Article datant du 25 novembre 2018
On ne saura, bien sûr, pas tout, mais l’on comprend mieux à quel point des affaires comme l »‘Affaire Al Dura », loin de n’être que le coup d’émotion abusif d’un unique journaliste juif de gauche décalé, soudain dégoulinant de compassion pour le pauvre peuple palestinien, s’inscrit bien plus dans une tentative programmée et orchestrée de déstabilisation idéologique de la France contre Israël et les Juifs, dans la pure tradition des autres trahisons historiques, remontant à l’époque de Vichy, à celle de la Rue des Rosiers et des compromis avec le groupe terroriste Abou Nidal, et, maintenant des aveux tardifs sur la participation militaire et des renseignements français à l’orchestration de l’Intifada antijuive.
Après enquête d’Inbar et de son équipe, il est clairement question, dans ces valises « diplomatiques » françaises, d’argent et « d’explosifs ». L’hypothèse d’une main sanglante de la France dans l’un ou l’autre ou plusieurs attentats, menés par le Hamas ou les Brigades d’Al Aqsa, contre des bus israéliens ou la Pizzeria Sbarro, n’a plus, en soi, rien de farfelu. Chirac et ses comparses ont permis, voire facilité l’assassinat de Juifs en Israël et en France, au nom de leur « raison d’Etat ». Il ne leur restait ensuite, qu’à rendre un ultime hommage à leur vaillant « petit soldat » Yasser Arafat, en l’hospitalisant à l’Hôpital du Petit-Clamart pour qu’il y meure, vraisemblablement du SIDA contracté lors des parties fines avec les Ephèbes du « Roi » Nicolas Ceaucescu (selon le compte-rendu de l’ancien espion roumain Mihaïl Pacepa, membre de la Securitate et relais du KGB).
A ne pas manquer, donc, retour sur les coups de poignards dans le dos du pays « ami », alias Quai d’Orsay, qui aura tout fait pour approcher de l’anéantissement de l’intérieur ou de l’extérieur (Grand Mufti de Jérusalem accueilli à St Maur et à la villa « Roseraie » de Bougival, Ayatollah Khomeiny à Neauphle-le-Château) du petit Etat Juif.
Ces aveux tardifs ont -ils valeur « d’excuses », ou ne sont-elles que l’annonce d’une suite (dans les au moins 12 meurtres collatéraux) qui ne saurait tarder? S’agit-il d’un demi-aveu, quelque peu forcé par des coups de main du Mossad, ces derniers années, dans l’élimination ciblée, avec le concours des Etats-Unis, des djihadistes français participant aux attentats de Paris depuis la Syrie, ou, dernièrement, dans le fait de déjouer des attentats iraniens en Europe, à Villepinte et jusqu’en Amérique du Sud?
Pierre Martinet, un ancien cadre de la DGSE, le service extérieur français, affirme que dans les années 2000, la France a formé les services palestiniens et leur a livré du matériel sensible via des valises diplomatiques. On en parle avec Matthias Inbar, journaliste i24news.
Le 19 novembre 2015, moins d’une semaine après les attentats du 13 novembre 2015, Pierre Martinet déclarait :
https://www.jforum.fr/la-france-a-forme-et-livre-du-materiel-aux-services-terroristes-darafat.html
Complément du centre Thucydide
Résumé En septembre 2000, lorsque débute la seconde Intifada, les discours médiatiques présentent le conflit israélo-palestinien comme opposant essentiellement les civils palestiniens, qui sont victimes de la répression armée ou collectivement responsables d’actes de violence, aux soldats israéliens qui mettent en oeuvre une politique de répression disproportionnée. Même si les violences, des deux côtés, sont décrites comme illégitimes, le terrorisme n’est que peu évoqué, sauf pour mettre en doute la capacité politique de l’Autorité palestinienne à investir réellement dans une dynamique de paix. Les discours médiatiques changent assez nettement au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, lesquels définissent une coalition mondiale contre le terrorisme, dans laquelle les Palestiniens vont être sommés de se situer. A partir de cette date, tandis que le cycle attentats-ripostes durcit la répression israélienne, toujours représentée comme disproportionnée et empêchant l’Autorité palestinienne de réduire le terrorisme, la majorité des médias décrit les violences palestiniennes comme susceptibles d’appartenir à un terrorisme mondialisé et disqualifie la résistance palestinienne qui ruine les efforts diplomatiques. Au-delà des discours, qui tentent de rendre compte de l’extraordinaire complexité du conflit, demeurent des représentations brouillées, qui font émerger le manque de légitimité politique dont souffre le pouvoir palestinien.
https://www.afri-ct.org/article/seconde-intifada-et-terrorisme/
600 total views, 2 views today
Pourquoi cela ne m’étonne pas de la part de Chichi, le roublard, le palpeur de culs de vaches, celui qui était adoré du monde rural , car il venait chaque année à la foire de Paris se goinfrer de produits du terroir.
On aura remarqué que ces abrutis de xxx sont toujours utilisés comme outil(s) tellement ils sont cons comme des valises sans anse !! et même sans roulettes …
Seulement, maintenant, la « créature » semble bien avoir échappé à ses différents commanditaires …
La lèche baboucherie envers l’égyptien Arafat existait déjà dans les années 70, il était l’enfant chéri des services secrets français aussi bien à l’étranger qu’en France. Monsieur Arafat comme ils l’appelait, la France a tellement réchauffé de serpents dans son sein qu’elle est devenue la putain de l’islam.
Bravo pour votre article !
Et que dire du rôle des médias qui ont servi de relais aux mensonges de cette cause meurtrière.
Je me souviens de ces reportages au long voyage en boucle cette scène qui enflamma tous les esprits naïfs.
On n’y voyait déjà les prémices ce qui se passe aujourd’hui dans toutes les presses.
Tous ces acteurs de l’antisémitisme et de l’antisionisme, en continuer sans être inquiété leur propagande à tous les échelon de la société.
N’imaginez pas que tout ceci n’est que français, ici à Genève en Suisse, nous vivons exactement la même chose.
Merci Sophie pour vos encouragements et vos compléments d’information
Israel a formé et équipé le Hamas pour détruire le Fatah. Sacré Israël !!
Khomeny, Arafat…on les a tous tant aimé…déjà dhimmis a l’époque.
Sans oublier Ho Chi Minh !
J’ai l’impression d’un retour au régime de Vichy sans le Maréchal. Les morts et les coups fourrés ont jalonné l’histoire de la cinquième République. Ça continue aujourd’hui.’