le site risque des ennuis judiciaires par la police islamique…. alors je ne l’écris pas.

  3. L’Angleterre est foutu. Si les anglais ne font pas une révolution. L’Angleterre sera sous peu un pays islamique. Et dire qu’à une époque ils étaient une grande puissance qui fesait trembler la terre. Leurs ancêtres doivent se retourner dans leur tombe.