Owen était apprenti maçon aux Compagnons du devoir et pratiquait le football à Saint-Jacques-sur-Darnétal.
Le 16 octobre les policiers de Rouen ont fait une découverte significative dans l’enquête concernant la disparition d’Owen disparu depuis le 5 octobre.
Après 10 jours sans nouvelles, un corps a été repêché dans la Seine et des analyses sont en cours. Il pourrait s’agir d’Owen Cerf selon plusieurs éléments.
Owen avait été vu pour la dernière fois dans la nuit du 5 au 6 octobre après avoir passé la soirée au So, une discothèque située sur les quais rive droite à Rouen. Censé rentrer chez lui au Petit-Quevilly, il n’a plus donné signe de vie depuis cette nuit-là.
Ses proches ont inondé les réseaux sociaux d’avis de recherche et placardé des photos avec son visage partout en ville pour avoir des réponses. Ils ont aussi pu compter sur la solidarité des habitants et des commerçants, touchés par cette disparition.
Une caméra de vidéosurveillance l’avait filmé marchant le long de la berge. Par ailleurs des amis d’Owen avaient signalé avoir aperçu une chaussure flottant dans la Seine une semaine après.
Un corps a été retrouvé dans la Seine, à Canteleu, près de Rouen, mardi 15 octobre 2024. il pourrait s’agir d’Owen Cerf, disparu depuis dix jours.
Les enquêteurs n’écartent désormais pas la possibilité d’une piste criminelle dans cette affaire.
Aucune information supplémentaire ne sera communiquée avant l’obtention des résultats des expertises.
Selon le communiqué, Owen portait, au moment de sa disparition, une chemise en lin blanche, un pantalon blanc et des baskets blanches et noires. Le jeune homme, habitant du Petit-Quevilly, mesure environ 1m80.
En attendant les résultats des analyses sur la victime retrouvée ce mardi, l’enquête ouverte par le parquet se poursuit pour déterminer ce qui est arrivé au jeune garçon.
Quand on pouvait rentrer seul à la maison sans avoir peur.
Ça, c’était avant :
Ça, c’est la France de Macron :
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plus de discothèque, plus de bal, de fête, plus de promenade tranquille pour nos enfants : la france d’aujourd’hui massacre nos jeunes déjà si peu nombreux, notre futur
Dans les années 70, j’allais en toutes saisons, sauf l’été, à mon collège, à travers champs le long d’une petite voie de chemin de fer désaffectée, situé à une demi-heure de marche de mon lieu de résidence en banlieue parisienne, sans être harcelée ou accostée, qu’il fasse jour ou nuit en pleine saison ou demi-saison, sauf en plein hiver où il faisait nuit quand je partais et revenais du collège. J’étais confiante et heureuse dans ma banlieue tranquille que j’ai quittée avec regret pour des raisons familiales, et que je n’ai jamais revue. J’espère que, si elle a évolué. elle a échappé à la racaille et à la chienlit que l’on constate partout.
Un fait indéniable : depuis l’immigration incontrôlée et incontrôlable, notre société est devenue un coupe-gorge.
Il serait peut être sage d’attendre les résultats de l’enquête avant de parler de « Francocide », il se peut que ce soit même un accident.
La sécurité et l’insouciance, qu’on a connus il y a encore quelques décennies, c’est vraiment du passé.