La liberté d’expression est l’ennemi numéro 1 des européistes et des mondialistes

La liberté d’expression est l’ennemi numéro 1 des mondialistes. Ils ont besoin que les populations se “conforment” pour que leur projet fonctionne. Dites à ces populations qu’elles vont mourir si on ne ruine pas nos économies pour sauver la planète. Dites à ces populations qu’elles vont mourir si elles ne courent pas se faire injecter une substance totalement inconnue. Dites à ces populations qu’elles vont toutes mourir, si on n’abat pas l’ours russe.

Il faut que ces bobards soient gobés par la population, nécessairement et le seul obstacle à cette entreprise est la liberté d’expression. Il faut donc absolument supprimer la liberté d’expression.

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Ci-dessous une analyse de Vladimir Boukovski que nous relayons régulièrement car elle devrait ouvrir les yeux de ceux qui croient encore que l’UE ne devient pas la nouvelle URSS.

Le Russe Vladimir Boukovski (décédé en ) était un dissident russe qui a passé 12 ans en prison ou en hôpital psychiatrique pour avoir critiqué le régime et défendu d’autres dissidents entre 1960 et 1976. Il finit par être échangé contre un prisonnier  chilien et il vit à Cambridge.

Il retourne à Moscou à partir de 1991, Eltsine lui propose même la vice-Présidence qu’il refuse. En 2008, d’aucuns lui proposent de se porter candidat à la présidentielle en Russie mais comme il n’a pas résidé les 10 années précédentes en Russie, sa candidature est invalidée. (Fort heureusement, il n’arrive pas à la cheville de Poutine ! Et Poutine, lui, n’a pas été poursuivi pour pédophilie, mais c’est une autre histoire…) . Il meurt en 2015

En 2005, il évoque un point commun entre l’Union européenne et l’URSS : le totalitarisme3. Il développe sa thèse dans un essai au titre évocateur4: L’Union européenne, une nouvelle URSS ? L’ouvrage a été écrit en collaboration avec Pavel Stroïlov et traduit de l’anglais et du russe par Pierre LorrainWikipedia

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1 Commentaire

  1. La dictature, c’est ferme ta gueule; la démocratie, c’est cause toujours. Jean-Louis Barrault. Je vous laisse deviner dans quel système nous vivons.