Rififi à Sciences Po, Luis Vassy, le nouveau Directeur fait la chasse aux antisémites…

Ca change… Le nid de gauchos de Sciences Po évoluerait-il ? On n’ose y croire. Il est vrai que nombre de dirigeants avouent ne plus vouloir engager des gens sortant de ce qui fut une grande école, en d’autres temps, et qui s’est métamorphosée en nid de gauchistes décadents…

 

INFO JDD. Le président de Sciences Po saisit la justice après des manifestations anti-Israël, un collaborateur de Rima Hassan visé

Luis Vassy, fraîchement nommé à la tête de Sciences Po, fait face à des manifestations anti-Israël qui agitent l’institution. Il a saisi le procureur de la République, visant directement Hicham Touili-Idrissi, collaborateur de la députée européenne Rima Hassan et membre du comité Palestine.

« Fraîchement nommé à la tête de Sciences Po, Luis Vassy a pris une première décision forte. À peine installé, il a dégainé l’article 40 du Code de procédure pénale pour saisir le procureur de la République, ont appris le JDD et Europe 1 de sources proches du dossier.
En cause : une série de manifestations anti-Israël qui ont secoué l’école, où des activistes ont appelé à l’intifada, orchestrées notamment par Hicham Touili-Idrissi, collaborateur du député européen Rima Hassan, ancien élève de Sciences Po et membre actif du comité Palestine de l’établissement.
« Israël assassin, Sciences Po complice »
Le 3 octobre, l’ambiance à Sciences Po Paris était électrique. Alors que l’école célébrait l’Africa Day, des étudiants ont transformé le hall en véritable arène propalestinienne. « Israël assassin, Sciences Po complice », scandait-on, dans une répétition des slogans déjà entendus lors de l’occupation d’un amphithéâtre en mars. Drapeaux palestiniens à la main, les manifestants ont donné de la voix, lançant des cris tels que « Netanyahou, casse-toi, la Palestine n’est pas à toi » ou encore « Pour nos frères de Palestine et tous ceux qu’on assassine, on est là ». Une scène devenue familière dans une institution où la contestation politique ne faiblit pas.
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Cette fois, le Ministre de l’enseignement supérieur, tout nouveau, Patrik Hetzel, a réagi ! Des choses changeraient donc, malgré tout ? En tout cas Hetzel a réagi et a rappelé aux présidents d’Université qu’ils devaient maintenir l’ordre. Il est évident que tout le monde craint l’anniversaire du 7 octobre… 
 
Luis Vassy qui espérait ramener l’ordre, la tranquillité, et surtout une ambiance propre au travail va avoir du mal à accomplir son rêve, avec les pro-palestiniens à la manoeuvre, excités par les Mélenchon et autres Hassan.
Il a proposé des débats ? Il s’est vu claquer la porte au nez. Avec les pro-palestiniens il n’y a pas de débat, il n’y a que adhésion ou exclusion, accord ou bagarre. C’est simple.
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Puisque les propalestiniens refusent le débat et sont décidés à mettre la pagaille, Vassy a déclenché l’article 40, visant le militant palestinien Hicham Touili-Idrissi, celui qui arbore sans honte le keffieh, collaborateur de Rima Hassan à ses heures perdues.

Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs.
Les extrémiste seront-ils arrêtés par la peur de la plainte et d’une condamnation, alors que 1 juge sur 3 fait partie du fameux syndicat du Mur des cons ?
Rien n’est moins sûr… Et il n’est même pas certain que Luis Vassy soit soutenu par le gouvernement, Macron et Barnier n’ayant pas bougé d’un iota sur l’immigration et l’islamisation de notre pays… Et Mélenchon met de l’huile sur le feu, exigeant de voir des drapeaux palestiniens dans toutes les universités de France….

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5 Comments

  1. On attend quoi pour les virer de France ;
    Ils ont pas leur place chez. Nous.
    Ils aiment ! Tant ce pays merdique qu’est la Palestine qu’ils y aillent on les retiendra pas.
    Mais Vu qu’ils n’ont pas de couilles ils préfèrent foutre le bordel chez nous, où ils ne risquent rien.

  2. Le seul drapeau admis dans une université française est le drapeau français, point barre. Que l’on vire dans leurs shiteholes respectifs tous les clodos en keffieh (je ne sais comment cette merde s’écrit) et ceux qui les soutiennent.

  3. bon début, mais il ne va pas assez loin : ces nazislamistes antisémites doivent être renvoyés, et si ce n’est pas suffisant SCPO doit être fermé et ne rouvrir qu’après un grand coup de karcher – on ne peut pas tolérer ces hordes de SA qui font penser à ceux de l’allemagne des années 30 – et puis poussés uniquement par une haine antisémite aveugle ils ne connaissent même pas l’histoire des HEBREUX ce qui les ferait changer d’attitude connaissent meê

  4. « sortant de ce qui fut une grande école, en d’autres temps, et qui s’est métamorphosée en nid de gauchistes décadents… »

    Plus que « quel diplôme as-tu ? », « De quelle université sors-tu ? », c’est :
    En quelle année as-tu obtenu ton diplôme qu’un employeur ou un curieux devrait demander.

    Symboliquement, on comprend d’emblée que le baccalauréat de 1960 n’est pas du tout la même chose que le « baccalauréat » de 2020.
    Le film « Les sous-doués » doit être incompréhensible pour la nouvelle génération, peu drôle et même scandaleux pour le passage où le ils de président africain passe dans la machine à apprendre où on se moque discrètement de « l »antiracisme » naissant.

    https://www.youtube.com/watch?v=3PFJuqcPTus&ab_channel=SpectralForceThe1st
    C’est l’époque où Michel Leeb pouvait faire ses imitations d’Africains et où tout le monde riait de bon coeur.

  5. Virons en premier tous ces étudiants étrangers qui ne viennent ici que pour foutre le bordel !

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