Ce n’est qu’une idée en vue d’un éventuel roman pouvant peut-être servir de scénario pour un long métrage : imaginons… je dis bien imaginons car ce récit des plus fictifs n’aurait, s’il était un jour écrit, aucune relation avec des faits réels actuels ou du passé.
Imaginons donc un homme bien introduit dans le milieu financier non seulement de son pays mais aussi à l’international et, plus particulièrement avec les États-Unis, pays pour lequel le qualificatif « riche » n’est pas usurpé… Un homme si bien introduit dans ce milieu de la haute finance mondiale qu’il a été chargé de hautes fonctions dans une société étant implantée sur tout la planète. Mais « Toute ressemblance avec une société existante ou ayant existé ne serait que pure coïncidence »
Et ce banquier, bien que percevant -le plus honnêtement qui soit- jusqu’à 5 millions d’euros par an est poussé à entrer en politique par un groupe d’hommes ou d’amis voulant en tirer un énorme profit.
Nous déterminerons, pour ce roman, s’il s’agira d’un groupe de maffieux inconnus du banquier ou d’un groupe, lui, composé d’amis intimes de ce financier.
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Nous choisirons donc entre deux hypothèses :
-1/ si ce sont des maffieux, ceux-ci seront des gens sans foi, ni loi, ayant la possibilité de faire chanter ce haut responsable bancaire en raison de son mariage avec une femme au passé jusque-là mystérieux mais, eux, après cinq ans de recherches, ont maintenant des preuves accablantes contre le financier qui est dans leur ligne de mire ;
-2/ si ce sont des amis, ce seront des gens du même milieu que lui et qui lui proposeront une magouille, persuadés qu’ils seront d’avoir trouvé un moyen facile, en se servant de la position exceptionnellement haute de leur « copain », d’arrondir non leurs fins de mois mais leurs fins d’années dès le 31… janvier !
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Que ce soit l’un ou l’autre groupe, l’idée à développer sera…
…soit un chantage de truands de haut vol à partir des éléments qu’ils auront récupérés sur le passé de l’épouse du président actuellement à la tête de l’État -un État imaginaire au sein de l’Europe.
…soit par complicité entre amis peu regardants sur les moyens d’augmenter leurs fortunes même au détriment des finances de ce pays et de millions de ses citoyens !
Au départ, puisqu’il est toujours en activité dans sa société financière internationale, il faudra soit le pousser par chantage sur son épouse, soit le convaincre amicalement d’entrer en politique afin d’en tirer le plus de bénéfices possibles en récupérant les intérêts « substantiels » d’une opération -facile à réaliser pour ce groupe d’amis au fait du monde des finances-
D’où soit la contrainte mafieuse, soit le projet « amical » de quitter son poste confortable et largement bien rémunéré afin de se lancer -contraint ou complice- dans la politique.
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Mais pourquoi la politique ?
Parce qu’il pourrait, en quelques mois à peine, grâce à son carnet d’adresses, pénétrer le cercle restreint de la présidence de ce pays d’autant que celui qui en détient le siège sera facile à convaincre voire à écarter de la prochaine présidentielle.
Une fois dans les papiers du chef d’État de ce pays, il pourra tout faire, en douce, pour le pousser à prendre des mesures qui, en fait, seront impopulaires à un point tel que le président d’alors sera fragilisé. Ainsi, lui, avec son bagout, le convaincra de lui laisser sa place. Et, une fois élu, il fera tout, grâce à ses connaissances financières, pour faire croire qu’il va prendre d’excellentes décisions pour le plus grand profit de tout le peuple.
Mais, en fait, le but sera de mettre les finances du pays au plus bas. Et, ainsi, les intérêts de la dette feront, en quelques années à peine, gagner des milliards aux gros prêteurs et, donc, soit aux truands qui le font chanter sur le passé de son épouse,
soit à ses amis et, dans ce cas, à lui aussi : il en percevra 50% et ses amis se partageront les autres 50% ! Ce qui, dans mon roman, sera un juste retour pour lui ! En effet, avant de quitter son poste dans sa société financière, il percevait quelque 50 millions de salaire et de primes par an. Là, cela devrait être rentable : les sociétés auxquelles les créanciers de son pays ont fait gagner des milliards suite à l’écroulement des finances de son pays et donc grâce aux prêts bancaires. Ainsi, vont lui être retournés, après dix ans, le double de ce qu’il aurait gagné en étant resté dans sa société financière soit 1 milliard d’euros pour 10 ans de « bons et loyaux service » au lieu des, environ, 500 millions que son siège de directeur lui aurait rapporté ces 10 années. Et sur lesquels il lui aurait fallu, en outre, payer des impôts ! Alors qu’avec sa magouille, pas d’impôts puisque ce sera du… « rien à déclarer » !
Donc, pour mon roman, je crois que je pencherais plutôt pour la combine entre amis que pour une opération de truands. Cela serait plus original. Et surtout plus vraisemblable… Beaucoup plus crédible… Même si, selon la formule originale et complète que rappelle David Castello-Lopes d’Europe1, avec moult rappels historiques des plus intéressants (1) :« Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence ».
D’autant, je le répète, cela n’est qu’une idée de roman…
Jacques MARTINEZ, journaliste, à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
(1) Origines de la mention « Toute ressemblance… » sur Europe 1 (6min)
https://www.europe1.fr/emissions/les-origines/aux-origines-de-la-mention-toute-ressemblance-avec-des-personnages-existants-serait-purement-fortuite-4011176
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Cet article me fait penser au film « le parrain. »
On lui aurait fait une proposition qu il ne peut pas refuser..
Mince alors..
Vous semblez oublier une chose : les complots n’existent pas, à part le mot au singulier dans le dico.
Tiens, ça me fait penser à quelqu’un? Lui? Quand la réalité rejoint la fiction.
vous pensez a quelque un ???
Le héros du roman pourrait s’appeler Mak. Ça sonne bien pour un personnage de f(r)iction…
Je vous propose d’appeler « Frankistan » le pays objet de ce projet de roman . C’est un nom imaginaire, bien sûr, dont la ressemblance avec un pays existant serait purement fortuite. En même temps, comme on dit dans certains milieux, ce nom sonne bien et ferait accepter facilement par le public l’idée que les élites frankistanaises sont totalement corrompues.
Ou FranCAFric, ça sonne bien aussi.
ou Islafrance.