La Suède face à l’islamisation et au djihad quotidien…
►Mikael, père de famille, est au cimetière ; il avait croisé Mohammed , un trafiquant de drogue…
Mohammed vient d’être officiellement accusé du meurtre de Mikael Janicki à Skärholmen ce jeudi 19 décembre
Mohammed, 18 ans, a été inculpé ce jeudi pour le meurtre très médiatisé du père d’un jeune enfant, Mikael Janicki, à Skärholmen en avril dernier.
C’est dans la soirée du 10 avril dernier que Mikael Janicki a été abattu à Skärholmen de deux balles, l’une dans l’abdomen et l’autre dans la poitrine.
Mikael Janicki, 39 ans, a été assassiné par Mohammed
Âgé de 39 ans et père de jeunes enfants, il affrontait un gang qui vendait de la drogue lorsqu’il a été assassiné. Le fils de Mikael, âgé de 12 ans, est témoin du meurtre. Une circonstance qui fait que l’incident est très médiatisé.
■Poursuite pour meurtre
Dans les jours et les semaines qui suivent, la police arrête plusieurs personnes soupçonnées d’être impliquées dans le meurtre du père du jeune enfant.
Toutefois, ce n’est que le 21 mai que la personne qui détenait l’arme du crime a été arrêtée et inculpée : Mohammed, 18 ans, qui avait 17 ans au moment du meurtre. Il a été placé en détention le lendemain de son arrestation.
Mohammed avait déjà fait l’objet de condamnations pénales. Il s’agit d’un jeunet irakien qui est arrivé en Suède alors qu’il était enfant, qui est aujourd’hui citoyen suédois et qui est connu de la police depuis avant sa majorité.
Mohammed vient d’être officiellement accusé du meurtre de Mikael Janicki. Le procureur général adjoint, Ove Jäverfelt, a remis sa citation à comparaître au tribunal de district jeudi matin 19 décembre.
■Plusieurs co-accusés
Outre le meurtrier irakien, quatre autres jeunes hommes sont accusés de trois chefs d’accusation de complicité aggravée avec un criminel.
Les coaccusés sont âgés de 17 et 18 ans et sont également d’origine étrangère. Trois d’entre eux sont nés en Suède d’immigrés originaires d’Irak, d’Afghanistan et d’Afrique du Nord. Le quatrième bénéficie du secret de l’identité.
Dans son acte d’accusation devant le tribunal de district de Södertörn, l’accusation invoque de nombreuses preuves techniques. Il s’agit notamment de traces d’ADN de Mohammed sur l’arme du crime et d’une analyse téléphonique montrant que son téléphone portable se trouvait à proximité de la scène du crime au moment des faits.
►8000 € de dédommagement à un élève à qui l’on a demandé de changer de tenue vestimentaire…
Célébrations de l’Aïd.
Un enseignant d’une école de Göteborg a demandé à un élève de quitter la tenue de cérémonie musulmane qu’il portait en arrivant à l’école, tout droit sortie d’une fête de l’Aïd.
L’enseignant n’aurait pas dû agir de la sorte. L’incident a été signalé au Médiateur pour les questions de discrimination (DO), qui a jugé que l’élève avait été « soumis à un harcèlement » et qu’il s’agissait d’une « infraction particulièrement grave ».
La direction de l’école a également été critiquée par l’autorité pour « ne pas avoir rempli son obligation d’enquêter sur la situation et de prendre des mesures » à l’encontre de l’enseignant. L’école a déclaré avoir traité l’affaire de manière satisfaisante en discutant avec le tuteur de l’élève, mais le Médiateur pense le contraire.
En l’occurrence, l’élève s’est conformé à la demande de l’enseignant et a changé de vêtements. Le motif de la réprimande était que le vêtement religieux était « inapproprié » dans l’environnement non confessionnel que l’école est censée être et qu’il était « provocateur » pour les non-musulmans.
– « Remettre en question les vêtements que vous portez est très offensant, surtout lorsque cela est lié à la religion ou à l’appartenance ethnique. Dans ce cas, c’est également un enseignant qui offense l’élève, ce qui rend la situation particulièrement grave », déclare Vanessa Grapenstedt, gestionnaire de cas au bureau du Médiateur, dans un commentaire sur la décision de l’autorité.
■Il suffit de « s’estimer » harcelé
Dans sa décision, l’autorité se réfère à la loi sur la discrimination et écrit que « l’école qui apprend qu’un élève se considère comme victime de harcèlement dans le cadre de l’activité est tenue d’enquêter sur les circonstances et de prendre les mesures qui peuvent être raisonnablement exigées pour prévenir le harcèlement à l’avenir ».
Selon le Médiateur, la réprimande relève de la définition du « harcèlement ». La « dignité » et les « convictions religieuses » de l’élève musulman ont donc été violées. Il affirme – sans citer de sources – que « la discrimination, y compris sous la forme de harcèlement, est un problème majeur dans les écoles ».
■L’école et l’enseignant ne sont pas autorisés à commenter
Selon un rapport préparé par l’autorité elle-même, il existe également « des lacunes dans la capacité des écoles à agir lorsqu’elles ont connaissance d’un cas de harcèlement ». L’incident actuel en est un exemple.
Il est également indiqué que l’école, après avoir menacé d’aller en justice, « a admis la discrimination et a versé une indemnité à l’élève ». Le montant s’élève à 90 000 couronnes suédoises. Ni la direction de l’école ni l’enseignant ne sont autorisés à être entendus dans le communiqué de presse ou la décision du Médiateur.
►Iido, originaire de Somalie, est inscrite aux cours de « suédois pour étrangers » depuis 16 ans : elle a du mal à se faire comprendre en suédois…
Elle ne peut que difficilement se faire comprendre en suédois lorsque la télévision vient l’interviewer – l’émission place une bande de texte dans laquelle on tente d’interpréter les propos d’Iido en suédois pour les téléspectateurs…
L’obligation faite aux migrants d’apprendre le suédois à leur arrivée en Suède est pratiquement inexistante. Nombreux sont ceux qui vont et reviennent aux cours année après année sans avoir satisfait aux exigences en matière d’études.
Iido, originaire de Somalie, en est un exemple.
Elle est arrivée en Suède il y a 16 ans et a étudié le « suédois pour étrangers » pendant tout ce temps. Pourtant, aujourd’hui, elle a du mal à se faire comprendre dans son suédois approximatif.
Iido Karshe, 39 ans, originaire de Somalie mais vivant aujourd’hui à Falkenberg, fait partie de ce que la gauche immigrationiste a décrit comme la « pluie de compétences » sur la Suède, et dont le Premier ministre de l’époque, Stefan Löfven (S), a déclaré lors d’un débat des chefs de parti organisé par la télévision d’État « qu’elle sera un peu plus tard un atout pour la société ».
■Iido est arrivée en Suède en 2008, il y a 16 ans !
Depuis qu’Iido est en Suède, elle étudie le SFI, le suédois pour immigrés. À titre de comparaison, c’est le temps qu’il faut à d’autres pour terminer l’école primaire, l’école secondaire supérieure et quelques années d’études à l’université.
Iido elle-même ne trouve rien d’étrange dans le fait qu’elle se batte depuis si longtemps avec le cours de suédois de base.
De plus, Iido affirme qu’il faut du temps pour apprendre le suédois si, comme elle, vous êtes une mère célibataire de quatre enfants et que vous travaillez parallèlement à vos études de suédois.
Iido travaille dans le secteur des soins aux personnes âgées.
L’obligation pour le personnel d’une maison de retraite de pouvoir communiquer en suédois avec les clients est une exigence souvent ignorée. Iido en est un exemple.
■La langue suédoise n’est pas la seule chose qu’Iido trouve difficile à intégrer.
Après 16 ans dans le pays, elle est toujours fondamentaliste musulmane et, dans l’émission de télévision, elle porte une robe noire intégrale avec un voile très choquant pour un Occidental.
■Un migrant sur trois échoue aux cours de base pour immigrés…
Iido n’est pas un cas unique. Dans une émission parallèle, la chaîne de télévision SVT rapporte qu’un migrant sur trois n’a pas terminé une seule partie du cours SFI après cinq ans d’études, et encore moins l’ensemble du cours. Les chiffres proviennent de l’Agence nationale pour l’éducation.
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L’occident est en grand danger,il y a des maisons de retraite pour les parents qui ont tout donné à leurs enfants,quelle méchanceté et quel manque de reconnaissance.Et on fait venir des sauvages (qui feraient mieux de rester chez eux – la Suède est un pays froid et chez eux en Afrique pas de chauffage à payer) qui assassinent des Pères ou des enfants.La drogue devrait être interdite.
Ce n’est pas seulement la drogue qui devrait être interdit mais tous ces envahisseurs tout court.
Les Suédois sont aussi cons que le reste des peuples européens de se laisser bâillonner par leurs salopards de politichiens avec leurs lois liberticides et discriminatives envers le peuple de souche ou les envahisseurs ont tous les droits , et que le peuple de souche doit fermer sa gueule , et accepter tout sans rien dire ni dénoncer de quoi que se soit , tous les pays européens marchent sur la tête , total inversion des valeurs ,il fut un temps il y a eu des révolutions pour moins que cela ! Maintenant il faut que les peuples de souches européens sachent de quelle manière ils vont crever : soit en restant dhimmi et en fermant sa gueule ou crever debout les armes à la main en envoyant un maximum de politichiens et d’envahisseurs muzz en Enfer ?
Il n’y a plus grand chose à dire sur la Suède, qui est passée du paradis à l’enfer
Il faut se rappeler que dans les années 70 ce pays était donné comme exemple pour son égalité sociale la gauche en France la citait en exemple, les contribuables Suédois trouvaient normal de payer des impôts pour aider les plus démunis, le patronat aussi payait beaucoup pour les aides de toutes sortes, le système médical était très avantageux
Puis SOROS est arrivé avec ses organisations humanitaires…….
Pire que la plus intolérable des tortures que l’on puisse infliger à un être vivant est celle de la lecture de vos revues de presse sur l’islam Jules Ferry .A chaque fois que je les lis j’ai des envies de meurtre ,pourtant j’appartiens à un peuple civilisé et éduquer .
Oui, « Qui augmente sa lucidité ajoute à sa souffrance » mais c’est un devoir de travailler à la recherche de la vérité et éclairer sur les dangers de l’islam. Joyeuses Fêtes, Tintin
L’islamisme est ravi de la dhimmitude ambiante. Les nôtres sont assassinés dans l’indifférence quasi générale.