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Quand les autorités –que ce soit l’État français pour Mayotte ou le gouverneur de l’État de Californie pour Los Angeles-
laissent faire n’importe quoi dans le domaine du bâti, on en arrive à des catastrophes, voire à des drames suite à des trombes d’eau ou à des incendies faute d’eau !
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À Mayotte, c’est pour des raisons politiques, en l’occurrence l’acceptation par la France, surtout depuis que Mayotte est département français, d’une immigration à flots continus !
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D’ailleurs, dès le 17 décembre 2024, nous écrivions dans RR :
« Mayotte : les Mahorais ont besoin d’eau mais surtout pas de Mélenchon ! » :
«…les idéologies pro-immigration qui, par leurs appels hors frontières, ont encouragé des milliers de Comoriens -et d’Africains !- à vivre dans des bidonvilles devenus meurtriers pour leurs habitants encouragés à cette vie de misère par nombre de politiques (qui) sont, en partie, responsables du résultat humain de ce cyclone (…). Par leurs discours, ils ont incité nombre de Comoriens ou autres à venir à Mayotte ! » Un fait le prouve : Mamoudzou, la préfecture, est « la plus importante maternité certes de France mais aussi de toute… l’Europe !!! »
Estelle Youssouffa, député LIOT (Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires) a fait part de sa colère contre les « pro-immigration » :
« Mayotte n’a même pas encore compté ses morts que les charognes sont déjà à l’œuvre pour leur politicaillerie méprisable… Honte à vous Jean-Luc Mélenchon qui n’avez pas un mot de compassion sincère pour la population mais seulement la bave du rapace avide de pouvoir ».
Et ce jeudi 9 janvier, Le Point notait :
« L’exécutif n’ignore pas que l’immigration illégale est devenue un fléau sur place, et depuis longtemps. La réforme du droit du sol, un défi de taille et maintes fois évoqué, n’a jamais dépassé le stade des déclarations de principes. »
D’où la colère de certains ministres dans une tribune publiée le 5 janvier par le Figaro :
« Sans fermeté migratoire, nous reconstruirons Mayotte sur du sable », ont pourtant alerté Bruno Retailleau, Manuel Valls et Sébastien Lecornu. Appelant à « traiter les causes du désordre migratoire dans l’archipel », les ministres de l’Intérieur, des Outre-Mer et des Armées ont proposé conjointement plusieurs mesures parmi lesquelles l’adaptation du droit du sol. Un marronnier en ce qui concerne Mayotte où vivent, selon les autorités, entre 100 000 et 200 000 personnes en situation irrégulière, sur une population totale de quelque 330 000 habitants. »
Lors de son voyage sur place, le Premier ministre François Bayrou s’était déjà positionné :
« Quiconque prétendrait qu’il n’y a pas un problème d’immigration brûlant à Mayotte serait irresponsable », rappelant qu’en 2007, il avait lui-même réclamé la suppression du droit du sol à Mayotte et en Guyane !
Ce que le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a demandé lundi sur RTL :
« L’abrogation du droit du sol à Mayotte, c’est évidemment la bonne voie. »
Marine Le Pen, patronne des députés RN, avait aussi souhaité, lors de son voyage à Mayotte, que la solution à « la bascule démographique » handicapant notre « 101e département » trouve sa solution dans « la fin de l’immigration clandestine ». Même si ce droit du sol est à Mayotte légèrement moins facile que sur le reste du territoire français.
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À Los Angeles, là aussi -du moins c’est le futur Président des États-Unis, Donald Trump qui l’affirme- le gouverneur de l’État de Californie, Gavin Newsom, démocrate, n’aurait pas pris les mesures nécessaires dans l’anticipation de la lutte contre d’éventuels incendies violents. Alors que ceux-ci ont, en trois jours à peine, fait entièrement disparaître un millier d’habitations avec tout ce qu’elles contenaient comme souvenirs familiaux voire historiques pour certains : médailles olympiques, photos d’ancêtres, documents cinématographiques et autres objets uniques complètement fondus ou en cendres…
Selon Donald Trump, le gouverneur aurait, rapporte BFMTV, « refusé de signer la déclaration de restauration de l’eau qui lui avait été présentée et qui aurait permis à des millions de gallons d’eau, provenant de l’excès de pluie et de la fonte des neiges dans le Nord, de s’écouler quotidiennement dans de nombreuses régions de Californie. » Ce gouverneur « incompétent », selon Donald Trump, « ne s’est pas soucié des habitants de la Californie. »
Et le très prochain Président est même allé jusqu’à révéler la démarche qu’il allait entreprendre contre lui :
« Je vais exiger de ce gouverneur incompétent qu’il permette à l’eau douce, propre et magnifique d’affluer en Californie! C’est lui qui est responsable de cette situation. »
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Si deux à cinq personnes sont décédées et de nombreuses autres ont été blessées, les dégâts matériels s’étalent sur 2 000 hectares ravagés alors qu’il s’y dressait un millier de bâtiments, certains historiques, et de nombreux immeubles ou de pavillons d’habitation et commerciaux.
Selon BFMTV, Donald Trump aurait « répandu de fausses informations en affirmant que la Californie manquait d’eau à cause des politiques environnementales démocrates qui détourneraient l’eau de pluie pour protéger un « poisson inutile ». En réalité, l’eau utilisée par Los Angeles provient du fleuve Colorado, et est utilisée en priorité par l’industrie agricole. » Voir des sources crédibles confirmer le diagnostiuc de Trump dans l’article de Sylvia Bourdon.
Toujours est-il que la gestion de cette eau est de la responsabilité du gouverneur. Une enquête déterminera qui est responsable de cette tragédie.
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Il semble toutefois que les autorisations de construction de maisons en bois -parce que « traditionnelles » et « moins coûteuses »- ont été autorisées à tout va par les services du Gouverneur. Et cela, dans une région connue pour ses risques d’incendie en raison de ses nombreuses forêts et de ses problèmes d’apport d’eau ! Et sans aucune restriction, là aussi -à l’image des migrants de Mayotte-, concernant le nombre d’habitants voulant rejoindre une ville aux nombreuses… célébrités !
À Mayotte, c’est la « nationalité française » -représentant, pour certains, le gratin parmi les nations occidentales- qui y a attiré des étrangers. Mais ceux-ci, en raison d’un impossible accueil, ont été contraints d’y vivre dans des bidonvilles ! De misérables abris qui, un cyclone (prévisible) passant, ont été éparpillés comme des fétus de paille…
Même « scénario » dans la célèbre cité du cinéma qu’est Los Angeles : les autorités ont laissé s’installer, par milliers et, eux aussi, dans de modestes maisons de bois
-donc dans des « bidonvilles de classe supérieure puisque made in USA » !- des gens souvent modestes pour vivre près du gratin du monde du spectacle mondial !
Dans les deux cas, Mayotte et Los Angeles, la responsabilité du malheur des habitants en revient aux responsables du pays !
Si moi, simple quidam, j’accepte de faire entrer, de par ma seule volonté, chez moi une personne, celle-ci devra en repartir sans blessure sinon je risque fort d’en être responsable…
D’où mon souhait que, pour Mayotte mais aussi pour tout territoire Français jusqu’au plus petit îlot d’outre-mer, l’immigration illégale soit sévèrement réprimée et que seule soit acceptée, et, surtout, en une version des plus limitées, l’immigration légale notamment étudiante ou professionnelle.
Jacques MARTINEZ, journaliste, à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
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La seule différence c’est que les inondations ne sont pas l’œuvre de l’homme, tandis que les incendies sont rarement accidentels ! C’est tellement facile et ne coûte pas un rond à l’incendiaire! les 2 étant aussi destructeurs l’un que l’autre l’autre
La métropole sera dans le même état que Mayotte dans quelques années. Ce n’est même plus de l’incompétence mais de la folie criminelle savamment organisée dans le but de nous détruire.