Ce jeudi matin, devant le palais d’Avignon (Vaucluse), hués et insultés par une foule compacte, venue entendre les verdicts du procès des viols de Mazan, les prévenus et leurs avocats ont eu droit à la rage populaire débridée, surtout à l’annonce des peines prononcées, inférieures aux réquisitions. Tandis que dans l’enceinte du palais, Gisèle Pélicot, comme à chacune de ses apparitions, était ovationnée. Tout ceci contrevient à l’indispensable sérénité pour rendre la justice. Mais comme la justice est de gauche, tout va bien ! Cependant, comme cette engeance n’a aucune reconnaissance, elle hurlait allègrement : « Honte à la Justice ! » Et si l’on avait proposé de guillotiner tous les prévenus, alors je suis certain qu’elle aurait crié : « Oui ! »
Non que je défende les participants à cette abomination infligée à Gisèle Pélicot, son ignoble mari en tête, mais en entendant çà et là les témoignages de colère paroxystique des femmes parmi la foule et, dans une moindre mesure, des hommes présents pour soutenir la victime, je me disais que cette populace était sans doute composée des mêmes lâches ayant regardé ailleurs lorsqu’il s’était agi de condamner sans restriction les massacres de Charlie Hebdo ou la décapitation de Samuel Paty, parce que ces massacres et cette décapitation mettaient en cause des vaches sacrées islamiques. Mais pour les Blancs, pas de justice restaurative !
Idem, j’étais assez dégoûté en entendant nombre de femmes déplorer les vingt ans de prison pour Dominique Pélicot, avec les deux tiers de sûreté, et des peines jugées dérisoires pour l’ensemble des autres prévenus. Dégoûté car ce sont les mêmes, bis repetita, qui évoquent les conditions déplorables de détention de délinquants allogènes, voire de terroristes. Ce sont les mêmes qui justifient la délinquance diversitaire par des explications sociologiques foireuses. Ce sont surtout les mêmes qui ferment les yeux sur les viols perpétrés par des migrants et préfèrent se concentrer sur les violeurs blancs, oubliant commodément que certains prévenus du procès de Mazan étaient issus d’une culture où la soumission de la femme est gravée dans le marbre d’un texte prétendument incréé !
Effectivement, seul le mâle blanc hétérosexuel était visé dans cette sordide affaire. Ce mâle qui provoque des bouffées délirantes parmi les furies gauchistes, presque toutes blanches elles-mêmes et pétries de haine de soi et donc de haine de leurs semblables masculins.
Le procès de Mazan aurait pu cependant être le procès de tous les viols, de toutes les agressions sexuelles, mais il n’en a rien été : ce fut encore une fois une tribune libre pour la doxa gauchiste wokisée à outrance. Une gauche qui applaudit toujours quand une femme flic ou gendarme est lynchée. Passons…
Cyrano
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En dix ans,elle ne s’est jamais aperçue de rien.!? Tout est une histoire de fric,et je suis étonné qu’il y ait des juges qui croient encore au Père Noël. Profitons de ce 25 décembre,pour leurs souhaiter de joyeuses fêtes.
Des hurleuses totalement folles ! De plus, j’ai encore un doute sur ces viols qui durent 10 ans sans que « madame » ne s’aperçoit de rien ? De plus, chacun ses goûts mais vu la « face »…bof. Et en plus il fallait payer ?
Étrange spectacle.
Vous n’avez pas suivi l’affaire… le mari ne demandait aucune contrepartie. Quant à la victime, elle a passé une décennie à consulter spécialistes sur spécialistes qui tous aussi mauvais les uns que les autres (malgré leurs honoraires), n’ont pas su déceler la dépendance chimique. La thèse de la dégénérescence neurologique était privilégiée.
Je partage à 100% ; on veut nous faire croire que mmePellicot aurait été « violée » pendant son sommeil pendant plus de 10 ans sans s’apercevoir de rien : ni traces de sperme, ni préservatifs, ni bruit ???
C’est quoi cette « affaire » bidon ?
Bonjour Markus. Je pense que c’est justement parce qu’il fallait que les clients paient,que tout était une histoire d’argent,dans ce couple maudit. Cette femme semble tout simplement s’être prostituée,avec la complicité de son mari. Et maintenant,les clients trinquent.
Ben dis donc, tu en sais des choses toi… Tu as l’air très bien informé…Quelles sont tes sources ?
Bonjour Paco. Oui,vous avez raison,ce n’est que mon avis. Mais comment une femme,peut elle ne rien ressentir,suite à ces viols,et cela,durant dix longues années.? Et pourquoi ne s’en est elle pas plaint,dès la première année.?
C’est un fait divers de la perversion, mais en rien un fait de société, car un tel problème concerne moins de 0,5 % des hommes. A quoi cela sert-il de vouloir avoir une relation sexuelle avec une personne endormie, cela ne touche que les hommes déséquilibrés ne comprenant rien à un acte sexuel qui ne peut être qu’un échange entre personnes ayant envie l’un comme l’autre de cet échange charnel… Les fureurs des féministes sont également une tendance extrême de la conception de la société qui se compose des deux genres où l’un n’est pas là pour s’en prendre à l’autre, mais à l’aimer, le respecter.. Les féministes sont des femmes en souffrance et devraient consulter pour comprendre leurs vies au lieu de chercher en chacun un problème qui n’est que chez elles..
La façon dont est traitée l’affaire c’est à dire médiatisée à outrance me semble suspecte et je comprends mieux maintenant que Maxime dévoile certains éléments ! le féminisme dans tous ses états ! ce qui est dramatique sans conteste et peu courant, c’est la camisole chimique et Pélicot qui a dit » je voulais la soumettre » encore qu’il faudrait vérifier les sources ..mais alors il y a beaucoup « d’acteurs » à punir, à mon avis, en tous cas essayer de comprendre comment cela a été possible et cela ne relève pas du féminisme . C’est une affaire mais il y en a d’autres comme les nombreux viols par des migrants, et alors ?
Il n’y a pas de quoi s’indigner des indignations du public.
De plus on ne sait pas à quel bord politique appartiennent ces manifestants. (probablement tous bords confondus)
Ils viennent soutenir une victime d’infamie hors du commun, et c’est très bien.
Ce qui m’aurait choqué , c’est qu’il n’y ait eu personne .
Tous ces hommes et Dominique Pélicot sont des pervers, abjects ; nonobstant on peut se demander comment cette femme sous anxiolytiques Témesta ou autre médicament ne s’est jamais réveillée avec les corps des hommes sur elle, qui la pénétraient, qui gémissaient avec à la fin les convulsions bruyantes de l’orgasme ? Comment a-t-elle pu absorber une boisson ou autres aliments avec beaucoup de comprimés qui ont un goût infect ? Comment n’a-t-elle jamais eu d’irritations vaginales ? Est-ce que ces hommes mettaient des préservatifs ? Dans la négative, ne voyait elle pas du sperme sur les draps et des écoulements de son vagin ? A part une anesthésie générale, il me semble qu’il est impossible de ne pas ressentir un corps sur soi, et il me semble qu’au réveil il y a une somnolence caractéristique de la prise d’anxiolytiques ou somnifères.
A mes yeux, ce procès est celui d’une dérive des moeurs et je me réjouis que ces « chauds lapins » trouvant normal de faire leurs affaires sur une femme endormie et ronflant qui n’est pas la leur soient condamnés. Cependant Pélicot est un pervers qui les a en partie piégés et je ne pense pas que l’affaire soit représentative des rapports hommes-femmes contrairement à ce que les médias propagent. Le gendre, mari de la fille Pélicot est rédacteur en chef chez BFMTV. Je pense qu’ils ont voulu faire monter la sauce médiatique très haut. Ce sont des gens qui ont le sens des affaires, avec un livre à vendre écrit très rapidement par la fille Pélicot cadre sup parisienne ayant une résidence secondaire sur l’île de Ré. Qu’une foule d’erinyes hue les coupables ne me choque pas, mais il devrait y en avoir alors autant pour beaucoup d’autres affaires et là, on ne voit plus personne effectivement !
Merci Maxime pour ces éléments fort intéressants.. Je vais publier
Il n’y avait pas que des Blancs parmi les violeurs de Gisèle Pélicot !Charly Arbo, Philippe Leleu, Patrick Aron, Jean-Marc Leloup, Redouane Azougagh, Christian L’Ecole, Cyril Beaubis, Adrien Longeron, Ludovick Blemeur, Hugues Malago,Joseph Cocco, Jean-Pierre Marechal, Vincent Coullet, Simoné Mekenese, Jacques Cubeau, Boris Moulin, Cyprien Culieras, Patrice Nicolle, Abdelali Dallal, Hassan Ouamou, Mahdi Daoudi, Thierry Parisis,
Mathieu Dartus, Dominique Davies, Thierry Postat, Cyrille Delville ou Delhille (?), Mohamed Rafaa, Husamettin Dogan, Florian Rocca, Omar Douiri, Andy Rodriguez, Redouan El Farihu,Lionel Rodriguez, Nicolas François,Didier Sambuchi, Saifeddine Ghabi, Karim Sebaoui, Cedric Grassot, Gregory Serviol, Paul Grovoguu, Fabien Sotton, Nizar Hamida
Bonjour,
Oui, jamais dit : pourcentage, au-dessus de la proportion dans la population française, de noms d’origine d’Afrique du Nord.
Onze extra européens, muz.
Cela rend le geste de Pélicot encore plus ignoble.
Si j’étais son fils, je sais ce que je ferais.
Ce que Pélicot a imposé à sa femme est inimaginable, inacceptable, au-delà du dégueulasse.
Mais j’ai malgré tout un doute depuis le début.
10 ans à se faire droguer ? Et au « réveil » la vie reprenait son cours. Elle a quand même dû avoir de sérieux doutes la p’tite dame, elle devait bien se sentir dans le coaltar…
Il a fallu attendre des années pour faire des examens médicaux !?
Je n’irai pas plus loin, surtout que je ne connais pas le dossier. Mais j’ai vraiment comme un doute.
Et puis exiger que le public puisse regarder les vidéos au Tribunal ça sent un peu l’exhibitionnisme.
Et tant pis si je choque.
Tu ne me choques pas car tu exprimes cela avec la distance, la retenue et le respect qui conviennent. La « durée » de cette histoire est hors du commun. Et peut en effet induire un questionnement tel que le tien. Personnellement je me suis tenu à bonne distance de l’évènement, mais j’ai ressenti des doutes tels que les tiens.
Paco vous n’êtes pas le seul. Ce procès aurait dû être traité à huis clos au lieu de faire l’actualité d’une manière malsaine comme tout ce qui est fait depuis l’ère macroniste. Envie de vomir devant tout ces déballages qui ne servent qu’à faire déferler les bas instincts de tous les abrutis de ce pays au profit d’une gauche et d’une extrême gauche en mal de représentativité.
Rien de tel que faire la lumière pour créer de l’ombre…