Le procureur Karim Ahmed Khan relance la chasse aux Juifs dans le monde entier

Je pensais qu’après la Shoah, les Nations civilisées s’étaient accordées pour que, plus jamais, les Juifs ne soient victimes de persécutions. Et puisque certains pays musulmans et des entités terroristes clamaient leur volonté de « finir le travail des nazis » les Nations civilisées reconnaissaient à Tsahal et au Mossad le droit d’éradiquer les tueurs de Juifs. Comme on avait approuvé naguère la traque des nazis planqués en Amérique du Sud.

Karim Khan traite en coupables les victimes qui se défendent. Comme en France où la légitime défense est devenue un crime.

Les Juifs, touristes ou entrepreneurs, qui voyagent dans certains pays dits civilisés, mais rongés par un nouvel antisémitisme comme en France, sont pourchassés et harcelés par les autorités. Pour avoir simplement accompli leur devoir en Israël, en défendant leurs compatriotes contre des bandes de terroristes massacreurs, armés par des États islamiques. Auxquels on déroule, par ailleurs, le tapis rouge. Du sang de leurs victimes.

Le chef d’orchestre de cet incroyable retournement de situation est Karim Ahmed Khan, un pieux musulman anglo-pakistanais, procureur d’une cour internationale fantoche financée par les Émirats. Karim cite plus souvent le Coran que la common law pour étayer ses analyses juridiques. Les fatwas qu’il lance contre Netanyahou, ses ministres, et contre tous les soldats israéliens, sont les imprécations d’un ayatollah fanatique.

Coïncidence, sa première épouse (quid des trois autres ?) est une des filles de Mirza Tahir Ahmad, un illuminé qui se prétendait calife des Indes musulmanes. Il n’aurait pas agréé son futur gendre sans de solides références.

Le procureur de la CPI était accusé du viol de ses secrétaires et de tentatives de viol sur une avocate, ainsi que de pressions et menaces sur les plaignantes et les témoins. Son affaire a été enterrée après le classement des plaintes. Car c’est une broutille en Anglicistan où le collabo Keir Starmer et ses complices veillent à ce que l’islamisation du pays se poursuive sans faire de vagues.

Bon sang ne saurait mentir. Un des frères du procureur autoproclamé justicier d’Allah, Imran Ahmad Khan, ancien député, est un délinquant sexuel condamné à une sévère admonestation pour viol de mineurs.

La liste de la honte des pays dhimmis volontaires

On voit se répéter, à l’international, la conduite honteuse de certains gouvernants et juges de pays à majorité chrétienne qui, sans avoir subi de défaite militaire, se soumettent aux quatre volontés des islamistes. Avec la circonstance aggravante d’enrober d’antisémitisme leur lâcheté et leur prévarication. La liste est longue et s’allonge chaque jour.

Argentine : La fondation Hind Rajab qui n’a aucune légitimité, ni juridique ni politique, se sent assez forte pour mettre en demeure le gouvernement d’arrêter une demi-douzaine de Juifs pour « crimes de guerre » au prétexte qu’ils ont porté l’uniforme de Tsahal. Javier réveille-toi et amène vite ta tronçonneuse !

Brésil : Un touriste civil, réserviste, qui n’a fait que son devoir en rejoignant Tsahal après les pogroms du 7 octobre 2023, a été inculpé sur ordre d’une ONG palestinienne, faux nez du Hamas, avec la bénédiction de la CPI. Une exfiltration précipitée lui a évité le pire : l’incarcération dans une prison au milieu de mahométans qui lui auraient réglé son compte.

En Belgique, à Chypre, en Espagne, en France, aux Pays-Bas, en Slovénie, et même chez les Boches qui ont la mémoire courte, plus d’une trentaine de poursuites ont été engagées. Au mépris de tous les accords diplomatiques passés avec des pays jusqu’alors amis et leurs ambassades. Mais la charia doit l’emporter sur les législations et procédures nationales. Puisque telle est la volonté d’Allakbar.

Si on ajoute l’Afrique du Sud et le Sri Lanka, cela fait à ce jour, pas moins de 50 procédures en cours, initiées en quasi-totalité par les bureaux politiques d’organisations islamistes liées au terrorisme.

Des autorités en plein délire de dhimmitude ont prévenu que si des citoyens israéliens visés par ceux qui ont juré de détruire leur pays et d’exterminer tous ses habitants, débarquaient, ils seraient arrêtés dès leur descente d’avion. Et remis aux bon soins de Sidi Mohammed Karim Khan. Le grand humaniste dont les petits yeux porcins pétillent de joie quand on aborde le sujet des derniers otages qui n’ont pas encore été assassinés par ses coreligionnaires.

En France, des mouvements pro-terroristes qui font l’apologie des crimes du Hamas et du Hezbollah, ont osé déposer une plainte contre un Franco-israélien qui s’est battu à Gaza. Et loin d’expulser la vermine islamiste qui sème la pagaille, notre gouvernement et sa justice lui ont témoigné la plus grande considération. Avec la chaude approbation des pourritures islamo-gauchistes des médias mainstream, des partis d’ultragauche et d’une brochette d’enseignants mentalement déficients.

Des responsables israéliens ont conseillé officieusement à leurs compatriotes de redevenir des « Juifs honteux » à l’étranger, comme avant la Seconde Guerre mondiale

En Palestine sous mandat britannique jusqu’en 1948, la Haganah avait montré qu’elle était une force avec laquelle il fallait compter. L’Irgoun avait donné une doctrine aux combattants. Et la révolte du ghetto de Varsovie au printemps 1943 avait prouvé que les Juifs pouvaient se battre et infliger des dommages aux barbares qui les persécutaient. Contre les nazis ou contre les islamistes, même combat.

Les Sabras et les rescapés de la Shoah, en infligeant à partir de 1948 d’humiliantes défaites aux armées arabes coalisées, ont permis à Israël d’exister en tant que puissance régionale que ses pires ennemis sont obligés de respecter. Finie l’époque coloniale où les Juifs devaient se cacher ou raser les murs pour échapper à la vindicte des mahométans, dans l’indifférence coupable des Britanniques.

Et voilà que ça recommence ! Avec l’odieuse complicité d’une fraction de la communauté internationale. Désormais traqués dans des pays qui se disent civilisés mais capitulent honteusement devant la barbarie islamique, il est conseillé aux Israéliens de ne plus se rendre que dans des pays sûrs, comme les USA après le 20 janvier. Et à ceux qui ont une double nationalité, d’utiliser de préférence leur autre passeport.

En amont, on suggère aux imprudents qui ont diffusé leurs photos en tenue militaire sur les réseaux sociaux, de les effacer. Et pour tous les autres, mieux vaut ne plus participer à des forums où, même sous pseudos, il pourraient être identifiés par des hackers. Et désignés ensuite comme cibles à la vindicte des djihadistes et de leurs complices.

D’ores et déjà, des réservistes (tout le monde est réserviste en Israël, sauf les manchots et les culs-de-jatte) ont renoncé à des vacances à l’étranger, y compris dans des pays où certains ont de la famille, ou sont rentrés précipitamment. Même le fait de posséder un passeport autre que celui d’Israël n’est pas une protection suffisante. Un nom ou un prénom à consonance juive peut être l’antichambre des geôles nazislamistes.

Encore un petit effort et on leur fera baisser le pantalon. Comme sous la précédente occupation. On a des raisons de penser que les polices boches et françaises, naguère expertes dans cet examen et aujourd’hui infiltrées par des islamistes, reprendraient volontiers du service.

Avez-vous participé ou été témoin d’un génocide ?

Des pays d’Europe et d’Amérique latine se déshonorent en posant cette question aux descendants des victimes de la Shoah, qui demandent un visa. Surtout qu’il ne s’agit pas de n’importe quel génocide ! Le récent massacre des Arméniens par les Turcs d’Azerbaïdjan, l’extermination des chrétiens en Syrie et en Irak, ou les Serbes assassinés en masse par des islamo-mafieux kosovars ne les intéressent pas.

Pas plus que les exécutions de chrétiens, hindouistes et bouddhistes au Pakistan, et les massacres au Cameroun, au Mali, au Niger, au Nigeria et au Tchad par Boko Haram. Ni les attentats au couteau, à la bombe, à la kalachnikov ou à la voiture folle commis partout pour éliminer les koufars. Ou les bombardements quotidiens de civils en Israël, perpétrés par des coraniques. Rien de tout cela ne compte…

Seules importent les opérations militaires menées, après voir invité la population civile à s’éloigner, contre la volonté des djihadistes en quête de « martyrs », lorsque les terroristes utilisent comme planques ou postes de tirs, des écoles, des hôpitaux, des mosquées, des centres commerciaux, des immeubles d’habitation.

Sidi Karim Ahmed Khan et ses sbires détournent le droit international, puisque la définition du génocide donnée par l’ONU est : « Des actes commis dans l’intention de détruire tout ou partie d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux du fait de ses origines ». Livrer des camions de bouffe et de médicaments, soigner les gens et les prévenir pour qu’ils se mettent à l’abri ne correspond pas à ces critères.

Extirper le cancer islamique et ses métastases des institutions mondiales devra être une tâche prioritaire pour les Nations occidentales quand elles auront recouvré leur souveraineté. Reconquête !

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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