Merz, le prochain chancelier allemand, est un agent de Blackrock

Il est annoncé par les pressetituées françaises et autres de l’UERSS, qui ânonnent sans vérifier, comme le successeur du mollasson Olaf Scholz,  Friedrich Merz, chef du plus gros parti d’opposition, CDU-CSU.

Scholz, qui se comportait tout au long de sa mandature comme  gouverneur du 51ème état des États Unis d’Amérique, au point, que son maître, l’oncle Joe, lui coupa toutes sources d’énergies par un acte de guerre contre lui, sans que cette enclume ne mouftât, en sabotant les pipelines qui fournissait son pays de gaz, utile à la production d’électricité. Scholz n’était évidemment pas seul à se taire, sa coalition pastèque, dites AMPELKOALITION, laquelle dirige encore le pays, se drapa dans un épais silence.

L’élection de Trump a contribué, entre autres, à faire sauter cette coalition contre nature, qui ne tenait qu’à un fil, qui ne tendait jamais à rompre. De manière récurrente, la chute de l’enclume était annoncée sans pour autant prendre forme. Alice Weidel, patronne de la AfD dégaine la première en exigeant du chancelier la question de confiance. Immédiatement, Friedrich Merz, lui emboite le pas, pour ensuite rétropédaler, car il constata que les Verts qui veulent rester au pouvoir, les socialos et la FDP ne formeront jamais une coalition pour l’introniser chancelier. L’imbécile parasitaire à courte vue refuse toute coalition avec la AfD, au nom du sacro-saint cordon sanitaire, qui est appelé en Allemagne, Brandmauer ou, mur anti-feu. Comme seul le chancelier est autorisé à appeler la question de confiance, elle sera donc posée le 11 décembre prochain par Scholz et le Bundestag statuera le 16 décembre 2024.

Comment fonctionne la question de confiance en Allemagne ?

C’est dans l’article 68 de la loi fondamentale que le processus est mentionné.  L’instrument peut être utilisé de deux manières : pour stabiliser le gouvernement ou pour déclencher des élections. Dans les deux cas, il doit veiller à ce que le pays ne soit pas privé de son gouvernement.

C’est donc dans le cadre d’élections que la question de confiance sera posée. L’opposition la plus critique, pour rester « politiquement correcte », est bien entendu, à juste titre et légitimement, au nom du peuple allemand, Alice Weidel, patronne de la AfD, qui tance de manière extrêmement dure ce ramassis de parasites au Bundestag. Elle lance, agacée, que la question de confiance aurait pu être posée immédiatement, mais les magouilles de l’entre-soi, ont prévalu, pour arriver à un accord le 23 février prochain.

C’est ainsi que les cloportes s’accrochent encore au pouvoir. « Encore une minute, Monsieur le Bourreau. »

J’ai regardé cette semaine les interventions des uns et des autres au Bundestag. A part Alice Weidel, tout était atterrant. Scholz, comme Macron, s’autocélébrait, estimant que l’Allemagne allait très bien sous son mandat. De la vie détériorée des Allemands, RIEN !

Annalena Baerbock, encore ministre des Affaires étrangères, considérée à l’étranger comme un élément au QI extrêmement faible, du niveau de Kamala Harris, non prévue, remplaçait son partenaire du parti des Verts, Robert Habeck, un genre de gravure de mode qui se croit irrésistible et compétent.  Il a eu la folle outrecuidance d’annoncer sa candidature au poste de chancelier, ministre de la défaite économique, il est néanmoins vice-chancelier  en déplacement, pour nous chanter qu’il se verrait bien rester au gouvernement et qu’il fallait plus d’Europe. Rien encore sur les souffrances du peuple allemand. C’est bien elle qui déclarait : « Je n’en ai rien à foutre des électeurs », ces électeurs qui payent ses robes de couturiers, ses bottiers de luxe, ses stylistes et autres maquilleurs.

Christian Lindner, de la FDP, fraîchement viré de son poste de ministre des Finances par le chancelier se lamente sur son sort, sans penser que ses compatriotes sont dans la souffrance de l’inflation, de l’invasion migratoire, de la conquête de l’islam. Les parasites kleptocrates allemands n’ont rien à envier aux nôtres.

J’en arrive au plus gros morceau qui est Friedrich Merz, qui préside à la destinée de la CDU-CSU. Durant son discours, il n’a pas manqué d’insulter l’AfD et ostensiblement ainsi souligner, qu’il ne serait jamais un « collabo de l’extrême droaoaoaoate ».

Cependant, il y a un gros problème avec cette figure parasitaire allemande. C’est un agent de BlackRock … C’est BlackRock qui l’intronisera le 23 février prochain, afin que l’Allemagne garde son statut de 51ème Etat des États Unis d’Amérique.

En effet, après avoir été candidat malheureux contre Merkel au poste de chancelier, Merz avait disparu de la politique pour diriger BlackRock en Allemagne. Bon sang ne saurait mentir et une direction Merz sera pire que Scholz, puisqu’il est un néocon déclaré et clamait encore cette semaine au Bundestag,qu’il fallait livrer des missiles Taurus aux Ukrainiens, afin qu’ils puissent attaquer l’intérieur de la Russie. Autant dire que Monsieur Poutine n’est pas seul et que Merz va agacer, s’il ne le fait déjà, l’entourage faucon du Président Poutine, qui fera pression sur lui, afin d’agir concrètement contre ces provocations. Merz représente donc la guerre de la pire des manières. Je souligne que 80% des Russes sont derrière leur chef, les 20% de mécontents estiment qu’il ne va pas assez loin …

Scholz a pris l’initiative, entre-temps, de téléphoner au Président Poutine, afin d’essayer d’obtenir de lui des négociations de paix. Le geste de Scholz, cousu de fil blanc, n’était motivé que par les prochaines élections, afin de se faire mousser auprès du lambda de son pays, comme « homme de paix », contre l’homme de guerre qu’est Merz. Ce mollusque espère ainsi garder le pouvoir.  C’est tragique pour le peuple allemand d’observer ces magouilles pré-électorales.

Le Président Poutine, dont on connaît l’immense intelligence politique et géopolitique ne s’est pas fait avoir par ce coup de fil. Je veux ici particulièrement souligner que le Président Poutine est resté, reste et restera toujours ouvert aux demandes de contacts de ses homologues étrangers. Contrairement à ce qui est colporté dans les médias de grands chemins de l’Occident collectif dégénéré.

Pour terminer, Macron qui n’en manque jamais une, à la traîne de Scholz, a fait savoir qu’il appellerait lui aussi Vladimir. On ne peut que secouer la tête devant ce suivisme aux petits bras. On aimerait savoir ce qu’il veut dire à « son cher Vladimir ». S’il y a une certitude, c’est qu’en ce moment même, à Washington, on est en train d’évoquer le remplacement de Zelensky, l’escroc corrompu, en incitant l’Ukraine à procéder à des élections. En effet, aucune négociation sérieuse ne peut être envisagée avec la Russie, puisque le clown a fait voter une loi qui interdit toute négociation avec la Russie. Il s’est auto-piégé, tocard qu’il est. Ce sera une délivrance pour le monde, de le voir disparaître dans les limbes noirs d’une prochaine élection.

Il faudra ensuite parier sur l’échec du prochain chancelier Merz, afin de pouvoir enfin espérer pour le peuple allemand, l’arrivée de Alice Weidel au pouvoir. C’est ce que je fais depuis le début.

Sylvia Bourdon, 17 novembre 2024

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2 Comments

  1. J’adore l’Allemagne lorsqu’elle se met à ressembler à la France ! Willkommen im Schlamassel, deutsche Freunde ! « Bienvenue dans le merdier, amis allemands ! »