J’ai tout fait pour me convertir… à l’escrologie officielle !
Pour un patriote, je suis plutôt obéissant de ce point de vue. J’ai troqué mon vieux diesel pour une voiture électrique, ayant conscience que sans le pétrole, nous n’aurions pas eu l’islamisation. Je me chauffe à 19 degrés, comme on nous le demande depuis quelques années (pas le choix vu qu’ils nous ont collé la guerre en Russie et ont rajouté une couche de taxes sur l’énergie). Je me suis aussi mis à collecter les déchets alimentaires comme la loi nous l’impose depuis 2024.
La commune où je réside nous avait conviés à une réunion publique où chaque habitant à reçu, au choix, son petit seau à mettre dans la cuisine ou un gros composteur à mettre dans le jardin, qu’il défigure bien. On nous a expliqué qu’il faudrait soit vider le seau dans le jardin, soit dans un point de collecte de notre quartier où tout le monde touche la grosse boîte à caca alimentaire dans une joie écologiste incommensurable… Programme pas très réjouissant !
Partant du principe que les déchets alimentaires sont issus de la cuisine, j’ai préféré le petit seau à mettre dans un placard de la cuisine plutôt que d’aller dégueulasser mon jardin avec miss monde le composteur géant…
Bon, déjà, le petit seau n’a pas de pédale donc il faut mettre les mains pour l’ouvrir et donc se salir les mains puisqu’il contient des déchets alimentaires qui pourrissent par définition. Ensuite, même si on y met un sac poubelle, le sac se salit et que fait-on du sac une fois qu’on a vidé le seau ? On le jette dans la poubelle verte, et que met-on dans la poubelle verte puisqu’on n’y met plus de déchet alimentaire ? La litière du chat ou du cochon d’inde, les cotons-tige usagers et quelques babioles non recyclables, si bien que la poubelle verte met 3 mois à se remplir, ça tombe bien elle n’est plus ramassée que tous les 15 jours puisque la taxe sur les déchets a augmenté entre temps et que de toute façon, on a décidé de nous emmerder et de nous offrir moins de service public pour le même montant d’impôt… la « schrinkflation » appliquée à l’argent public !
Très prosaïquement, dans la poubelle verte tout se mélangeait et les sopalins usagers, mouchoirs et autres serviettes usagées absorbaient toute l’humidité et les odeurs des restes alimentaires du type peau de saumon, cadavres de crevettes, jus de légumes ou de fruits… cela limitait les odeurs pestilentielles…
La poubelle se remplissait à un rythme normal pour dégager dans le camion une fois par semaine, et basta…
Avec le petit seau, cela sent mauvais à chaque ouverture, et l’odeur reste dans la maison… et puis il faut se laver les mains à chaque manipulation, quel gaspillage d’eau pour une finalité prétendument écologique…
On est puni, avec le petit seau, de ne pas avoir assez de déchets alimentaires. Dans le cochon, tout est bon. Dans les fruits et légumes du jardin aussi. Il me fallait 2 mois pour remplir le petit seau. Je ne suis pas du genre à jeter la nourriture. Je prévois d’avoir assez pour manger en étalant les dates de péremption.
Une étude aurait établi que chaque Français jette 25 kilos de déchets alimentaires par an. En ce qui me concerne, je ne dois même pas être à 1 kg par an.
Alors le temps que cette saloperie s’entasse dans le petit seau, les moucherons arrivent et la joie écologiste se poursuit. A chaque ouverture du petit seau dégoûtant, la vermine prend l’air.
C’est sans doute génial aux yeux des Aymeric Caron, car les araignées qui s’invitent dans les logements (qu’il ne faut surtout pas tuer, hein) vont pouvoir se repaître des moucherons afin d’y tisser merveilleusement leurs toiles pour le plus grand profit de la biodiversité…
Mais je garde en mémoire le visage de mes invités lorsque, lors d’un convivial repas, les enfants découvrirent des petits moucherons dans le jus de fruit que je leur ai servi, pour l’avoir posé sur la table 20 minutes avant le début du repas. La bestiole trouve vite à se poser sur la nourriture fraîche et se noyer dans la boisson fruitée si on ne surveille pas.
Alors tout additionné, j’ai trouvé que la facture de la démarche prétendument écologiste sur le plan de ma patience était devenue trop élevée.
Le petit seau à caca alimentaire, tout de plastique constitué, a rejoint sa grande soeur la poubelle jaune pour de formidables aventures de recyclage... la collectivité a mis 11 euros dans cette saloperie dont l’élimination m’a procuré un réel sentiment de soulagement.
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Il existe une solution toute simple, et ce sont les américains (en Grande-Bretagne, au Japon et en Chine aussi) qui nous montrent la voie depuis toujours en ce domaine : les éviers américains (britanniques, japonais et chinois) sont munis d’un broyeur (inspiration de nombreux films d’horreur) qui transforme tout déchet en « soupe », éliminée dans les égouts.
Nous n’avons pas de tels dispositifs en France mais on peut tout simplement broyer avec un mixeur et de l’eau puis jeter « la soupe » tout bêtement dans les toilettes. On tire la chasse et plus aucun problème de bouchage d’évier ni d’odeurs ni de moucherons.
Epluchures, bouts de gras, marc de café, restes de nourriture etc. tout cela bien mixé fin, avec de l’eau, part aux égouts, se décompose naturellement et ne pollue pas. On dépense un peu d’eau et d’électricité mais cela reste parfaitement raisonnable.
Mais bien évidemment en France, où on est plus intelligent que le reste de la planète… c’est interdit !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Broyeur_d%27%C3%A9vier
Il faut savoir que ces tarés d' »escrologistes » souhaitent carrément nous imposer des composteurs, DANS nos appartements et nos maisons! Or, le processus de compostage libère des gaz TRES dangereux, tels que le monoxide de carbone et le sulfure d’hydrogène!… La place d’un composteur, c’est tout au fond de votre jardin…et non pas à l’intérieur d’un appartement!…
Merci Bernard pour cette indispensable information.
Bravo Maxime, vous avez enfin fermé votre élevage de mouches. 🪰 😏
Chez moi c’était parfois des mouches vertes l’été, mais je m’en suis séparé. Pôv’ petites bêtes…. Mais avant de les abandonner je leur ai refilé l’adresse de Caron.
Autre gaspillage d’argent public chez les dingos :
Lyon : la mairie EELV souhaite financer un atelier de sensibilisation inter-espèces afin de faire dialoguer les agents de la ville avec un « bouleau pleureur » et « un coquelicot »
https://www.fdesouche.com/2024/12/18/lyon-la-mairie-eelv-souhaite-financer-un-atelier-de-sensibilisation-inter-especes-afin-de-faire-dialoguer-les-agents-de-la-ville-avec-un-bouleau-pleureur-et-un-coquelicot/
Je ne trie. Plus. Tout dans le sac noir et poubelle. Je les emmerde.
Bravo jean Mi, Comme tous les politiques ! Tous à la déchetterie !
Il faut espérer que vous séparez tout de même le verre du reste. Le verre est très facilement recyclable à l’infini. Comme les métaux des boites de conserve et canettes de boisson (que l’on peut facilement écraser pour réduite drastiquement le volume de stockage)
Autre solution, acheter un cochon ou des volailles. L’ éscrologie : le sceau du seau des sots!