Blocage de la frontière avec l’Ukraine par les paysans polonais.
Je vous disais le 12 novembre que l’on était mal partis, avec Der Leyen et tous les mondialistes européens qui piaffent d’impatience pour voir le Mercosur achever l’agriculture -et les agriculteurs- européens. Mais j’ajoutais que l’on avait une solution institutionnelle si au moins 4 pays membres représentant plus de 35% de la population de l’UE s’associaient pour constituer une minorité de blocage. On attend Macron qui, devant la grogne des paysans, prétend chercher des solutions… Si la France rejoignait les mécontents on pourrait sauver nos paysans. Mais avec leroi du « en même temps » qui, au lieu de dire non voudrait juste qu’on ajoute à l’accord le respect de normes environnementales, on n’est pas sauvés !
Sur le papier encore, la France, si Macron voulait, pourrait s’ppposer au texte de l’accord puisqu’il faut en théorie la fameuse unanimité des Etats membres qui fait cauchemarder der Leyen. Mais les traîtres ont prévu la situation, il suffirait de distinguer le volet commercial des autres sujets comme l’immigration ou la recherche pour que cela passe, dans ce cas on aurait juste besoin d’une majorité qualifiée, soit 55% des Etats membres représentant au moins 65 % de la population de l’UE.
Ah l’arnaque du fonctionnement de l’UE. Démocratique qu’ils disent… Enfumage, manipulation…
Néanmoins, si Macron voulait, il pourrait. Il y a encore la possibilité de constituer une minorité de blocage avec au moins 4 Etats membrs du Conseil représentant plus de 35% de la population de l’UE. Pologne, Pays-Bas et Autriche seraient partants… il suffirait que Macron aille les voir pour que la contre-attaque soit efficacle. Mais le bougre n’y songe même pas, on se demande pourquoi !
Pourtant, s’ils voulaient, ils pourraient !
« La Pologne ne soutiendra pas cet accord, c’est la résolution que nous voulons adopter au sein du gouvernement » qui doit se réunir mardi prochain, le 26 novembre, a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, ministre de la Défense et président du parti Paysan, membre de la coalition au pouvoir.
Vendredi également, le ministre polonais de l’Agriculture a réitéré à Varsovie son opposition à cet accord lors d’une rencontre avec son homologue française. « Nous ne pensons pas qu’il s’agira d’une position [gouvernementale] autre que négative », a déclaré le ministre polonais de l’agriculture Czeslaw Siekierski à l’issue des entretiens à Varsovie.
Les agriculteurs polonais viennent de suspendre pour 2 semaines le blocus de la frontière avec l’Ukraine… Ils font pression, eux, sur leurs politiques.
Les agriculteurs polonais lèvent le blocus frontalier avec l’Ukraine pour deux semaines –
MOSCOU (Sputnik) – Samedi, les agriculteurs ont bloqué la route menant au poste frontière de Medyka-Shehyni entre les deux pays, ce qui a entraîné de longues files de camions. Le blocus a été levé après qu’un accord a été trouvé avec le ministre polonais de l’Agriculture Czeslaw Siekierski, qui aura deux semaines pour répondre aux demandes des agriculteurs. La manifestation serait suspendue jusqu’au 10 décembre, mais dans le cas où l’accord ne pourrait pas être trouvé, les agriculteurs prévoient d’organiser une manifestation de grande ampleur le long de toute la frontière orientale. L’une de leurs principales revendications comprend la fin des négociations sur un accord commercial proposé par l’UE avec le bloc commercial sud-américain Mercosur et l’abandon des augmentations d’impôts pour les producteurs agricoles.
Traduction google
Mais on. voit bien que Der Leyen et compagnie veulent signer, à tout prix… Ils négocient… ils négocient et sûrement pas pour l’intérêt des nôtres. La plupart des dirigeants européens sont prêts à signer en échange de mesures cosmétiques qui n’empêcheront pas la concurrence déloyale puisque, à terme, ce genre d’accord est fait pour faire baisser les prix et donc détruire notre agriculture, notre pays, notre capacité de subsistance et, surtout, pour introduire chez nous encore plus de produits mauvais pour la santé… et notre espérance de vie.
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Tant que la mère van der Layette tiendra les aiguilles à tricoter de l’Europe, on ne s’en sortira pas.