J’en ai eu le… coeur retourné tant cet article médical me tenait à coeur ! Ayant alors du coeur au ventre, c’est d’un coeur léger voire d’un coeur d’or et même à coeur joie que j’ai décidé de traiter ce sujet !
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J’ai donc mis mon coeur à l’ouvrage pour vous en parler le coeur sur la main !
D’autant qu’il s’agit d’un sujet consternant puisque concernant un organe qui, en vous, Mesdames ou Messieurs, bat parfois la chamade surtout pour celles et ceux qui, parmi nous, ont un coeur d’artichaut !
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Ah, là, vous en êtes sûrs : il s’agit bien de notre organe essentiel dont j’ai appris, lors d’articles scientifiques parus ces jours derniers, que certains ayant bénéficié d’une telle greffe ont constaté que leur ressenti voire leurs goûts alimentaires avaient été modifiés !
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D’où l’interrogation de chercheurs du domaine médical : le coeur emmagasinerait-il des informations quant aux goûts voire au tempérament de son porteur d’origine, informations qui seraient « récupérées » par le cerveau du receveur jusqu’à lui transmettre les « goûts et couleurs » que le donneur ressentait ???
Comme le titre le sérieux organe de presse qu’est Santé-magazine…
« Un organe greffé peut-il transmette les souvenirs du donneur ? Ce que dit la science »
Ajoutant…
« Selon des patients, les souvenirs de leur donneur se seraient transmis après une greffe du cœur. Une greffe de « souvenirs » serait-elle donc possible après la transplantation d’un organe ? Des scientifiques se sont penchés sur le sujet. »
Plusieurs greffés « affirment avoir ressenti des émotions, des goûts voire des souvenirs qui auraient appartenu au donneur. »
Cela confirmerait une étude publiée en avril dernier par des chercheurs en Arabie Saoudite :
« des patients greffés ont fait état de changements dans leurs goûts, dans leurs préférences en matière de nourriture, de musique…voire dans leur orientation sexuelle » »
En ce domaine, ce serait moins étonnant : ne plaçons-nous pas notre coeur à la première place de toute relation amoureuse ?
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Outre les goûts du donneur, les circonstances de sa mort pourraient modifier le ressenti du receveur :
« Curieusement, ces changements sont liés au donneur décédé ou, plus étrange encore, aux circonstances de la mort. Cela semble relever d’un film d’horreur-psychologique, pourtant, un patient avait déclaré avoir développé une phobie de l’eau après avoir reçu un organe d’une victime de noyade. »
Plus étrange encore, Santé-magazine rappelle qu’une étude réalisée en 2002 par la revue scientifique Journal of Near-Death Studies, avait établi…
« …le cas d’une femme ayant subitement développé un goût pour les nuggets, après une transplantation provenant d’un homme qui en était accro. « À sa sortie de l’hôpital, elle a ressenti une envie incontrôlable d’aller dans un restaurant KFC (…) pour commander des nuggets de poulet, un aliment qu’elle n’avait jamais mangé. » Or… « Fait intéressant, des nuggets de KFC non consommés ont été retrouvés dans la veste du jeune homme décédé. »
Les chercheurs ont établi quatre hypothèses :
-1/ La mémoire cellulaire : toutes les cellules du corps pourraient stocker des souvenirs.
-2/ Les modifications épigénétiques, c’est-à-dire des changements dans l’activité des gènes.
-3/ Les interactions énergétiques par l’influence possible du champ électromagnétique du cœur greffé.
-4/ Le « petit cerveau » du cœur : un réseau neuronal complexe présent dans le cœur pourrait tenir un rôle plus important dans la régulation du rythme cardiaque qu’on ne le pense.
D’où cette question : « Pourrait-il ainsi stocker des souvenirs et communiquer avec le cerveau ? »
Et, présentée par ce sous-titre :
« Une connexion cœur-cerveau dans la mémoire et la personnalité », cette explication de Santé-magazine :
«…la transplantation cardiaque peut impliquer le transfert des traits de personnalité et des souvenirs du donneur au receveur, remettant en question les conceptions traditionnelles de la mémoire et de l’identité »
Une explication tirée de l’étude saoudienne sur la mémoire cardiaque.
« De plus, le réseau neuronal du cœur et sa communication bidirectionnelle avec le cerveau soutiennent l’idée d’une connexion cœur-cerveau dans la mémoire et la personnalité. »
« Il reste tout de même des mystères sur les raisons précises d’un tel phénomène », conclut le magazine.
Et dire -afin de terminer sur un sourire- que certains ont bénéficié d’une greffe de coeur de… porc ! Mais aucune étude ne précise si ces greffés ont constaté de modifications lors de leur tenue à table ou dans le choix de leur vocabulaire… Mais que pourrait-on y faire si le coeur leur en dit ?
Jacques MARTINEZ, journaliste, à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
(1) Précisions sur la « naissance » du coeur du foetus :
1/ Le site enfant.com précise que le coeur du foetus « naît » vers le 20e jour de grossesse et commence à battre au 28e :
https://www.enfant.com/grossesse/vie-utero/quand-coeur-utero-2813
« Avant de pouvoir entendre battre son petit cœur, il va falloir patienter un peu. L’activité cardiaque ne démarre pas avant 28 jours de grossesse car durant les 4 premières semaines qui suivent la fécondation, votre futur bébé a beaucoup de choses à faire. Il doit migrer de la trompe afin de gagner la cavité utérine pour s’accrocher et commencer à se développer. 20 jours environ après la fécondation, le tube cardiaque de votre bébé apparaît (c’est l’ébauche de son futur cœur). Il est constitué par la fusion de deux vaisseaux sanguins. Il est déjà agité de contractions spasmodiques, mais n’a pas encore la forme d’un cœur. »
2/ Le coeur humain bat 100 000 fois par… jour (2min 26) :
https://fr.video.search.yahoo.com/search/video?fr=crmas&ei=UTF-8&p=foetus+quand+le+coeur+commnce-t-il+%C3%A0+battre%3F#action=view&id=3&vid=a7ea0f1baca1a95fb38b2ab4c32175d4
et 3/ Site Actu de Science : Les premiers battements (20 heures après la fécondation) du coeur d’un… poisson-zèbre (2min 13) :
https://fr.video.search.yahoo.com/search/video?fr=crmas&ei=UTF-8&p=foetus+quand+le+coeur+commnce-t-il+%C3%A0+battre%3F#id=2&vid=2a6d85c965e0e90b175ba476fbff777f&action=click
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♦ leur ressenti voire leurs goûts alimentaires avaient été modifiés !
On pourait dire que cela peut-être une réalité biochimique : Anesthésiants, anesthésie, traitements… peut-être ?
Ce qui écarte cette hypothèse c’est que ces changements ont un rapport avec le donneur.
Ce devrait être pareil pour les greffés de moëlle osseuse non ?! d’où le rapport avec le sang. La question se pose alors séreusement pour les musulmans et le hallal médical ; lesquels, ne sont pas en phase avec le respect de leur règle du hallal quan il s’agit de médecie et de chirurgie.
Dès lors, on peut compter sur les émirats arabes et des musulmans pour leur nouvelle contribution financière, scientifique des disciplines biologiques et médicales et l’évolution des organes et membres articiciels ; voir le sang synthétique.
Ils risquent d’être les nouveaux champions dans ce secteur.
Oui ! Je crois que nous pouvons avoir des surprises avec les pays riches et donc les riches musulmans du monde et l’évolution en matière médicale.
La grande métamorphose de l’islam qui conciliera ses chaines doctrinales religieuses avec l’évolution scientifique et l’argent.
Peut-être seront-ils les champions du transhumanisme !
Très difficile à croire! Les explications données de ce phénomène sont complètement ésotériques. Il faut approfondir à coeur.