Le « vivre ensemble » heureux vu par la gauche…

Les positions de pas mal de pays européens sont en train de se raidir face à une immigration essentiellement arabo-afro-musulmane, à base de migrants illégaux, majoritairement jeunes et masculins.

Et l’effet produit est partout le même dans les pays européens, une incapacité de fait à intégrer suffisamment rapidement des codes de comportement et de communication compatibles avec ceux des sociétés européennes, pour dire les choses de manière châtiée. En réalité, les femmes européennes payent un lourds tribut en termes d’agressions, de viols et même de meurtres, qui commence à faire réagir de nombreux pays. Mais pas seulement les faits de délinquance. Cette main d’œuvre que les gens de gauche estiment « bon marché » et servant de chair à canon à des patrons peu scrupuleux est un mythe. Elle n’intéresse personne, sinon les entrepreneurs les attendraient sur la plage, comme cela s’est vu, à d’autres époques, où une immigration de travail signait son contrat sur le quai des ports, à la descente des bateaux. Ces pays européens, à très faible croissance, en nécessité de personnel fiable et qualifié, n’ont que faire de ces migrants qui pour moitié ne trouvent pas de travail et pour l’autre moitié, des emplois sous-qualifiés.

Et donc, l’Allemagne, l’Italie, commencent à fermer leurs frontières, à songer à renvoyer chez eux les illégaux et en France, Barnier a également des phrases sibyllines allant dans ce sens. Le principe d’un renvoi n’est plus tabou et très majoritairement, les peuples ne veulent plus que leurs pays accueillent des gens qui ne fuient pas de guerre, juste à la recherche d’un Eldorado de prestations sociales dont plus personne n’a les moyens, avec les effondrements récents de nos économies, qui reposaient en partie sur un gaz russe bon marché et des normes écologiques encore à peu près tenables. La conjugaison de la guerre en Ukraine et du durcissement des normes, décidé pour finir de couler ce qui reste de l’économie européenne, par des dirigeants passés dans la traîtrise, achève de couper toute forme de perspective d’embauche pour ces illégaux qui n’ont en plus, pas forcément l’intention de travailler.

Et donc l’Italie expérimente un rejet de ces illégaux passant par un pays tiers, où les candidats à l’accueil doivent attendre dans des centres dédiés, l’examen de leurs dossiers. Bien entendu, cette nouvelle tendance a le don d’insupporter l’extrême gauche, qui soutient l’accueil débridé de ces illégaux, même des pires délinquants. Et Carlos Martens Bilongo, député LFI-NFP, commentant l’expulsion de migrants d’Italie vers l’Albanie à la télévision, a eu cette tirade extraordinaire : « Mélanger des personnes de différentes nationalités dans un même centre… la disposition est inhumaine « . Ainsi donc, il ne faudrait pas mélanger les migrants qui seront mélangés dans nos sociétés. Ainsi donc les Français et les Européens peuvent être mélangés, mais pas les illégaux qui doivent eux, être strictement séparés. Ainsi donc, le vivre ensemble serait une richesse, uniquement quand ils vivent avec nous, mais pas entre eux…

On en reste sans voix. Non seulement, le mythe du « vivre ensemble » heureux et enrichissant n’est alors qu’une construction idéologique, mais en plus, il ne s’applique qu’aux Européens, aux Blancs donc, sommés de devoir voisiner avec toutes les nationalités qui ne pourraient voisiner entre elles. Bilongo, dont la lumière a déjà resplendi maintes fois en interview, se rend-il compte de la portée de ses paroles ? Voilà donc la gauche la plus radicale, la plus obscure, la plus archaïque, qui lâche le morceau, se contredit, se coupe l’herbe sous le pied, se suicide… quand un type, élu de la République, se fend d’une petite phrase qui en dit long sur la misère qui doit être faite aux peuples européens, par dogme, par principe, par obligation, alors même que les dégâts sont évident et que l’incompatibilité de ces gens avec un Occident inventif et rayonnant est patent. On ne peut que se féliciter d’une prise de conscience des nouveaux élus européens, qui commencent à mesurer l’ampleur des dégâts et à demander des comptes. En face, tout le monde le sait, il y a des ONG téléguidées par des forces obscures et des capitaux transnationaux et sans doute obscurs eux aussi, qui exigent cette mixité ethnique et culturelle, mais uniquement pour les peuples européens. Bilongo, avec la lumière qu’on lui connaît, vient de nous en faire la démonstration…

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Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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