L’éditeur de Bardella devrait mettre sur la couverture un bandeau : livre interdit par la CGT

Et il doublerait d’office le tirage. Sûr que cette cenSSure ferait monter les ventes en flèche. Tant une majorité de Français déteste ce pseudo-syndicat qui leur pourrit la vie par des grèves-chantages dans les services publics. Et engraisse des cossards privilégiés bénéficiant de l’emploi à vie, qui se prennent pour les damnés de la terre.

Pseudo-syndicat qui représente 7 à 8 % des salariés mais prétend parler au nom de tous. Pseudo-syndicat géré par une bande de planqués tire-au-flanc qui se soucie moins des intérêts des « travailleurs » que de l’avancement et des passe-droits octroyés à ses cadres. Et dont l’action déborde du secteur syndical pour faire pression dans des domaines relevant de la politique générale. Comme les élections. Et maintenant la publicité du bouquin d’un ennemi politique.

La lâche direction de la SNCF se retranche derrière un sous-traitant qui, selon elle, déciderait à sa place

On aurait pu comprendre, sans approuver, que les caciques de l’entreprise de transports interdisent l’affichage d’un livre susceptible d’être condamné par des juges rouges pour délits d’opinion.

Mais le bouquin, ils ne l’ont pas lu ! Ils ignorent tout de son contenu et peut-être se doutent-ils que Jordan à dû le faire relire par des juristes spécialisés en droit de l’édition pour éviter la moindre virgule de travers. Mais avant de savoir de quoi il retourne, ces pleutres se plient à la dictature des derniers rescapés du stalinisme. Avant d’avoir le moindre grief contre Jordan, ces écouillés s’allongent et se laissent marcher sur la gueule. Pas grave. Ils ont l’habitude. Peut-être même qu’ils aiment ça ?

Les arguments évoqués par la direction qui ne dirige plus rien dans son entreprise sont des plus spécieux. Mais ces couards, craignant un retour de bâton si demain le RN arrivait au pouvoir, se retranchent derrière Mediatransports, une société écran qui gère les panneaux publicitaires dans les gares SNCF et le métro parisien.

Médiatransports l’alibi idéal pour les CenSSeurs

Médiatransports, qui se présente comme un leader dans le monde de la communication, bénéficie d’une rente de quasi-monopole à la SNCF. Cette boîte qui déploie beaucoup d’énergie à faire sa propre publicité a remporté en novembre 2021 les deux appels d’offres lancés par la RATP et SNCF Gares & Connexions afin de poursuivre l’exploitation publicitaire sur l’ensemble du réseau RATP et des gares SNCF. Ils étaient déjà dans la place et avaient tout verrouillé. Et mangeaient dans la main de la CGT. On ne change pas une équipe de bras cassés.

La boîte a des atouts incontournables par les temps qui courent. D’abord elle plaît à Fripounette et à Brichelle. Ensuite, elle se veut écolo responsable ce qui signifie pour les initiés, réchauffiste fanatique. Mais quand elle prétend que ses affichages vont dans le sens d’une diminution de l’empreinte carbone de l’activité publicitaire, elle récite son mantra en prenant vraiment les gens pour des cons. Mais ça fait bien sur les brochure quadrichromie sur papier glacé.

Enfin, sa patronne Valérie Decamp, 57 ans, est une exception dans l’univers glauque des PDG des grandes entreprises. Elle n’est pas énarque. Et pour tout dire, son cursus universitaire est des plus succincts. Mais elle possède une grande qualité. Elle sait se faire des alliés, là où il faut, quand il faut. Ainsi elle est une des rares femmes membre des structures mondialistes (voir mon précédent article) où elle a tissé un réseau d’alliés puissants.

Elle est par ailleurs administratrice de l’ONG Europanova, une courroie de transmission des européo-mondialistes, qui déclare sans vergogne sur son site qu’on n’a pas besoin de référendum pour modifier les structures de l’Eurocrature.

En outre, elle est cofondatrice du réseau Young European Leaders. Une filiale des gangs de Soros et Schwab qui a le culot de se présenter comme « impartiale » alors qu’elle dispose d’un bureau de lobbying à Bruxelles et participe aux COP du GIEC. Sans que son expertise scientifique soit évidente.

Valérie Decamp est également membre du « Siècle » cette franc-maçonnerie ploutocrate qui prétend orienter sinon dicter leurs décisions aux élus du peuple.

C’est qui, c’est quoi ce fameux « Siècle » ?

C’est une organisation occulte dont les membres comme les dirigeants sont choisis par cooptation. Les femmes y furent interdites jusqu’en 1983. Après, à regret, il leur fallut respecter la loi.

La moitié au moins sont diplômés de Sciences Peaux de Zob, 40 % sont énarques. Bien qu’ils se prétendent neutres, une étude du regretté Emmanuel Ratier, l’homme qui le premier a démasqué le zizi de Brichelle, faisait état d’au moins 30 % de franc-maçons.

Des études « honnêtes » de journalistes de « la caste » affirment que, malgré le halo de mystère qui entoure ses rencontres, le « Siècle » ne serait pas un nid de comploteurs. En effet, ils ne préparent pas leurs mauvais coups entre deux coups de fourchette lors de leurs fameux dîners où l’on parle de tout et de rien. Avec trop d’oreilles à l’écoute.

Mais on y noue des relations utiles, on échange des adresses, on se prévaut de relations communes, et on se revoit après en duos ou en petits comités pour mettre au point des arrangements qui doivent, si possible, avoir l’air juridiquement corrects. Enfin, pas toujours…

Question de moralité, le président de cet aréopage de bien-pensants n’était autre que le grand intellectuel Olivier Duhamel, dénoncé pour des faits d’inceste, agressions sexuelles et viols sur mineur. Des crimes qu’il a reconnus mais qui étaient prescrits. Ah la prescription ! La sauvegarde des crapules de « la haute » avec la bénédiction de juges pas très curieux.

Les arguments spécieux avancés par la direction pusillanime de la SNCF

Pour enrober leur soumission aux derniers bolcheviks qui font encore la loi dans les services publics, les maîtres cenSSeurs prétendent qu’afficher une publicité dans les gares pour « Ce que je cherche » ouvrage à paraître le 9 novembre, serait un manquement aux règles de neutralité du service public.

Mais qu’en savent-ils puisqu’ils n’ont pas lu le bouquin ? Condamner quelqu’un a priori, sans rien de précis à lui reprocher, uniquement à cause de son entourage et de préjugés de classe, fut un grand classique des procès staliniens de Moscou.

Mediatransports, dont on peut douter de l’objectivité au vu des engagements politiques européo-mondialistes de sa patronne, se retranche derrière le fait que Jordan Bardella serait une personnalité publique et que le titre du livre suggère qu’il ne s’agit pas seulement d’un récit autobiographique. Mais qu’en savent-ils ?

Ils sont moins regardants lorsqu’un sportif exotique vigoureusement anti-France fait écrire ses mémoires par un « nègre littéraire » et ensuite expectore ses vomissures sur tous les murs de la capitale, y compris dans les transports en commun.

La direction de la CGT ne cache pas sa satisfaction d’avoir imposé une cenSSure de plus, avec cet aveu public de son ingérence dans le débat politique : « Grâce à cette décision, on peut toujours affirmer que le RN n’est pas un parti comme les autres ». Marine réveille-toi ! La dédiabolisation n’a servi à rien. Ces saligauds, il faut leur rentrer dans le lard. Si tu n’en as pas la force, retourne préparer la pâtée pour tes chats !

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/

 303 total views,  303 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


4 Commentaires

  1. Ils n’en sont pas à leur coup d’essai.
    Ils avaient interdit une affiche en faveur des Chrétiens d’Orient.
    La CGT tient la SNCF et la RATP depuis un moment.
    Ce serait le moment justement, de déposer une plainte.
    Ces cocos qui prennent les voyageurs en otage , chaque fois que ça leur chante, pour obtenir plus de fric et plus d’avantages.

  2. La CGT est responsable de la faillite française. Elle a foutu le bordel dans toutes les entreprises. Elle noyaute tout, même la fonction publique. Son mot d’ordre : être contre ce qui est pour et pour ce qui est contre.