Lucie Castets crache sur Philippine en demandant la régularisation de tous les migrants !

On savait Lucie Castets gauchiste jusqu’au bout des ongles et du rouge à lèvres, avec sa tête de bourgeoise progressiste et imbue d’elle-même – un peu comme celles qui applaudissaient à chaque fois qu’un prolétaire Gilet jaune blanc était éborgné !
Mais on ne savait pas, même si on pouvait le deviner, que la Castets – à qui on a fort heureusement dit « casse-toi ! » pour Matignon – était obscène. Ce qu’elle a démontré en ignorant superbement la mort atroce de Philippine Le Noir de Carlan, massacrée par un migrant sous OQTF par ses propos, mardi, sur BFM TV. Il faut dire que la Castets ne saurait montrer la moindre empathie envers une jeune fille au nom aristocratique, catholique, blanche et étudiante à Paris-Dauphine, une université où l’ultragauche n’a pas encore pignon sur rue. Pire, Philippine aurait pu se marier avec… un homme blanc !
D’ailleurs, si Philippine avait été une étudiante de Nanterre par exemple, de bons et « vertueux » gauchistes auraient fait interdire l’hommage qui lui a été rendu dans son université car on ne peut, dans l’esprit de ces charognes – l’électorat de la bande à Castets ! –, célébrer une femme blanche et catholique ! Dieu merci, l’hommage à Dauphine a été digne et respecté. Et, à cette occasion, le directeur de l’université a lu une lettre du père de Philippine : « C’était très émouvant, raconte Arthur. Beaucoup pleuraient, même ceux qui ne la connaissaient pas. Le directeur de l’université a lu un mot qu’avait écrit le père de Philippine. Il nous conseillait de faire très attention si on sortait de la fac et de rester dedans autant que possible. » Sonia, quant à elle, ajoute que le père de la jeune femme « a écrit que nous devions prendre soin de nous. Il a dit de prier pour Philippine car il sait qu’on partage sa douleur. »
https://www.parismatch.com/actu/faits-divers/meurtre-de-philippine-les-etudiants-de-luniversite-paris-dauphine-bouleverses-241915
Mais de cela, comme de toutes les victimes de l’immigration, Castets n’en a cure, qui a donc déclaré, toute honte bue, qu’elle était plutôt favorable à la régularisation de tous les sans-papiers… !
https://www.bfmtv.com/politique/lucie-castets-affirme-etre-plutot-favorable-a-la-regularisation-de-tous-les-sans-papiers_VN-202409240861.html
Alors qu’une jeune femme, dont tout le monde vantait la générosité et le sérieux, vient de mourir sous les coups d’un sans-papiers, Castets se permet cette sortie, même si certains me diront qu’elle ignorait, au moment de l’interview, l’identité de l’assassin de Philippine, qu’on ne connaîtrait qu’un peu plus tard dans la soirée : un migrant sous OQTF. Cependant, le silence qui entourait déjà ce meurtre dans les milieux gauchistes avait dû lui donner la puce à l’oreille : ils se doutaient, ces gauchistes, à qui ils avaient affaire, c’est-à-dire un de leurs protégés !
Mais Castets aurait pu au moins rétrospectivement présenter des excuses pour ses propos « déplacés » – pour ne pas dire immondes – à ce moment précis…
Et que dire de l’intervention haïssable de la très dérangée Sandrine Rousseau sur X : « Philippine a été sauvagement assassinée. La personne arrêtée est marocaine sous OQTF. Ce féminicide mérite d’être jugé et puni sévèrement. L’extrême droite va tenter d’en profiter pour répandre sa haine raciste et xénophobe. » Pauvre fille, tu te préoccupes de l’extrême droite quand une famille pleure les effets de ton idéologie criminelle !
Aussi, lorsque l’excellent Gilles-William Goldnadel déclare ceci, je ne peux qu’y souscrire sans réserve : « J’affirme que cette extrême gauche qui a désarmé moralement, intellectuellement, psychologiquement, idéologiquement, juridiquement la France et a encouragé l’invasion en feignant la générosité est la responsable de la mort de Philippine et de tous nos enfants ».
Aussi, malgré les affirmations de Castets et sa bande, les migrants d’aujourd’hui sont une malédiction pour la France. Pire, ils sont, pour la plupart, mus par le désir de détruire les femmes occidentales parce qu’elles n’ont pas la culture de la soumission à l’homme. D’où ces pulsions homicides identiques à celles que Jacques Lantier ressentait, dans le terrible roman d’Émile Zola, La Bête humaine :
« Cela revenait en lui, aigu, affreux, comme si les ciseaux eussent pénétré dans sa propre chair. Aucun raisonnement ne l’apaisait : il avait voulu la tuer, il la tuerait, si elle était encore là, dégrafée, la gorge nue. Il se rappelait bien, il était âgé de seize ans à peine, la première fois, lorsque le mal l’avait pris, un soir qu’il jouait avec une gamine, la fillette d’une parente, sa cadette de deux ans : elle était tombée, il avait vu ses jambes, et il s’était rué. L’année suivante, il se souvenait d’avoir aiguisé un couteau pour l’enfoncer dans le cou d’une autre, une petite blonde, qu’il voyait chaque matin passer devant sa porte. Celle-ci avait un cou très gras, très rose, où il choisissait déjà la place, un signe brun, sous l’oreille. Puis, c’en étaient d’autres, d’autres encore, un défilé de cauchemar, toutes celles qu’il avait effleurées de son désir brusque de meurtre, les femmes coudoyées dans la rue, les femmes qu’une rencontre faisait ses voisines, une surtout, une nouvelle mariée, assise près de lui au théâtre, qui riait très fort, et qu’il avait dû fuir, au milieu d’un acte, pour ne pas l’éventrer. Puisqu’il ne les connaissait pas, quelle fureur pouvait-il avoir contre elles ? car, chaque fois, c’était comme une soudaine crise de rage aveugle, une soif toujours renaissante de venger des offenses très anciennes, dont il aurait perdu l’exacte mémoire. »
Charles Demassieux

https://ripostelaique.com/lucie-castets-crache-sur-la-memoire-de-philippine-en-demandant-la-regularisation-de-tous-les-migrants.html

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