En fait, ce ne sont pas des indiscrétions. La carrière et la vie intime de la Kamala semblent aller de pair. Elle a à peine changé son slogan de la campagne actuelle : « When we fight, we wiiin ». Avant, c’était « When we f..k, we succeed ». C’était donnant, donnant.
Ce qui est narré ci-après est de notoriété publique, du moins aux USA et au Royaume-Uni. Toute la presse anglo-américaine en parle.
Bizarrement, les médias français évitent le sujet.
Le site « Linternaute.com » vient cependant de publier un dossier sur la Kamala, avec des informations croustillantes sur la candidate à la présidence américaine.
On se contentera ici de reproduire des extraits de « linternaute » avec quelques annotations en italique quand c’est nécessaire.
Il s’agit surtout de la liaison que la Kamala a eue avec le puissant homme politique américain, Willie Brown, qui paraît être à l’origine de son ascension politique.
« En 1994, rapporte le site « Linternaute.com », Kamala Harris a eu une liaison avec un homme de trente ans son aîné : Willie Brown, alors speaker de l’assemblée de l’État de Californie. L’élu l’a nommée à deux commissions rémunérées. Il est décrit par Corine Lesnes, correspondante aux États-Unis pour « Le Monde », comme un « faiseur de rois de la politique locale ». Il n’a d’ailleurs pas hésité à confirmer leur relation, le 26 janvier 2019, dans le « San Francisco Chronicle » : « Oui, nous avons eu une liaison. [Oui], j’ai aidé sa carrière », tout comme celles de Nancy Pelosi et Gavin Newsom, l’actuel gouverneur de Californie, a-t-il ajouté. « Mais elle fut la seule à menacer de m’inculper au moindre écart. Elle privilégiera toujours son statut de procureur de San Francisco« .
(Nancy Pelosi, membre du Parti démocrate, a été présidente de la Chambre des représentants des États-Unis de 2007 à 2011 et de 2019 à 2023.
Willie Brown, 90 ans depuis le 20 mars dernier, est toujours vivant, bon oeil, bonne oreille et bonne langue.
Il n’y a pas longtemps, le 24 juillet dernier, dans un entretien avec « The Times », le Brown disait qu’il s’attribuerait le mérite de la victoire de la Kamala si elle bat Donald Trump.
On entendra sûrement parler du Brown si jamais la Kamala gagne l’élection. A moins que le Brown ne soit réduit au silence par des forces occultes. Pas de soucis. On dira toujours que c’est Trump).
On ne sait pas combien de temps a duré la romance Brown-Kamala, mais la Kamala a cherché plus de plaisir auprès de jeunes hommes bien installés.
« Lorsqu’elle était procureur général de Californie, entre 2011 et 2017, relate « l’internaute », Kamala Harris a noué une relation d’amitié avec le procureur du Delaware de l’époque, Beau Biden, le fils aîné de Joe Biden. Le nouveau président des États-Unis fondait sur lui ses espoirs de lignée politique, avant qu’il ne soit emporté par une tumeur au cerveau en 2015, à l’âge de 46 ans. Un décès compliqué pour Kamala Harris en raison des rapports entretenus avec Beau Biden, confirme la correspondante du journal « Le Temps » aux États-Unis, Valérie de Graffenried : « Kamala Harris connaissait très bien Beau Biden (…). C’est lui qui l’a présentée à son père. »
Qu’à cela ne tienne, la Kamala se consolait déjà dans les bras de son actuel époux, un avocat californien de 60 ans qu’elle avait rencontré en 2013, au cours d’un « blind date » (rendez-vous surprise) organisé par une amie et qu’elle avait épousé en 2014, pendant que le Beau Biden agonisait.
Demain, si la Kamala obtient les clés de la Maison-Blanche, tous les employés de la maison devront passer à la casserole.
Elle sera la Catherine II du 21e siècle à la Maison-Blanche.
Comme la célèbre tsarine russe, elle n’hésitera pas à ériger une « Chambre des plaisirs » juste à côté du Bureau ovale.
Pour des plaisirs dont elle semble être accro pour quatre ans au moins.
Un mandat érotique.
Son mari sera, évidemment, « fired », comme le dit le Trump.
Messin’Issa
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