Philippine : un grand moment d’humanité sur Cnews !

Un grand moment d’humanité sur Cnews !

Comme il y en a peu sur les autres chaînes

Hier soir sur Cnews, avec Christine kelly et ses « mousquetaires », l’émission a essentiellement été consacrée au meurtre de Philippine, cette jeune étudiante assassinée et violée dans le Bois de Boulogne, alors qu’elle rentrait chez elle. L’assassin, un Marocain sous OQTF avait déjà commis un viol à l’âge de 17 ans, dès son arrivée sur le sol Français. Il avait été condamné à 7 ans de prison mais, avec les remises de peine n’en avait effectué que trois…

Philippine était une étudiante en économie, à la prestigieuse Université Paris- Dauphine. Avant-dernière d’une fratrie de six enfants, ses parents l’ont attendue en vain.

Cet événement dramatique a occupé le temps de l’émission et chacun des participants a exposé les faits, d’une façon claire, factuelle et minutieuse, avec tout ce que cela dit de la société dans laquelle nous vivons en France depuis des années, car ce meurtre vient alourdir la longue série des assassinats et des viols touchant la population française. Rappelons ceux de la petite Lola, retrouvée morte et découpée en morceaux dans une valise par une Algérienne : Dahbia B., elle aussi sous le coup d’une OQTF. De Thomas etc. La liste est terriblement longue et douloureuse non seulement pour les familles anéanties, mais pour la population qui ne se sent plus protégée et qui ne comprend pas le laxisme de la justice. Gabrielle Cluzel, quand vint son tour de parler de Philippine, a fait un effort considérable pour retenir son émotion. Elle a évoqué le milieu familial de Philippine : des chrétiens pratiquants, une famille nombreuse, une mère professeur de mathématiques et un père scientifique. Elle a évoqué Philippine, investie dans le scoutisme, sérieuse et réussissant dans ses études. Une famille convenable, en somme et qui a des valeurs (pas seulement celles de la République dont on nous rebat les oreilles), mais des valeurs morales, celles de la religion et celles qu’on enseignait encore il y a une soixantaine d’années, à la maison et aussi à l’école. Une famille traditionnelle française comme il y en a de moins en moins.

Où sont les valeurs apportées par l’immigration qui est, paraît-il une chance pour la France ? Car je parle de cette immigration d’origine maghrébine ou africaine qui n’a rien à offrir qu’une délinquance chaque jour plus invasive. (Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas, parmi ces populations des gens bien, qui travaillent et se comportent comme des citoyens honnêtes. En général ils sont installés en France depuis longtemps). On pourrait disserter longuement sur le comportement délictueux d’une jeunesse qui arrive en conquérante sur notre sol. Jeunes et moins jeunes sont pris en charge par l’Etat, c’est-à-dire grâce à nos impôts, parfois au détriment de Français de souche qui ne trouvent pas de logement et n’arrivent pas à boucler les fins de mois, bien qu’ils travaillent. Les vrais responsables sont ceux qui les accueillent sans frein et sans limite. C’est à dire nos gouvernants depuis des décennies. Ils portent la responsabilité de ces crimes et délits qui ensauvagent la France et la détruisent à petit feu.

L’ Etat a pour premier devoir régalien la protection des Biens et des Personnes ! Nous en sommes à des années lumières. Non seulement le peuple réclame l’arrêt drastique de l’immigration illégale et légale, mais il veut une justice qui ne soit plus laxiste et qui préfère le bien des délinquants à celui des gens honnêtes.

Cette politique contre le peuple est l’alliance de la macronie pro-immigrationniste pour les raisons que tout le monde peut constater : le primat de l’Europe, en voie de fédéralisation, sur les Nations qui décident de moins en moins de leur destin. Cela pour le bon plaisir des mondialistes qui ont décrété que les nations sont obsolètes : vieux projet qui remonte à la fin de la seconde guerre mondiale, voire avant, et cela, soi-disant pour le bien des peuples. Tout cela enrobé dans une idéologie de gauche et d’extrême gauche, entre autres, celle des « droits de l’homme » qui soutient le délinquant et méprise la victime.

Victor Hugo dans son livre « Le dernier jour d’un condamné[1] » militait déjà pour la mansuétude à l’égard du criminel, sans un mot de commisération pour la victime. Robert Badinter, en abolissant la peine de mort achevait le travail et privait l’élu du pouvoir de punir les plus grands criminels en leur ôtant la vie, au nom du peuple. Bien sûr cette peine de mort était exceptionnelle et ne s’adressait qu’aux grands prédateurs récidivistes. L’abolition de la peine de mort fut un coup symbolique mais fatal porté à la justice.

Jean-Louis Harouel [2](juriste) explique :

« La peine de mort, bien que peu appliquée, constituait par sa simple présence dans la loi, la clé de voûte d’une justice criminelle fondée sur l’idée de responsabilité. Placée au sommet de la hiérarchie des peines, la peine de mort légitimait toutes les autres peines, qui paraissaient douces par comparaison. L’abolition conduit à l’irresponsabilité »

En effet, la justice est phagocytée par les « Droits de l’homme » dont elle se réclame aujourd’hui. Selon cette formule, même le délinquant a des droits puisque la gauche considère, comme le disait JJ Rousseau, que l’homme n’est pas mauvais par nature, c’est la société qui le pervertit. L’idéologie sous-tendue par ce refus de considérer le mal pour ce qu’il est, mène aux dérives que nous ne connaissons que trop ! Nous assistons donc à une inversion dramatique des valeurs et l’arsenal juridique est gangréné par cette « injustice » à l’égard des victimes. Les migrants sont les « intouchables » d’une politique injuste et criminelle à l’égard d’une population de souche qui vit dans l’insécurité et sait qu’elle ne peut rien attendre de ceux supposés la défendre.

La gauche et l’extrême gauche et l’ennemi véritable 

Le bon sens et l’honnêteté voudraient que la gauche et son extrême siamois, au nom de l’intérêt national, de la justice la plus élémentaire, fassent cause commune avec les autres partis… Or ce serait trop demander, ce qui prouve que la paix de leurs concitoyens est le cadet de leurs soucis. La novlangue s’agite contre « l’extrême » droite qui incarnerait le mal absolu. La réalité des faits est ensevelie, noyée, étouffée par le gourdin asséné sans relâche sur le RN, forcément raciste, xénophobe, indigne de participer à la vie politique française et donc au Parlement même s’il a été élu démocratiquement par 11 millions de citoyens. Pour l’extrême gauche, le RN est la poubelle de l’Histoire qui fonctionne encore et toujours comme leurre d’un pétainisme/fasciste encore actif ! En cela, Staline n’est pas mort, ni Mao, ni Pol Pot… L’extrême gauche croit se refaire une santé chaque fois qu’elle peut accuser le RN, vomir sa haine et son mépris sur un parti légitimement élu. C’est sa rente à vie !

Ainsi Sandrine Rousseau peut twitter après le viol et l’assassinat de Philippine :

« Philippine a été sauvagement assassinée. La personne arrêtée est marocaine sous OQTF. Ce féminicide mérite d’être jugé et puni sévèrement. ( Elle aurait dû rappeler qu’il s’agit d’un second crime  puisqu’il a fait trois ans de prison, (grâce aux remises de peine) pour le premier, un viol, commis à 17 ans, dès son arrivée en France ! )

Mais une fois le minimum lâché, elle ajoute ce qui pour elle est l’essentiel : « L’extrême droite va tenter d’en profiter pour répandre sa haine raciste et xénophobe, avant de reprendre le slogan antifasciste « No passaran », complètement à contre sens !

(Selon moi, le mot féminicide est inapproprié puisque réduit au seul sexe féminin les crimes commis régulièrement).

On comprend aussi que pour Sandrine Rousseau et sa clique, ce n’est pas l’assassinat de cette jeune fille qui importe et qui est révoltant, en définitive ; il n’est qu’un levier pour porter sa haine non envers les criminels, mais envers le RN. Ce n’est pas la politique destructrice de Macron qui refuse de mettre un terme à l’immigration folle et dangereuse (si l’on en croit les statistiques) qui est criminelle, mais le RN qui représente une majorité de Français qui ont voté pour ce parti.

La gauche (et son extrême) ne change pas. Elle est totalitaire par essence, car elle croit détenir la vérité et savoir ce qui est bon pour le peuple. Les victimes ne l’intéressent pas, les Philippine, Lola, Thomas et la longue liste des agressés, violées, poignardés, qui est loin d’être close, est un mal nécessaire pour que les « droits de l’homme » règnent partout chez nous. C’est toujours au nom des droits de l’homme, donc du Bien que les Lénine, Staline, Mao et Pol Pot, ont asservi les peuples et ont liquidé des millions de leurs compatriotes au nom du socialisme.

Gustave Le Bon avait étudié la violence révolutionnaire en analysant la Révolution française :

« Les théories révolutionnaires constituaient une foi nouvelle. Humanitaires et sentimentales, elles exaltaient la liberté et la fraternité. Mais, comme dans beaucoup de religions, on observa une contradiction complète entre les doctrines et les actes. En pratique, aucune liberté ne fut tolérée et la fraternité se vit remplacée par de furieux massacres. »

Pour terminer, je dirais qu’hier, Cnews s’est surpassé. Outre la qualité factuelle des interventions toujours préparées avec sérieux, l’hommage rendu à Philippine : car en parler comme cela fut fait, était un véritable hommage, la réalité abominable, fut énoncée avec justesse et humanité. Elle nous a permis de mieux connaître cette jeune femme, étudiante promise sans doute à un brillant avenir et à qui on a ôté la vie, bestialement. Et c’est ce moment de rare empathie pour la victime qui a saisi le public et rendu au journalisme (ce qu’il n’est malheureusement plus), ses lettres de noblesse, les Albert Londres et Joseph Kessel qui mettaient du cœur dans leur plume. Oui, merci à Christine Kelly et à ses Mousquetaires pour ce moment intense de grand journalisme. Le silence qui s’est abattu sur le plateau, pendant quelques secondes, en disait long sur l’émotion palpable des journalistes qui regardent le réel en face et osent en parler, et sans aucun doute celle des téléspectateurs.

Evelyne Tschirhart 26/09/2024 pour Mabatim

 

[1] Victor Hugo : Le dernier jour d’un condamné » 1829

[2] Jean-Louis Harouel : « Libres réflexions su peine de mort ». 2019 éditions Déclée de Brouwer.

Pour revoir l’émission

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2 Commentaires

  1. Oui j’ai ressenti cette émotion et prête à pleurer ..c’est terrible ! mais pourquoi la mort de cette jeune fille changerait elle quelque chose puisque les français ne bougent toujours pas ! L’Agrif a fait quelques lignes laconiques, , et alors ? c’est terrible ! j’ai vu la douleur de cette maman, sur son visage ..un trou béant dans cette famille..c’est terrible .
    Merci pour votre article

  2. Le jour où la gauche revient au pouvoir, je pense quitter ce pays car ce sera la Saint- Barthélémy des Français et Françaises. En première ligne les catholiques. Ces gens-là nous laisseront être massacrés sans lever le petit doigt pour nous protéger. Ce sera pire qu’aujourd’hui. Nous ne faisons pas partie de leur clientèle.