Mieux vaut en rire qu’en pleurer, non ?
Ils nous bassinent avec leurs énergies alternatives, leurs horribles éoliennes qui pollueront à leur destruction, qui détruisent oiseaux et poissons, qui empêchent les vaches d’avoir du lait… J’en passe et des meilleures et notamment le coût épouvantable pour la collectivité et le citoyen lambda à l’heure de l’énergie nucléaire quasiment gratuite…
Et voilà que, parce qu’il n’y a pas assez de vent (phénomène naturel et récurrent, si je ne m’abuse), l’Allemagne aux abois ne sait comment répondre à la demande électrique (qui est l’idiote qui a interdit les centrales nucléaires ? )…
et la France de rallumer sa dernière centrale à charbon, histoire de ne pas passer à côté d’un peu de sous à gagner après les 7 ans de malheur apportés par Macron.
Allez, on n’a pas si souvent l’occasion de rire. Profitons de l’occasion.
La centrale thermique Émile Huchet, de Saint-Avold en Moselle, dernière centrale à charbon de France, redémarre mardi 12 novembre 2024 à la demande du réseau de transport d’électricité. Ce redémarrage fait suite à la demande du réseau de transport d’électricité (RTE). Le prix actuel du mégawattheure sur le marché rend la centrale compétitive. Émile Huchet dispose encore des compétences indispensables avec 90 salariés. Elle a déjà fait, à l’issue d’une période de maintenance, l’objet d’un test de fonctionnement concluant en septembre. Le redémarrage complet de l’installation est tout de même une opération délicate. La centrale Émile Huchet possède encore sur son site un stock de charbon suffisant pour assurer la demande de RTE. Ce sera sans doute sa dernière campagne. Le site est actuellement dans une période d’incertitude. Alors ce mardi matin, le sentiment était partagé à Saint-Avold. « On est content parce qu’on arrive à démontrer qu’il y a besoin de notre centrale. On est content de pouvoir répondre présent à chaque fois. C’est quand même une centrale qui a plus de 40 ans d’âge mais qui répond présent à chaque fois. Il y a des difficultés techniques mais on y arrive et le personnel compétent est là pour assurer cette disponibilité », raconte Antonin Arnoux, directeur du site Emile Huchet. « Mais on est aussi inquiets parce qu’on n’a pas de visibilité », poursuit le directeur, « pourtant, on a démontré la robustesse de cette centrale. L’avenir avec la conversion, on a tout démontré. Donc, on est inquiets de ne pas avoir de retour ferme pour le moment de la part de notre haute administration et des ministères. Pour nous, c’est juste une évidence de convertir cette centrale, donc on est inquiets du temps qui s’écoule et de la nécessité de prendre une décision rapidement », indique Antonin Arnoux. Inquiet pour l’avenir de la centrale et pour celui du bassin houiller, de son côté, Thomas About, chef de quart à la centrale et délégué CFDT commence à se lasser de jouer la variable d’ajustement. « C’est la sensation qu’on a, mais néanmoins on a le service public cheville au corps. La centrale a besoin de produire parce que les Français ont besoin de se chauffer et de consommer de l’électricité. Donc, on répond à ce besoin, néanmoins d’être la variable d’ajustement depuis tant d’années, ça commence à suffire. On n’a aucune visibilité sur l’avenir du site. On sait qu’en 2027, on doit sortir du charbon pour la production d’électricité en France, c’est une parole du président de la République. Il faut décarboner. On a un projet pour décarboner cet outil, il faut à présent que les décideurs décident », Thomas About, chef de quart et délégué CFDT. GazelEnergie a besoin d’une réponse « d’ici la fin de l’année », afin de pouvoir enclencher la conversion, d’autant « les contrats de travail des collaborateurs courent jusqu’à avril 2025 », précise le groupe. « L’État est attaché à trouver une solution pérenne pour le site et les salariés », assure à franceinfo l’entourage de la ministre chargée de l’Energie Olga Givernet. « Nous attendons un projet viable pour les employer, pour donner des perspectives », a redit la ministre ce mardi sur BFM Business, confirmant une fermeture de la centrale de Saint-Avold en 2027. « En 2027, nous ne brûlerons plus de charbon, c’est sûr », a-t-elle assuré. Dans un communiqué, le groupe GazelEnergie confirme qu’un dossier de conversion de la centrale au biogaz a été déposé : « GazelEnergie a déposé un dossier industriel le 5 septembre 2024 visant la conversion de cette centrale au biogaz à travers un investissement de plus de 100 millions d’euros, ce qui permettrait de sécuriser le système électrique tout en respectant les objectifs climatiques de neutralité carbone. Plusieurs réunions avec les cabinets des ministres concernés et avec l’administration ont eu lieu pour rendre opérationnelle cette option ». |
Où l’argent prend le pas sur les délires écolos… Comme quoi, quand on veut on peut. Comme quoi ils nous étranglent, limitent nos libertés, nous interdisent voitures, avions, au nom d’une prétendue écologie, d’un prétendu réchauffement climatique uniquement quand ça les arrange. Et là j’avoue que je ne ris plus. J’ai de plus en plus envie de tout casser.
154 total views, 154 views today
vite mettre un terme à cette imposture éolienne au cout exorbitant, à l’imposture climatique et à ces crétins qui veulent plonger la france dans les temps préhistoriques – plus que jamais il faut établir une contre attaque à cette engeance avant notre ruine totale
Si la connerie était une source d’énergie, nos brillantes élites, écolos compris, fournirait de l’énergie pour tout l’hexagone et même au-delà. Malheureusement ces têtes d’ampoules nous plonge dans les ténèbres d’avant la révolution industrielle.
Et hop, tout très clair :
https://jancovici.com/transition-energetique/renouvelables/pourrait-on-alimenter-la-france-en-electricite-uniquement-avec-de-leolien/
Il faut garder cette centrale à charbon. Au charbon. Parce qu’on a fait trop d’éolien, qui ne peut plus être compensé par les seuls barrages. Tout éolien en plus impose désormais du gaz ou du charbon en plus.
C’est surtout que c’est beaucoup plus souple que le nucléaire.
Il faut rappeler sans cesse et avec obstination que le gaz carbonique est indispensable à la vie sur Terre et même qu’il n’y en a pas assez pour une croissance moins lente des plantes qui nourrissent tous les vertébrés (indirectement avec les carnivores). A la dose de seulement 0,41 litre de gaz carbonique dans mille litres d’air (un mètre cube), on a de la marge pour en produire autant qu’on le peut!
Et le réchauffement climatique de la planète Mars est-il dû lui aussi aux actions humaines sur Terre ?
Quant à l’effet de serre, il est dû en majeure partie à la vapeur d’eau et on n’y peut rien, d’autant plus qu’il n’y a pas urgence car je trouve que même dans le sud de la France, il n’y fait pas trop chaud.
On revit une sorte d’inquisition. Il suffit de voir l’aura médiatique de la Rousseau et de ses copains quand ils balancent leurs âneries. Sandrine Rousseau a des compétences pour parler du climat ? Jusque-là on en avait entendu parler vers 2015 quand elle avait été agressée par un de ses coéquipiers. Pourquoi sous Louis XIV la température était beaucoup plus basse ? Il y avait-il un problème de véhicule à pétrole ? Ou autre chose ? Rappelons que la position des planètes par rapport au soleil modifie les températures. Mais ça n’intéresse pas les Torquemadas. Pauvre de nous de devoir les subir.