Cette mosquée n’était pas un lieu de culte mais, comme nombre d’endroits de Gaza ou du Liban, un endroit où se cachaient des terroristes. On sait que, à Gaza, les islamistes se cachaient même dans des hôpitaux ou des écoles pour tromper Tsahal… Alors pourquoi pas une mosquée.
Qui a dit « les mosquées sont nos casernes ? »
Samim Akgönül – Université de Strasbourg Date de publication: Novembre 2021 « Les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées seront nos casernes et les croyants nos soldats ». C’est à cause de ces vers, en même temps belliqueux et religieux de Ziya Gökalp, l’un des pères du nationalisme turc, que Recep Tayyip Erdoğan avait été condamné pour incitation à la haine en 1998 et avait purgé 4 mois de prison ferme, forgeant ainsi la légende de victime du régime kémaliste laïciste. Étonnamment, cette métaphore militaire de la religion islamique est devenue réalité 20 ans plus tard, non pas parce que l’armée s’est confessionnalisée (un peu) ou la religion s’est militarisée (un peu aussi), mais parce que ces deux corps bien séparés sont devenus des outils principaux d’une politique interne et externe, chacun dans son rôle de force répressive et idéologique, avec, il est vrai, une interpénétration légère selon le contexte d’intervention. Tout au long des années 1990, nous avons été témoins d’un débat sur le possible remplacement de la puissance militaire coercitive comme outil de domination par un pouvoir plus souple1, un pouvoir basé plutôt sur la force culturelle, non coercitive mais plus puissante car plus infuse. Le « soft power » a montré ses limites dans la mesure où à partir des années 2010, partout dans le monde mais plus particulièrement au Proche Orient, nous constatons un retour aux armes, à la manière forte et violente. Suite ici |
Le fusil et le croissant – L’armée et la religion comme outils de politique étrangère turque dans sa périphérie immédiate (et au-delà)
Tsahal opère ces jours-ci contre le Hezbollah, l’organisation terroriste financée par l’Iran qui a pris le Liban en otage.
Le 8 octobre 2023, le Hezbollah a attaqué Israël, qui est donc en position défensive. Des dizaines de milliers de citoyens israéliens ont été contraints de devenir des réfugiés dans leur propre pays en raison des bombes, des roquettes et des missiles qui tombent chaque jour sur eux.
Evidemment, rien n’arrête les terroristes, y compris profaner leurs propres lieux de culte pour préparer et lancer des attaques sur les juifs dans l’espoir qu’Israël n’osera pas les bombarder.
Et bien Israël ose :
Les mosquées sont, nous le savons, des lieux d’appel au jihad et aussi
des arsenaux, de vraies bases militaires. Il est donc naturel qu’Israel
élimine ces repaires de jihadistes, tout comme les écoles ou les
hôpitaux aménagés dans le même but.
S’ensuivront d’hypocrites protestations de l’ONU , de Macron et
autres personnages insignifiants dont Israel se moque éperdument.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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Puisqu’on parle de mosquée, une blagounette:
2 touristes Français, Claude et Nicolas, visitent le Sahara et se perdent. Ils crèvent de faim et de soif. Tout à coup ils aperçoivent une mosquée et décident d’aller y demander de l’aide. Claude décide de prendre le prénom de Karim pour être accepté, Nicolas veut garder le sien.
Ils frappent à la porte, et expliquent à l’imam leurs faim et soif.
Celui-ci demande leurs prénoms. Il dit alors à Nicolas « va te servir, mange et bois ce que tu veux. Pour toi Karim, c’est Ramadan en ce moment « …
Les partis de gauche et Macron ne cesse de vitupérer en réclamant l’arrêt des combats de la part d’Israël. Par contre, les tirs continuels de rockettes depuis le Liban ou l’Iran n’ont pas l’air de les gêner.
Parfaitement clair, Argo.