Gare à l’électrocution du Premier Ministre
 s’il crame le coût de l’électricité !

 

Jeudi, nous saurons, par la bouche du Premier Ministre Michel Barnier, si, une majorité d’entre nous devra se résoudre à devoir réduire sa consommation d’électricité… Cela alors qu’avant l’arrivée du « président-ado…ré », nous étions un peuple heureux puisque, après avoir permis, grâce à nos impôts, la conception et la construction de centrales nucléaires, celles-ci nous fournissaient une énergie moins couteuse ! Mais voilà, l’idéologie écologique est passée par là mais surtout par la tête présidentielle parfois démentielle et cette électricité -« offerte » généreusement aux autres Européens- s’est mise à être plus coûteuse pour les Français ! Une opération par un « grand » banquier à savoir le squatteur de l’Élysée !

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Oui, jeudi, nous saurons à combien se montera la promesse… Pardon la menace que le gouvernement Barnier fera peser sur des millions de familles avant la possible augmentation du coût de l’électricité
Que voulez-vous ? Il est plus facile de trouver de nouvelles recettes auprès des plus démunis et moins dangereux d’entre nous  après la scandaleuse tentative de retarder de six mois la réévaluation des retraites même pour les plus modestes !

Parmi les recettes nouvelles, on évoque l’augmentation d’un produit indispensable.Et cela plutôt que de battre sa coulpe -mot qui vient de « coupable » !- en réduisant le train de vie de l’État, train qui tient plus du TGV que du train de campagne !



L’électricité est l’un des rares produits dont ont besoin la totalité des Français ! Certes cette augmentation passera facilement parmi ceux qui auront largement de quoi régler l’augmentation mais une grande partie de la population devra se passer de produits essentiels ! 
En particulier sur les soins « peu essentiels » et la nourriture afin de compenser ce qui sera versé en plus dans ce produit indispensable ! Mais aussi en en réduisant son utilisation aux dépens, surtout par temps froid, de la santé de chacun, celle des enfants ou celle des grands-parents…

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Les oppositions à un tel projet sont nombreuses. Cela va de la personne seule qui envisage de réduire son chauffage voire la production d’eau chaude pour ses soins à la famille nombreuse qui va, entre autres, diminuer le nombre de douches… Les bains, il y a longtemps que la mode « écol’eau » les a proscrits !

Comme le fait remarquer l’association caritative Damocles, lors d’augmentation des tarifs de l’électricité.  Pour tous les Français, c’est un budget rogné de centaines ou milliers d’euros chaque année ! Vous avez peut-être déjà vu bondir votre facture d’électricité, comme Grégory et Stéphanie dont la facture a explosé de 800 € par an… à plus de 4500 € ! »
Et il n’y a pas que les simples citoyens dont la vie sera impactée par cette augmentation d’un produit essentiel à la vie de chacun et indispensable à la vie de tous les jours !

Et il n’y a pas que les citoyens pris individuellement qui subiront ces augmentations selon la méthode qu’avait suggérée un ancien ponte des finances :
« Il ne s’agit pas seulement de « mettre des pulls à col roulé », comme l’a préconisé l’ancien ministre de l’économie Bruno Le Maire, avec beaucoup de condescendance. »
Il y a aussi tous ceux exerçant une profession « gourmande » en électricité tels les artisans qui ont dû mettre « la clé sous la porte à cause de la flambée des factures »… À l’image de ces « boulangeries écrasées par leurs factures d’électricité. » Ce qui se comprend lorsque « le prix en heure pleine a été multiplié jusqu’à 26 fois ! » Il fut donc, pour certains, « impossible de faire fonctionner les frigos et les fours. »

En effet, comment travailler quand « le prix en heure pleine a été multiplié jusqu’à 26 fois ! Imaginez passer de 800 € par mois… à 10 000 € par mois, comme Noëlle et Jean-Michel, boulangers à Luitré en Ille-et-Vilaine ! C’est la mort assurée » puisqu’il est « impossible de faire fonctionner les frigos et les fours. »
Mais, outre les commerces artisanaux, même des entreprises importantes et ayant pignon sur rue, ont dû faire face à ces augmentations, parfois au détriment du personnel. Ainsi les conserves aux noms prestigieux de William Saurin ou Panzani ou encore Garbit, sont produites par une entreprise « qui a dû fermer quatre de ses principales usines, représentant 80 % de sa production » !
Autre nom célèbre : « l’usine Duralex dans le Loiret a dû fermer pour plusieurs mois. »
Le METI (Mouvement des Entreprises de Taille Intermédiaire ) met en garde le Premier Ministre :
« si les prix ne reviennent pas à la normale, ce sont 50 % des industries qui risquent de fonctionner en sous-régime, et une sur dix de s’arrêter complètement ! »

Donc une petite ou moyenne entreprise sur 10 !!! Ce qui signifie la mise au chômage de 10% des 6 400 000 employés travaillant dans ce seul secteur de l’économie française, donc 640 000 salariés perdant leur emploi et donc 640 000 familles touchées !

 

Selon le METI, « sur les 3 000 entreprises identifiées par l’INSEE comme moteur de l’économie française et pesant 75% de la VA, de l’investissement et des exportations françaises, 2 030 sont des ETI. Catégorie la plus intensivement investisseuse avec un taux d’investissement de 27% contre 18% pour les PME, les ETI sont activement créatrices d’emplois (+ 335 000 emplois nets créés entre 2008 et 2016). Sur-représentées dans l’industrie manufacturière (38% des ETI sont industrielles) elles contribuent puissamment aux exportations françaises dont elles représentent 34%. »
Et selon l’INSEE, « …En 2019, la France compte 4,1 millions de petites et moyennes entreprises marchandes non agricoles et non financières (incluant toutefois les exploitations forestières, les auxiliaires de services financiers et d’assurance et les holdings). Parmi celles‑ci, 3,9 millions sont des microentreprises (MIC), qui emploient 2,5 millions de salariés en équivalent temps plein (ETP) et réalisent 19 % de la valeur ajoutée. Les 153 000 PME hors MIC emploient 3,9 millions de salariés et réalisent 23 % de la valeur ajoutée. Au total, les PME emploient ainsi 6,4 millions de salariés (en ETP) et réalisent 43 % de la valeur ajoutée. »

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Il serait souhaitable que Michel Barnier ne touche pas aux tarifs de l’électricité sinon 640 000 salariés mis au chômage, ce seront… 640 000 « Gilets jaunes » dans les rues ! Et cela fera alors beaucoup ! Ils seront si nombreux qu’ils pourront créer une S.A., une Société Anonyme et pour laquelle ils n’auront aucunement besoin de faire de la pub’ puisque, cette… S.A., est déjà bien connue : la SA des… Gilets Jaunes ! Et ils seront alors suffisamment nombreux pour assurer un « service spécial 24h/24 », partout en France, et en faisant les « trois huit » !


Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN..

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4 Commentaires

  1. Combien de politique avec des compteur EDF, il font en général un stage chez EDF et après compteur tarif agent toute leur vie. Faire des économie sur le train de vie des élus, oui mais pas aux détriments des citoyens. ils veulent la guerre, ils vont l’avoir.

  2. C’est voulu, la destruction de nos industries, de nos entreprises, de nos artisans, de nos paysans continuent. La France est en train de devenir un pays du tiers monde et les responsables ET coupables sont nos dirigeants. Ils ont besoin de toujours plus de pognons, notre pognon, pour acceuillir encore plus de parasites qui vont vivre, sans rien branler, sur notre dos comme des tiques sur un chien. Les français sont tondus, rasés et maintenant pelés. Bienvenu en macroni. On les fous dehors par la porte et ils reviennent par la fenêtre, avec dans leurs bagages des saloperies toujours plus pourris.

  3. Et les fonctionnaires(sic) de l’EDF, qui ne payent que 10% de la facture (bien dix pour cent), et qui peuvent consommer à volonté? Bien entendu, le gouvernement, trouillard, pleutre, péteux, dégonflé, minable, ne touchera pas à ce privilège scandaleux. Qui en parle? Attention, la CGT veille!