Grosse épidémie d’atrophie des cerveaux parasitaires en Occident Collectif Dégénéré

Huit jours déjà que nous pouvons appeler le 47^ème POTUS, Président élu ! Mais Président élu de manière écrasante, en voix populaires et en grands électeurs, en pulvérisant ce que les Américains appellent les SWING STATES, les états essentiels. En rassemblant les plus importantes institutions que sont le pouvoir législatif, exécutif et judiciaire. Du jamais vu dans l’histoire des États Unis d’Amérique. Rien que pour cela, cette élection singulière marquera Donald J Trump, comme un héros américain unique, auquel le Prix Nobel de la Paix devrait être décerné, quand celui d’Obama devrait lui être retiré d’office.

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Après les Kennedy, l’on pourra désigner les Trump, comme une dynastie américaine. Les choses se passent en famille, ou chaque membre a sa place. Les Bush ne peuvent être désignés comme tels, même si père et fils furent POTUS. Des POTUS de la guerre.  Ni Obama, encore moins Clinton, comme j’ai pu l’entendre sur un podcast très regardé en France.
Une dynastie, est une famille entière qui s’implique en politique aux États Unis. Une famille nombreuse, dont la descendance participe activement. Seuls les Kennedy et les Trump correspondent à ce critère. Les deux noms viennent de se rejoindre pour cette nouvelle administration, qui a vu le retour du Donald à la Maison Blanche. Nous apprenons que le très discret cadet des Trump, fils du Donald et de Melania, Barron, a joué, du haut de ses 18 ans, (le plus grand de la famille), un rôle très essentiel dans l’élection de son père pour drainer la jeunesse. Une totale réussite de ce jeune homme considéré réservé, qui va intégrer l’université de New York.

Certaines pressetituées françaises titrent que le jeune homme serait une « énigme ». Pff. Ses deux frères, Don Jr et Eric, pourraient prendre la relève à la fin du mandat de leur père. C’est dans ce cadre que l’on peut désigner les Trump, comme la seconde dynastie politique des États Unis d’Amérique. Et enfin, si JDVance se montre à la hauteur, il pourrait, lui aussi prendre la relève du Donald après son mandat. Ils seront des jeunes, avec expérience, qui viendront continuer le « revival » d’une Amérique abimée depuis les Clinton jusqu’à Biden, en passant par le funeste Obama.

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Pour l’instant, aucune émeute de protestations contre l’élection de Trump, comme lors de sa première élection. L’on voit bouger, ci et là des « jeunes désespérés, éclatant en sanglots », qui appellent à l’insurrection.  
Les pressetituées de l’Occident Collectif Dégénéré, atteintes du virus de l’atrophie des cerveaux, majoritairement gauchardes, se confondent en lamentations d’avoir échoué à « influencer » cette « ordure » de peuple, selon l’oncle Joe, ces « déplorables, infâmes », selon Hillary. Nous pouvons nous vanter, ici, à RR, d’avoir été à contrecourant des tocards mainstream en annonçant la victoire du Donald. Seule erreur, lorsque j’annonçais des émeutes post-électorales et que la seule chose qui pouvait arrêter le Gargantua Américain, serait son assassinat. Pas d’émeutes, mais tentatives d’assassinats, heureusement ratées.

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L’investiture se passera le 20 janvier 2025. Dans précisément 73 jours.

Et, depuis l’annonce de son élection massive, le deep state se met en état de marche pour nuire et empêcher le Donald d’accéder à la Maison Blanche. Il a 73 jours.

La vieille crapule, « NeverTrumper » -ToutSaufTrump-, Mitch McConnell, Président des Républicains au Sénat, la haine du Donald chevillé au corps, qui doit bientôt quitter ses fonctions en raison de son âge, après avoir hypocritement félicité le héros du MAGA (MakeAmericaGreatAgain), lance l’offensive.

Indignation violente de Tucker, à la suite des magouilles annoncées.

Voici ce que met Tucker sur X le 9 novembre 2024 :
« Que se passe-t-il donc au Sénat américain ? Quelques heures après que Donald Trump a remporté le mandat le plus décisif depuis 40 ans, Mitch McConnell organise un coup d’État contre son programme en convoquant des élections anticipées pour la direction du Sénat. Deux des trois candidats détestent Trump et ses convictions. L’un d’eux, John Cornyn, est un libéral en colère dont les idées politiques sont indissociables de celles de Liz Cheney. L’élection aura lieu mercredi, elle se déroulera à bulletin secret et elle déterminera si la nouvelle administration réussira ou non. Rick Scott, de Floride, est le seul candidat qui soit d’accord avec Donald Trump. Appelez votre sénateur et exigez qu’il soutienne publiquement Rick Scott. Ne laissez pas McConnell s’en tirer à nouveau. »

Et Robert F. Kennedy Jr d’ajouter :

« Sans Rick Scott, l’ensemble du programme de réformes de Trump sera instable. »

Un énorme danger pour Bigpharma et Bigfood, c’est bien Robert F Kennedy Junior, qui veut rendre sa santé à une population obèse par la malbouffe et le manque d’exercice. De sorte que l’armée ne peut même plus recruter, tant les jeunes sont gros et qu’il faut d’abord les faire maigrir ! Bobby, auquel le Donald lançait, « Tu peux faire ce que tu veux, mais ne touche pas au pétrole, c’est mon affaire, pour le reste, fais-toi plaisir » est dans le collimateur de ces puissances sans mesures, de ces industries, qui ne s’en laisseront pas conter.

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Elon aussi est une cible de choix, à promouvoir avec force la liberté d’expression et qui est désormais destiné à assainir les comptes d’un état obèse, déficitaire et encore hégémonique, grâce à la dollarisation du monde. Une situation qui devrait lentement disparaître avec l’avènement des BRICS qui souhaitent s’affranchir du Dollar. En attendant, assainir les comptes, signifie mettre le doigt sur toutes sortes de vols, de corruptions, domestiques et internationales. Les prochains jours, jusqu’à l’investiture, ne cesseront pas d’inquiéter.

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Entre temps, l’UERSS est  sous la dictature de la « Kaiserin », qui ne défend que les intérêts de son pays, l’Allemagne, contraire à l’éthique de l’UE, où les États Membres sont obligés de défendre les intérêts de l’Union, non de leurs pays, ne savent plus comment ils s’appellent, dans le désarroi et la crainte d’être laissés pour compte par Donald Trump, ils se livrent à des déclarations sans queue ni tête. L’Allemagne et ses parasites de la coalition pastèque, ont finalement réussi hier à repousser les élections à la fin février. Merz sera élu, ne changera rien à la situation catastrophique du pays. Il ne fera pas long feu.
Le temps de l’AfD sera alors venu et de sa patronne Alice Weidel en particulier. Mais pour vous montrer à quel point l’Allemagne est défaite, c’est que tous les perdants se présentent à l’élection pour le poste de chancelier. Hors sol, atteints du virus de l’atrophie des cerveaux, ils s’imaginent que les problèmes seront résolus avec eux, qui prétendent sans rire, « avoir l’expérience », mais qui ont plongée l’Allemagne dans ce chaos. On marche sur la tête.

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En conclusion, en France, nous devons prendre notre destin en main, sans regarder nos voisins d’Outre-Rhin. C’est à nous de mettre fin à cette épidémie d’atrophie des cerveaux, en virant ces parasites du pouvoir, pour les remplacer par des figures de convictions et de savoir.
Ce ne sera ni MLP et son Bardella, dont le seul souci est la dédiabolisation pour plaire aux prostituées et préserver la boutique, sans tenir compte de leurs électeurs. Leurs convictions sont à géométrie variable.
Malgré les positions des Asselineau et Philippot que j’approuve, proche de celles de Zemmour et Knafo, ils n’ont pas les épaules d’hommes d’Etat., outre la complaisance envers l’islam d’Asselineau.
Ne reste que Zemmour et Knafo, à condition qu’ils déclarent enfin sortir de l’OTAN de l’UE et de se rapprocher de la Russie, comme le fera d’ailleurs Donald Trump. Leur cinéma de « vouloir changer l’UE de l’intérieur » est nul et non avenu. Cela ne se passera pas. Pour l’instant, la France n’est plus la France et rester butés sur le FREXIT frise l’erreur politique grave.

Sylvia Bourdon, 13 novembre 2024

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